Avant de prendre la parole en public, utilisez la technique de la respiration ventrale : inspirez lentement (pas trop profondément), puis soufflez par le nez ou la bouche ouverte. Répétez cet exercice 3 fois avant d'intervenir. Pour aller plus loin, découvrez nos astuces pour améliorer votre communication non-verbale.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la peur de parler en public sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents, dans la vie familiale ou scolaire.
Si tu es timide et que tu as envie d'améliorer ta prise de parole en public, je te suggère de faire un exercice. Il s'agit de créer un élément déclencheur à cette prise de parole. En d'autres termes, je t'invite à faire un bruit, une action ou un geste avant tes prises de parole.
Pour réduire l'anxiété, privilégiez le chaud : boire un thé chaud, faire un sauna, se faire couler un bain, etc; Tout ce qui permettra de faire monter la température détendra le corps et l'esprit augmentant ainsi la sensation de bien-être.
Souvent la timidité est associée à un manque de confiance en soi, au stress, à la peur, ou encore à la honte ; mais surtout c'est lié au regard de l'autre. Et oui ! C'est bien parce que les autres sont là, nous regardent, que l'on est autant mal à l'aise.
La timidité ou quand parler aux autres devient un véritable challenge. En fait, selon Cerveau & Psycho, une personne sur deux se déclare timide. Bien sûr, l'intensité de la timidité n'est pas la même d'une personne à l'autre. En effet, dans le langage courant, la timidité va de la simple gêne à la phobie sociale.
Pour surmonter le trac, il s'agit de : Travailler : même si vous ne pouvez pas anticiper les réponses de votre interlocuteur, le fait de savoir se présenter, de connaître la fiche de poste et l'entreprise, ou encore d'avoir préparé des réponses aux questions typiques en entretien, sera plus que bénéfique !
Optez donc pour un langage clair, un vocabulaire dynamique, qui ne rebute personne. Attention aussi à maîtriser votre débit de parole, les silences et les pauses. « Il faut savoir s'arrêter, pour ne pas étouffer son public », précise Jean-Jacques Malherbe. Enfin, n'apprenez pas votre texte par cœur.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
Pensez au pupitre, il sera votre meilleur allié. Ensuite, pensez à parler haut, clair, fort et lentement. Avec le stress, il arrive que des orateurs parlent vite, très vite. Si c'est votre cas, alors notez-vous de ralentir dans votre prise de parole.
Se tenir droit, respirer profondément, détendre les épaules… seraient autant d'astuces susceptibles d'améliorer la confiance en soi. Prêtez attention à votre langage corporel, évitez des gestes nerveux qui traduisent un malaise… et souriez.
Ne parlez ni trop vite, ni trop lentement. De même modulez le volume de votre voix et évitez de crier. Veillez à prononcer correctement chaque mot et évitez d'enlever des syllabes ainsi que les abréviations.
Sachez que vous resterez sans doute timide toute votre vie et c'est loin d'être un inconvénient. Non, la timidité n'est pas forcément un défaut (mignon, mais gênant). Ce n'est pas non plus de la peur, comme par exemple la crainte de déranger, de mal faire, ou encore de prendre la parole.
Apprendre à mieux se connaître
Afin d'oser et de s'affirmer en société, commencez par faire le plein d'ondes positives. La timidité est souvent liée à une mauvaise image de soi. Alors, plutôt que de vous focaliser sur ce qui vous déplait, dressez plutôt la liste de vos qualités et concentrez-vous sur ces points forts.
Les personnes timides ont généralement tendance à se tenir en retrait, à éviter de prendre la parole ou à exprimer leur opinion. La timidité peut être handicapante au quotidien et provoquer une grande souffrance chez la personne timide. Une personne timide est souvent discrète et réservée.
Dans certains cas, le médecin recommande plutôt l'usage de la venlafaxine, un inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (actif aussi sur la noradrénaline, un autre neurotransmetteur).