Lorsque l'enfant se dispose à réaliser quelque chose qui est interdit, par exemple prendre un objet avec lequel il ne doit pas jouer, vous devez vous rapprocher, vous mettre à son niveau, le regarder dans les yeux et sans vous énerver lui dire fermement « non ».
Pour éviter de dire non trop vite
Au lieu de dire non tout de suite quand vous êtes pris au dépourvu par une demande de votre enfant, vous pouvez lui dire : « Laisse-moi y penser, je vais te répondre dans quelques minutes. » Cela vous donne le temps de réfléchir à la réponse la plus appropriée.
Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé. De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
Vers 8 mois, la parole “non” associée à votre gestuelle, à votre intonation est intégrée. A votre “non”, votre enfant stoppera son geste et vous regardera …
Quand un bébé crie fort, il peut être intéressant de chercher à écarter un éventuel problème auditif. Un enfant qui n'entend pas bien aura tendance à parler plus fort pour entendre sa voix. Si on a l'impression que c'est le cas, il ne faut pas hésiter à en parler à notre pédiatre qui nous orientera ou non vers un ORL.
Il vous faut surtout comprendre pourquoi ces colères. Vous dites quand on ne fait pas ce qu'elle veut. Il vous faut donc évaluer si ce qu'elle veut est légitime. Jouer avec quelque chose de fragile, ne pas vous tenir la main dans la rue, prendre un jouet sur un étalage, refuser d'aller au lit quand c'est le moment etc.
Lorsque l'enfant se dispose à réaliser quelque chose qui est interdit, par exemple prendre un objet avec lequel il ne doit pas jouer, vous devez vous rapprocher, vous mettre à son niveau, le regarder dans les yeux et sans vous énerver lui dire fermement « non ».
Il s'agit de lui signifier en prenant une grosse voix et en faisant les gros yeux que ce qu'il a fait n'était pas bien et qu'il ne doit pas recommencer. Cette admonestation ferme et sévère du parent, mais sans excès et sans que cela dure trop longtemps, constitue à elle seule une punition pour le petit enfant !
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
Cela se produit souvent entre 18 mois et 2 ans. Pour aider votre enfant à développer son langage, soyez à l'écoute de ses signaux de communication et répétez ce qu'il dit correctement en ajoutant des mots.
Les câlins (ou tout autre type d'affection) permettent de créer une petite bulle dans laquelle bébé se sent protégé, aimé. C'est durant ses quatre à six premiers mois de sa vie que vous créez les liens affectifs avec eux. Ainsi, votre relation avec votre tout-petit commence par ces gestes de tendresse.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
C'est normal! Chez les enfants de 1 et 2 ans, le recours à l'agression physique est très fréquent. Une part de ce comportement est liée au fait que l'enfant explore la réaction de la personne frappée.
Le nom « Terrible two » (de l'anglais « terribles 2 ans ») désigne la phase d'opposition qui commence vers l'âge de 18 mois et peut durer jusqu'aux 3-4 ans de l'enfant. Bien qu'elle prenne souvent les parents au dépourvu, cette période constitue une étape importante dans le développement psycho-affectif de l'enfant.
Il faut trouver la cause de ses cris. Il le fait peut-être à cause qu'il a un trop-plein d'énergie ou encore à cause de sa fatigue. Observer aussi si c'est davantage pour attirer l'attention sur lui ou si c'est vraiment sa façon de communiquer.
Un bébé qui fait des caprices cherche donc à s'affirmer, tout simplement. En tant que parents, vous devez d'abord réagir avec patience et souplesse. L'objectif : rester zen, ne pas crier plus fort que lui, mais aussi transformer - quand cela vous est possible - cette négativité en quelque chose de positif.
C'est donc la fréquence qui va également faciliter cet ancrage dans la mémoire de l'enfant. On sait qu'à 4 mois, l'enfant est capable d'identifier ses parents. Pour peu que les grands-parents soient souvent chez vous, qu'ils parlent fréquemment à votre enfant, celui-ci va les reconnaître rapidement.
Autre solution pour éviter les frustrations : c'est de lui enseigner la langue des signes ! Oui, oui, c'est un bon moyen de lui permettre de s'exprimer et de se faire comprendre, et de lui éviter ainsi quelques frustrations et colères !
Modifiez le dialogue dans votre tête. Par exemple, au lieu de penser : « Je ne suis plus capable! », dites-vous plutôt : « Je vais me calmer avant de réagir. » Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant.
Si bébé se réveille la nuit en pleurant et en criant mais que vous êtes sûrs qu'il est bien réveillé : il a certainement tout simplement fait un cauchemar. Comme d'habitude, votre présence rassurante et un rituel de sommeil seront nécessaires pour qu'il se rendorme mais il n'y a là rien d'inhabituel ou d'inquiétant.