Pour aimer cuisiner il faut d'abord savoir quels ingrédients vous plaisent, quels saveurs et régimes alimentaires vous conviennent mieux. Quelles cuissons sont les plus pratiques pour vous par rapport à votre temps et à votre cuisine. La curiosité est le maître mot.
Pensez aux aliments crus ! Faites par exemple des salades, le fait de manger cru vous fait gagner du temps puisqu'il n'y a pas de cuisson, et il est impossible de rater ce plat ! De plus, vous préservez ainsi les vitamines de votre assiette, car la majorité de ces dernières sont sensibles à la chaleur.
Pensez aux wraps de poulet au chèvre, idéals pour un déjeuner savoureux et rapide. Pour le dîner, vous pouvez choisir selon vos envies entre un repas léger et rapide avec ces recettes de tartines au jambon et de croque-monsieur végétarien ou vous faire plaisir avec un bon petit plat mijoté avec gourmandise.
Misez sur des recettes inratables
En commençant par évincer la peur de rater une recette. Sachez qu'il existe de nombreux plats que vous réussirez à tous les coups. À vous de chercher des recettes simples qui vous inspirent, puis d'augmenter progressivement le niveau de difficulté à mesure que vous cuisinerez.
Achetez de préférence des fruits et légumes de saison, car ils sont meilleurs tant du point de vue du gout que des qualités nutritionnelles. Si vous êtes novice en cuisine, suivez les recettes à la lettre. Évitez de substituer les ingrédients par d'autres afin d'éviter toute altération du gout ou de la texture du plat.
Cela veut-il dire que vous êtes égoïste ? Pas du tout. Cela révèle simplement que vous êtes très attachée à la nourriture, que le rapport que vous entretenez avec elle est très intime. Chaque plat, chaque odeur, vous évoque des souvenirs, des sensations, des personnes ou des instants de vie.
Cuisiner est une forme d'expression et de communication productive. "Cuisiner permet de laisser les gens exprimer leur créativité", explique au HuffPost Donna Pincus, professeure de Psychologie et Sciences du Cerveau à l'Université de Boston.
Si vous n'avez pas envie de manger
Fractionnez vos repas. Prenez plusieurs petits repas au cours de la journée ainsi que des collations. Ne prêtez pas attention à l'heure, mangez dès que vous ressentez une sensation de faim. Conservez vos aliments favoris à portée de main et mangez-en dès que vous en avez envie.
La sensation de faim diminue avec l'âge, voici quelques astuces afin de redonner l'appétit : Le goût et l'odorat peuvent être altérés. Vous pouvez rehausser les saveurs avec des épices (cumin, curry, paprika…), des herbes aromatiques (thym, persil, coriandre…) ou des aliments aromatiques (oignons, ail, jus de citron…).
Idéalement, ils devraient se composer d'une entrée (crudités, potage de préférence), d'un plat composé de 100 à 150 g de viande, poisson ou œufs, de légumes (200 g) et de féculents (50 à 100 g cuits), d'un laitage et d'un fruit. Par ex. : carottes râpées/ steak haricots verts pommes vapeur / yaourt/compote ; Le goûter.
Commencez à développer les compétences dont vous avez besoin en vous entrainant chez vous, en travaillant dans un restaurant et en demandant des avis à d'autres personnes. Ensuite, faites une formation dans une école ou cherchez un mentor pour vous former.
L'avantage du robot cuiseur est que la plupart de ses accessoires passent au lave-vaisselle. Par ailleurs, en vous équipant d'un robot cuiseur, vous évitez l'accumulation de vaisselle inévitable lorsque l'on a plusieurs robots.
Les autocuiseurs comme le Cookeo promettent de faciliter la vie de celles et ceux qui n'aiment pas cuisiner ? Oui c'est vrai puisqu'ils permettent généralement de gagner du temps et de déléguer cette tâche à un robot fait pour cela.
Les quantités moyennes conseillées pour un repas :
-Pour la viande ou le poisson, on comptera environ une portion de 80 à 150 g pour une personne (ou 2 œufs, ou l'équivalent en protéines végétales). -Pour les pâtes, le riz, la semoule et autres féculents prévoyez 70 à 100 g. -Pour les légumes cuits 150 à 250 g.
Vous parlez d'anxiété, de stress, de ruminations (les pensées qui tournent en boucle dans la tête sans trouver de réponse). Ce sont des éléments qui sont très souvent associés à une perte de motivation, avec un "pas envie". La question est donc de savoir quelles sont ces pensées, ainsi que les émotions associées.
La bonne idée : sortir de sa zone de confort, en se lançant de nouveaux défis. On mise par exemple sur les basiques, comme une prise de parole en public. Un petit jeu de « cap ou pas cap ? », idéal pour repousser nos peurs de façon ludique, s'ouvrir de nouveaux horizons et booster la confiance en soi.