Et on dira brèrre, avec un rde gorge, car le groisillon, contrairement au vannetais, gutturalise la terminaison zh », explique cette figure emblématique de l'île.
Le « C apostrophe H » est une lettre de l'alphabet breton qui se prononce comme la jota [ro-ta] en langue espagnole ou le CH en langue allemande.
Ainsi : Plougoumelen, Baden, Erdeven, Pont-Aven, Trébeurden, Goulven… Tous les autres situés au-delà de la côte, « dans les terres » comme on dit, se prononcent [ain] comme dans « pain » ou « matin ». Ainsi : Elven, Lesneven, Pleyben, Ploeren, Plougonven, Tréméven, Rosporden et donc bien sûr Rostrenen…
Hollgaret : Chéri(e)
Mersi est le mot breton directement issu du français « merci ».
Aujourd'hui, en Centre Bretagne, le doryphore, c'est le Parisien.
cette sempiternelle question, le plus simple est de répondre que les Bretons ne disent pas bonjour ! Par manque de politesse ? C'est en réalité tout le contraire ! Dans la société traditionnelle, les gens se côtoyaient certainement plus qu'aujourd'hui et prenaient le temps de discuter les uns avec les autres.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Près de la ville, proche de la côte, pour s'y installer ou pour passer des vacances, Crac'h est une commune où il fait bon vivre et travailler. Pour information, l'usage actuellement en pratique pour prononcer Crac'h est "CRACK".
En Bretagne, un chat se dit donc ur c'hazh (au féminin ur gazhez et au pluriel ar c'hizhier).
Ou bien, à prononcer «créache», le lieu-dit «Creac'h gwenn» à Quimper.
Breizh, le nom breton de la Bretagne, vient lui d'un ancien Brittia. Le terme Armorique est encore utilisé pour désigner la Bretagne et ce, même s'il désignait à l'origine un ensemble beaucoup plus vaste. Il est probablement issu du gaulois aremorica qui signifie sans doute « proche de la mer ».
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Mar plij (ganeoc'h) : s'il vous plaît. Trugarez : Merci.
Le premier, « purement négatif », consiste à souligner le caractère artificiel de la région des Pays de la Loire. Le deuxième argument renvoie à l'histoire et à l'appartenance ancienne de Nantes au duché de Bretagne. Le troisième argument porte sur le souci de préserver et développer l'identité bretonne de Nantes.
Breton « Eskuzit ac'hanon » ou « Digarez »
APERITIF m. -où, & digor -kalon m.
A savoir le ar breton correspond à la particule française le ; de plus certains suffixes sont propres à la Bretagne et permet de repérer les noms made in breizh comme -ec, -ic, -ou, -an, -en, -egan, -egen, -ès, -ez.
− Qui est propre à Paris, caractéristique de ses habitants, généralement de ceux qui vivent dans un quartier populaire. Synon. faubourien. Esprit parigot.
Les lettres BZH, que l'on trouve souvent sur les voitures des bretons, sont en fait l'abréviation de 'Breizh' (qui signifie Bretagne, en breton).
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Yec'hed mat !
Elle signifie : santé, tchin-tchin ou encore à la tienne.