« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Programmez une base de 3 séances par semaine maximum pour commencer le running à 40 ans ou plus. Pensez à définir un plan d'entraînement varié alternant des sorties lentes, des sorties en fractionné et des sorties en course rapide après un bon échauffement.
La VMA reste (quasiment) stable jusqu'à 50 ans
Un test réalisé aux Etats-Unis conclut : si un coureur de moins de 30 ans boucle un 10km en 36min, il maintiendra un chrono de 38min entre 40 et 50 ans.
Courir lentement permet d'améliorer la capacité d'apports sanguins dans les muscles. En endurance fondamentale, non seulement le cœur prend du volume, mais le coureur renforce dans le même temps la capillarisation des muscles. « Les capillaires, c'est le petit réseau qui va dans les muscles.
Quand on ne progresse pas, ce n'est pas forcément directement l'entraînement qui est en cause ! Car le but de l'entraînement, c'est simplement de stresser notre organisme pour l'obliger à progresser. Si on applique le bon stress, ni trop, ni pas assez, le corps se renforce et on progresse.
Sous les 40 minutes, respect, ça c'est un “bon temps 10 km”
Un enfant entre 7 et 10 ans pourra courir, à son rythme jusqu'à 15-20min, en dessous il pourra atteindre les 10min.
Cela signifie que les coureurs âgés produisent moins de force, se propulsent moins loin et vont moins vite, en moyenne. La différence principale en terme de technique de course est que les coureurs plus âgés utilisaient moins les muscles de leurs mollets. Pour quelle raison ces muscles sont-ils moins utilisés?
Pour une reprise en douceur, alternez des phases de marche et de course pendant une demie heure. Commencez la session par une marche dynamique d'une dizaine de minutes, puis faites des pauses aussi souvent que vous en sentez le besoin.
Après 45 ans, on se surveille
Quant à ceux qui se mettent ou envisagent de se remettre à la pratique sportive, mieux vaut pour eux opter pour des sports comme la natation, la voile, le cyclisme, l'aviron…
Allez-y progressivement, 1 à 2 fois par semaine au tout début et augmentez petit à petit si vous voyez que votre corps encaisse bien. L'important, c'est d'écouter ses sensations. Votre corps saura vous dire si vous en faites trop. Vous devriez assez rapidement être capable de courir 3 fois par semaine.
Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
15 min de course lente à 65-70% de FCM + 3 x 10 sec de chaque éducatif : montées de genoux, talons-fesses, pas chassés avec récupération marche au retour) + 30 min en endurance et aisance respiratoire à 70-75% de FCM + 5 lignes droites en accélération (retour marché).
Une seule solution existe pour progresser : l'entraînement. Pour courir plus vite, il ne faut pas avoir peur de se mettre en difficulté. Vous devez habituer votre corps à une intensité qu'il ne connait pas encore. Si cela peut paraître délicat, accrochez-vous au cours de vos entraînements, les résultats arriveront.
Vous ressentez une douleur soudaine, brutale et qui s'amplifie avec l'effort, dans les pieds, les tibias ou les hanches. Peut-être est-ce une fracture de fatigue, une périostite tibiale, une aponévrosite plantaire, un syndrome de l'essui-glace. Il faut vous arrêter de courir et consulter.
De nombreux coaches conseillent des footings tout doux, à des allures avoisinants 10 km/h.
Pour les – de 45 ans : la séance sur piste
Cela permet en plus de bénéficier des conseils d'un entraîneur et de l'émulation d'un groupe. Vous y ferez aussi bien des séances de VMA courte (séries de 200 m, 300 m, 400 m, etc.
La course à pied est l'activité physique par excellence. Cette pratique très complète met en activité aussi bien les articulations qu'un grand nombre de muscles comme ceux de la voûte plantaire, les muscles dorsaux, les mollets, les quadriceps, les ischio-jambiers et les fessiers.
Une solution simple et rapide pour évaluer son niveau en course à pied consiste à déterminer sa VMA. Elle correspond à la Vitesse Maximale Aérobie et elle s'exprime en kilomètre par heure (Km/h). Pour faire simple, il est possible de tenir en moyenne pendant 6 minutes cette vitesse.
Courir régulièrement
La pratique du running permet de brûler environ 75 calories par kilomètre. Passer de 30 à 50kms par semaine signifie donc un déficit, à nutrition égale, d'environ 1 500 calories. Soit une perte de près de 250 grammes.
S'entraîner très régulièrement (au moins 3 fois par semaine) Privilégier des séances difficiles où le cardio est haut pour l'inciter à se renforcer (en gros les séances de difficulté 3 à 5 que tu retrouves chaque semaine sur le Campus) Faire de l'endurance lente ( < 75% FCM) pour augmenter son volume d'entraînement.
Privilégier certaines activités
En extérieur, la course à pied ou le vélo sont reconnus comme étant les meilleurs sports pour améliorer son endurance et ses capacités respiratoires. Vous pouvez également vous orienter vers la natation qui en plus stimulera la perte de poids et la tonification des muscles.
Si vous tenez absolument à savoir le temps moyen pour parcourir un kilomètre, on pourrait évaluer que sur un 10 km, dans les événements sportifs, les participants maintiennent généralement une allure de 6 minutes par kilomètres, soit 10 km / h.