Le premier serveur servira la balle au receveur jusqu'à la fin du jeu. Une fois le set terminé, le receveur devient le serveur et sert la balle jusqu'à la fin du set suivant.
On détermine celui qui sert en premier par un simple tirage au sort effectué avant l'échauffement. A chaque fin de jeu, le serveur devient le receveur. En double, l'ordre des serveurs est respecté de la même manière, les quatre joueurs servant tour à tour.
Le « serveur » est le joueur qui met la balle en jeu pour le premier point. Il a le droit à deux balles pour débuter le point, mais s'il ne réussit aucune de ses deux balles, alors il perdra le point dès l'engagement.
Règles. Le joueur (ou l'équipe) dont c'était le tour de servir au terme des douze jeux engage le premier point ; l'adversaire sert ensuite pour le deuxième et troisième point, chacun servant ensuite alternativement deux fois.
Le 1er joueur à servir dans un jeu décisif ou tie-break est le dernier joueur à avoir retourner.
Un break est réalisé lorsqu'un joueur gagne un jeu alors qu'il est receveur. On dit alors qu'il a « pris le service » de son adversaire. Il donne un avantage certain au joueur qui le réalise. On parle de double break lorsqu'un joueur a réalisé deux breaks.
Au service, le but est de frapper la balle en diagonale à partir de vous pour atteindre le carré de service du côté opposé. Vous aurez deux tentatives pour réussir votre service, si vous échouez vous faites une double faute et vous perdez le point.
(Anglicisme) (Sport) Terme utilisé dans les sports de raquette tels que le tennis, le badminton ou encore le squash. Il peut être traduit par « nul » ou « balle à remettre », il est donné lorsque l'arbitre juge que le dernier point doit être rejoué. Le joueur a obtenu un let.
Empr. à l'angl. let « obstruction, arrêt » employé comme terme de jeux de raquettes (1871 ds NED) pour désigner l'entrée en contact de la balle avec un obstacle (le filet, au jeu de tennis, d'où le terme net « filet ») dans certaines conditions réglementaires prévoyant de refaire le service.
L'Australien Samuel Groth, 340e mondial, a battu le record de vitesse au service avec une balle enregistrée à 263 km/h lors d'un tournoi Challenger à Busan, en Corée du Sud.
Si on prend la traduction pure et dure, net c'est filet, let c'est laisser donc balle à remettre.
On annonce souvent le score 15A, 30A, 40A. C'est une familiarité de langage quand les deux joueurs ont marqué autant de points dans le jeu. Le A vient de "all" en anglais : "Partout" en français. Deux joueurs à 15-15 dans le jeu se dit 15 All ou 15 partout."
Lors de l'été 1970, l'International Tennis Federation (ITF) propose aux fédérations une autre version : à 6 jeux partout, le premier joueur à remporter au moins sept points (avec deux points d'écart) emporte la manche. Le tie-break que l'on connaît aujourd'hui est né.
(Tennis) Breaker pour annuler un break de l'adversaire.
Une fois qu'un point était remporté, le joueur ayant gagné l'échange devait s'avancer sur la ligne suivante, ce qui le rapprochait un peu plus du filet. Ces lignes étaient distantes de 15 pieds (environ 4,5 mètres). En toute logique, on aurait donc dû compter de la façon suivante : 15, 30, 45.
La vraie raison : il y a moitié moins de spectateurs pour les finales féminines que pour les masculines. Des joueuses rétorquent que l'intérêt du match serait plus intense en 5 sets et qu'il attirerait plus de monde. Elles militent ainsi pour des rencontres en 5 sets, au moins pour les finales.
Au début du tie-break, le joueur qui sert servira dans la boîte de droite du court (le deux) et à la fin du point, l'autre joueur servira et se relaiera tous les 2 services à partir de ce moment.
Pour gagner un match il faut gagner 2 sets (ou manche). Un set, correspond à 6 jeux. Lorsqu'il y a « 5-5 », il faut aller jusqu'à 7 jeux. S'il y a « 6-6 » on réalise alors un « jeu décisif » (tie break).
L'ancêtre du tennis a été inventé au Moyen Âge par des moines français qui cherchaient à faire un peu d'exercice dans leur cloître. Ce sport s'appelle alors le jeu de paume, et il devient si populaire en France que même les rois y jouent.
Balle dum-dum.
Tennisman, subst. masc.,tenniswoman, subst. fém. Joueur, joueuse de tennis.
Les joueurs doivent également changer de côté à la fin de chaque manche à moins que le nombre total de jeux de la manche soit un nombre pair, auquel cas le changement n'aura lieu qu'à la fin du premier jeu de la manche suivante. Au cours d'un jeu décisif, les joueurs changeront de côté tous les six points.
Lorsque l'on annonce un score au tennis, il faut toujours annoncer le score du serveur en premier. 4. On commence le jeu à 0/0 et on commence à servir à droite. Lorsqu'on gagne 1 point cela fait 15, 2 points cela fait 30, 3 points 40, 4 points on remporte le jeu et cela fait 1/0.
Le nombre 40 serait un raccourci de 45, trop long à prononcer. Quand les joueurs étaient à égalité à 40, l'avantage consistait à faire 5 pas supplémentaires. Une autre explication possible vient des paris d'argent, très fréquents pendant les rencontres de jeu de paume.