G note une consonne chuintante sonore et se prononce comme un j devant les voyelles e, i, y, comme dans geler, agiter, gymnastique. Pour obtenir la même prononciation devant les voyelles a, o, u, on intercale un e entre le g et cette voyelle, comme dans geai, geôle, gageure.
Il y a 3 manières d'écrire le son [ʒ] : – avec la lettre « j » devant toutes les voyelles en début ou milieu de mots. – avec la lettre « g » devant les voyelles e (e, é, è, ê), i, y. – avec les lettres « ge » devant les voyelles a, o, u.
Devant les voyelles a, o et u, la lettre g se prononce [g]. Pour obtenir le son [g] devant e et i, il faut ajouter un u après le g. Quand la lettre g est placée devant une consonne, elle se prononce [g]. Il existe cependant une exception devant le n : la lettre g se prononce [ɲ].
La consonne g, lorsqu'elle est prononcée [ʒ], apparaît surtout à l'intérieur des mots mais aussi à l'initiale, principalement pour des raisons étymologiques. Elle est plus fréquemment utilisée devant les voyelles e, i et y que la consonne j. En fait, on la rencontre toujours dans les mots français devant i et y.
Prononciation. En français, J est une consonne fricative se prononçant [ʒ], comme dans « joue » ou « jardin ». Elle se prononce parfois [d͡ʒ] dans des mots empruntés à l'anglais tels que « jet-ski » ou « jazz ».
IJ est utilisée pour représenter la diphtongue néerlandaise [ɛi̯]. Quand elle n'est pas accentuée, IJ se prononce comme un schwa, une voyelle moyenne centrale [ə]. On l'appelle parfois « IJ long », par opposition au « ij court » noté ei et prononcé de la même façon dans la plupart des dialectes néerlandais.
La prononciation du "Y" en "i" trouve son origine dans l'évolution de la langue latine. Le "Y" emprunté à l'alphabet grec était initialement utilisé pour noter un son absent du latin, le "u". Cependant, avec le temps, cette lettre commença à être employée pour transcrire le son "i".
Le son [g] peut être rendu par la graphie gh, que l'on trouve dans certains emprunts, surtout à l'italien, et dans laquelle le h permet de conserver la prononciation dure du g devant les voyelles e et i.
En n'écrivant qu'un seul s, on obtiendrait le son [z]. Si la lettre s est en début de mot ou entre deux consonnes ou entre une voyelle et une consonne, on entend le son [s]. Pour obtenir le son [s] entre deux voyelles, il faut doubler le s. Quand la lettre s est entre deux voyelles, on entend le son [z].
La lettre 'c' se prononce comme un 's' devant les voyelles 'e, i, y' et les doublons 'ae, oe', mais comme un 'k' devant les voyelles 'a, o, u'. Lorsque la lettre 'c' doit se prononcer comme 's' devant ces voyelles 'a, o, u', il est nécessaire de placer une cédille sous la lettre 'c'.
G en fin de mot
bourg et tous les mots finissant par -bourg, comme par exemple Beaubourg, Cherbourg, Duisbourg, Édimbourg, faubourg, Fribourg, Hambourg, Iékaterinbourg, Johannesbourg, Kronenbourg, Luxembourg, Saint-Pétersbourg, Strasbourg… (mais notez que le G se prononce \k\ pour la liaison dans Bourg-en-Bresse)
1Ce qui frappe l'ouïe, par l'effet de mouvements vibratoires rhythmiques et pendant quelque temps semblables à eux-mêmes, par opposition au bruit, où les mouvements sont confus, de durée et d'intensité inégales.
Gu suivi de e, é, ê ou i : prononcé [g]
Lorsque les lettres gu sont suivies des voyelles e, é, ê ou i, on les prononce généralement [g], comme la lettre g dans le mot gare.
Le son [ɛ] peut s'écrire avec la lettre ê comme dans fenêtre, avec la lettre è comme dans mère, avec les lettres ai comme dans balai ou avec les lettres ei comme dans reine.
Le G. Cette lettre se prononce [dʒiː] (“dji”) comme dans: l'interjection “Gee” (ça alors)
Susurrer vient du latin susurrare (un S, deux R, là aussi, on a donc conservé cette orthographe), qui veut dire bourdonner, en parlant des abeilles. C'est pas joli ? On entend presque leurs petites ailes "susurrer".
Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ]. - poisson, casser, coussin, etc. Un seul s entre deux voyelles fait le son [ z ].
Sauf que les mots soudés ont la particularité de conserver le son [s] de leur racine (ici « sol ») sans avoir besoin de doubler la consonne. C'est la même chose pour « parasol ».
Par exemple, le chiffre 7 se dit سَبْعة (sab'ah) et le nombre 17 se dit donc سَبْعةَ عَشَر (sab'ata 'ashar). Comme le veut le sens de lecture arabe droite gauche.
ﺡ appelé le ḥa. Il s'écrit avec un "7". Le "h pointé" se prononce de façon plus prononcée que le simple "h".
Olifant ! Comme tous les noms qui comportent la graphie ph, éléphant affiche l'élégante distinction de ses origines grecques. Eléphas, eléphantos (au génitif) est devenu elephantus en latin, puis elefant ou olifant en ancien français.
On écrit ph
Vous savez sans doute déjà qu'il provient du grec, de la lettre grecque phi en l'occurrence. On le trouve donc dans de nombreux mots composés à l'aide d'éléments d'origine grecque, comme phon, phil, phob ou photo, par exemple dans orthophonie, francophile, agoraphobe ou photocopie.
Avec le temps, le son a évolué et aujourd'hui, en français, le Y est la seule lettre que l'on puisse considérer à la fois comme une voyelle, puisqu'elle se prononce [i] et comme une consonne, puisqu'elle se prononce [j]. C'est pourquoi on la qualifie de "semi-voyelle".
Concernant ville, le mot est issu du latin villa et a conservé une prononciation proche de son origine, évitant ainsi la confusion avec le mot vile qui a une connotation négative. Quant à fille, elle suit la règle générale de prononciation comme dans papillon alors que ville se prononce comme vile.