Pour aider votre enfant à accepter l'heure du coucher, vous pouvez instaurer un rituel pour faciliter la séparation : lui lire ou lui raconter une histoire, lui chanter une chanson, lui faire un gros câlin… Identifiez ce qui apaise et fait du bien à votre enfant et laissez-lui ce plaisir.
C'est en général une phase qui ne dure pas si les parents ne sont pas trop complaisants, mais qui en même temps que de la fermeté réclame un peu de compréhension et de tendresse. Il vous faut d'une part le rassurer, et en même temps ne pas le laisser envahir votre soirée et votre nuit.
Pour les terreurs nocturnes qui surviennent nuit après nuit…
Vous pouvez emmener votre enfant à la toilette ou lui donner à boire, avant de le laisser se rendormir par lui-même. On peut faire cela chaque soir pendant quelques semaines et voir ensuite si les manifestations cessent.
Montrez à votre enfant comment respirer lentement pour se calmer. Demandez-lui de mettre ses mains sur son ventre et d'imaginer un ballon qui se gonfle quand il inspire et qui se dégonfle quand il expire. Répétez l'exercice avec lui jusqu'à ce que vous le sentiez plus calme.
Passer du temps avec votre tout-petit avant sa routine du dodo lui permet de combler son besoin d'attention avant d'aller au lit. Il aura alors moins tendance à prolonger la routine pour être avec vous. Un enfant s'endort plus facilement s'il fait sa routine du dodo et se couche avant l'apparition de signes de fatigue.
En restant calme, la situation présente moins d'intérêt pour lui et il se fera plus docile. Si votre enfant est turbulent, demandez-vous si vous lui laissez la possibilité de se poser de temps en temps. Souvent, on rentre de l'école, on fait les devoirs, on prend la douche, on mange, on joue une demi-heure et au lit.
Un câlin, un biberon, le sein, les bras : petit à petit, on apprend à son tout-petit à se séparer de nous, à se sentir rassuré dans son propre lit, en créant notamment des rituels qui favorisent ce moment de lâcher-prise qu'il faut pour s'endormir.
Heures indicatives du coucher : Heure du coucher de bébé à 18 mois : aux alentours de 20h. Heure du coucher de bébé à 2 ans : aux alentours de 20h30. Heure du coucher de bébé à 3 ans : aux alentours de 20h30.
Il a envie de faire les choses par lui-même
Toutefois, il est encore maladroit pour certaines tâches et il a souvent besoin de votre aide (ex. : pour s'habiller). Cela peut entraîner des frustrations puisque son envie d'autonomie est plus grande que ce qu'il est capable de faire.
Pour que la punition soit comprise, il faut respecter quelques règles. Tout d'abord, il faut que l'enfant sache que ce qu'il fait est interdit. Aussi, si l'enfant fait une bêtise pour la première fois, il faut commencer par lui expliquer que ce qu'il fait est mal. Si l'enfant récidive, il faut le punir.
Une supplémentation en zinc, fer et magnésium pourrait aider à diminuer certains symptômes de l'hyperactivité. Plusieurs études indiquent que les enfants atteints de TDAH souffrent de carences en ces minéraux et qu'une supplémentation durant trois mois peut permettre de réduire des troubles liés à l'hyperactivité.
Instaurer un rituel du coucher
S'aider d'un tableau des tâches où les différentes étapes sont dessinées (pyjama, dents, toilettes, lecture, dodo par exemple), peut aider l'enfant à visualiser, si vous en ressentez le besoin. Mais avoir le même schéma tous les soirs devrait déjà naturellement entraîner le bon rythme.
À partir de quel âge les terreurs nocturnes se produisent-elles ? Les terreurs nocturnes touchent presque exclusivement les enfants plus âgés, en général entre 4 et 12 ans.
Les terreurs nocturnes sont un trouble du sommeil qui touche environ 6 % des enfants âgés entre 18 mois et 4 ans, en général. Dans certains cas, elles peuvent perdurer jusqu'à l'adolescence, voire l'âge adulte (plus rare).
Dédramatisez le cauchemar. Affirmez-lui qu'il n'y a personne d'autres que vous dans la maison, qu'il ne risque rien et que ses parents sont là pour le protéger quoi qu'il arrive. Il peut donc se rendormir en toute sécurité. Prenez le temps le lendemain de lui demander de raconter son rêve et de le dessiner.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
Un câlin, un biberon, le sein, les bras : petit à petit, on apprend à son tout-petit à se séparer de nous, à se sentir rassuré dans son propre lit, en créant notamment des rituels qui favorisent ce moment de lâcher-prise qu'il faut pour s'endormir.
les bébés âgés de 4 à 12 mois devraient dormir de 12 à 16 heures par jour; les tout-petits de 1 à 2 ans devraient dormir de 11 à 14 heures par jour; les enfants de 3 à 5 ans devraient dormir de 10 à 13 heures par jour; les enfants de 6 à 12 ans devraient dormir de 9 à 12 heures par jour.
Si l'angoisse de séparation se manifeste la nuit, essayez de rassurer votre bébé. Lisez-lui une histoire, donnez-lui la tétée ou le biberon, faites-lui des câlins et instaurez cela comme un petit rituel avant de dormir. Partez lorsqu'il est encore éveillé pour qu'il s'habitue à s'endormir seul.
Mettez-le en pyjama pour l'heure du coucher.
Optez pour un pyjama chaud pendant les mois les plus froids ou si vous gardez votre maison fraiche grâce à l'air conditionné. Les enfants de cet âge se défont souvent de leurs couvertures durant leur sommeil et s'ils ont trop froid, ils peuvent se réveiller la nuit.
L'angoisse de séparation est une étape normale du développement des enfants qui survient vers l'âge de 8 mois et se termine vers l'âge de 18 mois. Lors de cette période, votre bébé est rassuré par votre présence.
L'angoisse de séparation survient généralement vers les 6 mois de bébé et se poursuit jusqu'au 8e ou 9e mois environ. Si la période dure trop longtemps, il peut être intéressant de demander conseil au pédiatre de votre bébé. Il pourra vous donner des conseils utiles pour aider bébé à sortir de cette période.