Que vous définirez à 1/2500 ou 1/3500 lorsque la lumière est forte, et 1/1500 lorsque la lumière est plus faible. Cela vous garantira d'avoir des photographie nette (dans la plupart des cas). L'ouverture et les ISO seront automatiquement défini selon le contexte, c'est pratique dans beaucoup de situations !
« L'objectif zoom fonctionne très bien pour les loups et les grands animaux, mais pour les chouettes et autres oiseaux, vous avez tendance à utiliser la distance focale la plus longue malgré tout, car vous ne pouvez jamais vraiment vous en approcher.
En général, pour capturer des images nettes d'oiseaux au sol, on part du principe que la vitesse d'obturation doit au minimum être égale à la distance focale utilisée. Par exemple, avec une focale de 600 mm, vous devrez au minimum utiliser une vitesse de 1/600e de seconde.
Je vous conseille de sortir du mode tout auto et de choisir le mode semi-auto, priorité à l'ouverture ou à la vitesse. J'aime bien le mode Av, car je peux en même temps gérer ma profondeur de champ et ma vitesse. Mais le mode Tv (ou S) va bien aussi.
Installer une mangeoire va les aider et vous donner beaucoup de plaisir dans l'observation des oiseaux variés qui la fréquentent. Photographier les oiseaux à la mangeoire est aussi une opportunité même si vous ne possédez pas un téléobjectif très puissant, car vous pouvez vous approcher de vos sujets.
La plupart du temps, les téléobjectifs procurent de meilleurs résultats avec la faune. Pour remplir l'image avec votre sujet, utilisez un téléobjectif supérieur à 200 mm. Un téléobjectif entre 300 et 400 mm constitue un bon choix pour photographier des oiseaux en plein vol.
L'idée principale est qu'il faut photographier à grande vitesse, car les oiseaux ont la bougeotte. Pour saisir les détails de la tête de l'oiseau, de son plumage et de ses couleurs, il va donc falloir être rapide. De manière générale, il vous faudra aller au minimum au 1/800 de secondes.
Lors d'une prise de vue, le photographe peut ajuster 4 paramètres pour composer et contrôler l'exposition de son image : la focale et l'ouverture sur l'objectif, la vitesse d'obturation et la sensibilité du capteur sur le boîtier.
En mode manuel, si vous souhaitez modifier l'ouverture vous devez maintenir le bouton “Av” ou “+/-” sur votre appareil photo enfoncé, et tourner la molette. (Sur certains boîtiers haut de gamme, il y a 2 molettes, dont une des deux contrôle l'ouverture, et l'autre la vitesse d'obturation).
Utilisez une vitesse d'obturation élevée
De nombreuses espèces d'oiseaux se déplacent très rapidement dans les airs et vous obligeront à utiliser une vitesse d'obturation élevée pour figer l'action. En général, pour capturer des images nettes d'oiseaux en vol, la vitesse doit être configurée entre 1/600s et 1/2500s.
Utiliser le collimateur central
Et la technique du “mise au point – recadrage” que nous avons vue dans l'article sur la mise au point en photographie. Pourquoi ? Toujours dans le but d'être très réactif ! En effet, quand on ne sait pas sur quel animal on va tomber, il est nécessaire d'être le plus rapide possible.
Si vous souhaitez capturer des images grand angle d'animaux sauvages, vous avez généralement besoin d'un objectif dans la plage focale du téléobjectif (distance focale de 85 mm ou plus) ou du super téléobjectif (300 mm ou plus).
Pour le photographier, il faut repérer un cours d'eau ou un étang qui doivent être très propres. Le martin pêcheur est un excellent indicateur de l'état de l'eau. On ne le trouve jamais près d'une zone polluée. Le premier indice est le cri de l'oiseau en vol : le fameux « tchiii ».
« Il faut approcher les oiseaux doucement avec des gestes lents. Il faut être discret car les oiseaux peuvent s'enfuir rapidement. Mais pas besoin de se cacher, l'oiseau s'habitue à la présence de l'homme.
Une bonne partie du manque de netteté que vous constatez est dû au fait que l'appareil manque de stabilité, ce qui cause un très léger flou sur la photo, invisible en regardant l'image dans son entier, mais assez net (jeu de mots !) une fois zoomée à 100%.
Plus le point de vue s'éloigne et plus le photographe montre une certaine distance par rapport au sujet. Inversement, si le point de vue est proche du sujet, le photographe exprime une certaine intimité avec le sujet. Une question importante surtout pour les portraits. N'hésitez pas à bouger, à changer de point de vue.
Le choix de la vitesse d'obturation dépend de votre sujet (rapide ou lent), de la focale utilisée et de votre stabilité (trépied ou main levée). Choisissez une vitesse d'obturation plus rapide (par exemple 1/125s au lieu de 1/25s) pour éviter le flou de bougé du photographe ou le flou de mouvement du sujet.
Par exemple, le 200-500 mm f/5.6 de Nikon deviendra un 400-1000 mm f/11 mais l'AF a besoin d'un objectif ouvrant minimum à f/8 pour fonctionner… De plus, ils font perdre de la qualité d'image. Ainsi, ils sont plus adaptés à des objectifs haut de gamme ouvrant minimum à f/4.
Pour la photo animalière, l'appareil hybride Nikon Z6 II s'associe idéalement à l'objectif NIKKOR Z 100-400mm f/4.5-5.6 VR S ou aux NIKKOR Z DX 50-250mm f/4.5-6.3 VR et NIKKOR Z 70-200mm f/2.8 VR S couplés à un téléconvertisseur 2x.
Avec un zoom de type 70-200, le mouvement de suivi est très fluide, et rapide, ce qui est idéal pour accompagner les hirondelles. Privilégier un réglage lent de l'autofocus sur fond de ciel permet de garder la MAP un peu plus longtemps si le collimateur lâche l'oiseau.
Pour la photo animalière, il faut utiliser un objectif avec une focale importante. L'objectif 16-300 mm F/3.5-6.3 Di II VC PZD de Tamron est compatible sur un appareil photo numérique reflex Nikon. Avec ce matériel, vous pouvez vous épanouir dans le domaine animalier.