Pour bien percuter ballon en main, il faut d'abord savoir où mettre son ballon. Pour un ballon venant de la gauche, il faudra mettre le ballon sous le bras droit et percuter avec l'épaule gauche. Il faudra également être fort sur ses appuis, le dos droit, et percuter du bas vers le haut.
Pour réaliser un bon plaquage, il faut tout d'abord effectuer un cadrage défensif c'est-à-dire que l'épaule extérieure du défenseur (côté opposé au ballon) soit alignée sur la hanche intérieure (côté d'où vient le ballon) de l'attaquant.
Il y a deux moments clés en défense: la manœuvre, puis l'intervention. À moins d'une urgence absolue sur la ligne d'essai, il faut dans un premier temps bien savoir utiliser l'espace afin de tenter de « déplacer » les attaquants et se préparer une situation plus favorable avant d'intervenir.
La frappe. La zone d'impact du pied se situe au niveau des lacets, du côté intérieur du pied, à mi-distance entre les orteils et la cheville. Coté ballon, la zone d'impact à privilégier se situe entre le petit axe (largeur), et la pointe du bas du ballon. Le buteur doit suivre une gestuelle bien précise.
Lors du contact, pensez à toujours placer votre épaule du côté dont l'adversaire avance vers vous et de caler votre tête à l'extérieur de son bassin. La position de vos jambes influe sur la puissance de votre plaquage. Quant au bon placement de vos mains, il permet au joueur face à vous de ne pas vous échapper.
Travailler son sprint
Pour travailler votre vitesse, il est donc indispensable de s'exercer en sprint. En effet, le travail du sprint vous permettra de courir plus vite sur le terrain et ainsi d'améliorer votre performance. Plus vous courrez vite, plus vous allez plus vite.
1/ Au rugby attention à la tête dans les plaquages
Il est important d'engager l'épaule sur les cuisses et le bas du corps en laissant la tête hors de la zone d'affrontement. Vos bras serrent ensuite les jambes, votre tête est en maintien, collée à l'adversaire, mais elle ne participe pas à l'impact du plaquage.
Dans le domaine du sport, l'objet connecté permet entre autre de mesurer les performances des sportifs. Pour la première fois en France, l'équipe de rugby a été équipée de cette technologie. Le capteur placé dans le dos des joueurs va permettre de connaître l'activité des joueurs en temps réel.
De même, il est interdit de saisir un adversaire, lui faire décoller les pieds du sol et le retourner pour le faire retomber (plaquage cathédrale).
Arrêt de volée (ou marque) : il s'agit d'un arrêt de jeu de la part d'un joueur suite à une chandelle d'un joueur adverse. Placé à l'intérieur de ses 22 mètres, le joueur qui réceptionne le ballon peut crier « marque » et ainsi permettre à son équipe de bénéficier d'un coup franc, et donc de se dégager.
C'est la première solution pour empêcher la formation d'un maul : contester le ballon avant la formation du ballon porté. Cette solution, adoptée par les équipes plus "aériennes" que tournées vers les obscures tâches du combat au sol, est une option à double tranchant.
Ça peut se travailler seul en faisant du travail de planche, de chaise, de gainage, d'abdominaux, de pompes, d'escalier... Sans faire une grosse musculation, c'est un travail de renforcement qui servira toujours pour tout ce qui est contact, tomber, chuter, se relever.
Le plaquage de face
Placer la tête sur le côté de l'attaquant en encerclant ses cuisses le plus possible.
Les changements de direction, les soutiens offensifs très réactifs favorisent l'avancée et ainsi le déséquilibre de la défense. La première percussion est réalisée avec un appui avant fort pour éviter le déséquilibre avant.
Sa gestuelle doit être irréprochable y compris dans les situations les plus délicates. Il doit avoir une passe des deux côtés, une palette très fournie dans son jeu au pied : l'allonge, la chandelle, la passe au pied, l'occupation…et le tir au but si possible.
Les joueurs doivent être en bonne forme physique et avoir une bonne endurance, car le jeu est très rapide et implique beaucoup de courses. Ils doivent également être capables de réfléchir rapidement et de prendre des décisions en une fraction de seconde, car le jeu est souvent imprévisible.
Pour commencer, en 1997, les All Blacks avaient infligé 145 à 17 aux Japonnais, dans le sillage d'un Jonah Lomu totalement inarrêtable. Ensuite, les Wallabies avaient mené la vie dure à la sélection de Namibie, en s'imposant 142 à 0, lors d'un match de Coupe du monde en 2003.
Renforce les OS : pratique pour éviter les fractures sur le pré ! Bonne pour la TENSION : la pression, il faut la boire… Mais si vous êtes du genre tendu avant une rencontre, vous savez ce qu'il vous reste à faire : boire une bonne bière !
Le rugby est un sport intense et complet qui tonifie plusieurs muscles du corps. Les sprints et déplacements sur le terrain permettent de renforcer les muscles des jambes (cuisses et mollets) ainsi que les fessiers. Quant au haut du corps, il n'est pas en reste.
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Contrairement au voisin du Football, le maillot n'est pas marqué du nom du joueur (ce qui change dans le championnat Anglais), mais tout simplement du numéro de poste que le joueur occupe pendant le match.
Sortie de balle
Une fois le ballon en touche, le jeu cesse alors brièvement et une remise en touche est effectuée à l'endroit où le ballon a franchi la ligne de touche, avec lancer en faveur de l'équipe adverse à celle qui a en dernier frappé, joué ou touché le ballon.
Si les joueurs font tourner le ballon sur lui-même lors des passes à la main ou du jeu au pied, c'est avant tout pour contrôler au mieux le mouvement du ballon. Mais pourquoi en est-il ainsi ? Lorsqu'il effectue une passe à la main, le joueur de rugby doit s'assurer de la bonne réception du ballon par son partenaire.
L'endurance est un point important de la pratique du rugby. C'est pour cela qu'il est nécessaire de s'entraîner et d'améliorer cet élément. Par exemple, vous pouvez faire des blocs de séances de fractionnés, tel que des 30/30 ou 30/15. Il suffit alors de courir 30 secondes puis de récupérer 30 ou 15 secondes.