Ne vous écrasez pas face à elle, et ne lui laissez pas croire qu'elle peut toujours avoir le dernier mot. Prenez des décisions sans elle, et montrez-lui que son avis n'est pas un élément indispensable comme elle peut le penser. Le plus important est d'avoir confiance en vous et de ne pas vous laisser intimider.
Parlez-en à votre partenaire : rappelez-vous que ce problème n'existe que parce que votre partenaire ne sait pas mettre une limite à sa mère. Il est déjà un adulte pour décider avec qui et comment il veut mener sa vie, sans interférence extérieure, et il devrait le dire clairement à sa mère dès le début.
Soyez extrêmement gentille
Demandez-lui comment elle en sait autant et si elle a déjà fait des erreurs. Mais sérieusement, parfois, le fait d'être la personne la plus importante dans une situation comme celle-ci peut être très utile, car si votre belle-mère est vraiment toxique, elle voudra vous faire réagir.
Utilisez le principe du « merci positif ». « Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
Travaillez différentes expressions feintes devant un miroir, jusqu'à les imiter parfaitement : compassion, admiration, tristesse, stupéfaction et la plus importante : l'innocence. En règle générale, soyez aussi fourbe, péremptoire, faux-cul et odieuse qu'elle, mais pas en présence d'éventuels témoins.
Qu'il s'agisse de vous ou d'une autre, votre belle-mère trouverait toujours à redire. Soyez patiente et positive et laissez le temps agir et votre belle-mère s'habituer peu à peu à votre présence. Laissez glisser certaines remarques, choisissez vos batailles ! Tous les conflits n'en valent pas la peine.
Une belle-mère toxique est égocentrique
Seule elle compte, son opinion et sa domination. En réalité, elle n'a que peu faire des autres. Seul le pouvoir qu'elle exerce sur son enfant, compte. Enfant qu'elle considère par ailleurs, non pas comme un individu à part entière, mais comme une extension d'elle-même.
La plupart du temps, ses problèmes seront surtout dus à ses peurs et à son manque de confiance. Faites donc de votre mieux pour ne pas les prendre à cœur ou les intérioriser. Pour supporter une belle-mère pénible, parlez-en à votre époux(se) afin que vous puissiez mettre au point une stratégie ensemble.
Pour pouvoir se libérer d'une mère toxique, il est essentiel de d'abord se sentir libre d'être qui on est en sa présence. Alors n'hésitez plus à exprimer vos besoins, vos désaccords et vos positions face à elle, quitte à la vexer ou la décevoir.
Vieillir va donc signifier pour lui perdre de l'emprise et de son pouvoir sur les autres. Comme ce pouvoir est lié au corps, précieux miroir de son narcissisme, certains peuvent s'ingénier à nier ce déclin en recourant à tous les subterfuges esthétiques possibles : soins corporels, chirurgie, culture physique…
Dites-lui quelque chose comme : « J'ai l'impression que tu as des problèmes de compréhension » « Ce n'est pas ce que je dis », Choisissez un mode de communication non-violente pour lui prouver et prouver aux autres qu'il ne répond pas à ce que vous dites mais ne cherche qu'à vous discréditer.
En effet, dans ces contes, la marâtre est en général présentée comme une mauvaise belle-mère, voire une méchante belle-mère. Par extension et de par la signification péjorative du suffixe français -âtre (comme dans noirâtre), marâtre est devenu synonyme de mauvaise mère (y compris pour désigner la mère biologique).
Dans un premier temps, il vaut mieux en parler avec son compagnon, en lui demandant de l'aide. Si on lui demande d'intervenir il risque d'être pris dans un conflit de loyauté. Mieux vaut aussi dire : « J'ai du mal quand ta mère m'aide avec le bébé. », plutôt que : « Ta mère est pénible ».
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Finalement, il doit accepter ses parents avec compassion, qu'il les aime ou non. En même temps, il doit reconnaître qu'il est digne d'amour, apprendre à établir des limites avec sa mère et les autres, et à apprécier et exprimer ses besoins et ses sentiments.
Un parent toxique s'immisce dans la vie de son enfant, quitte à violer son intimité. Il ne se sentira jamais de trop et ne pensera pas un seul instant que son enfant peut se passer de son avis ou de ses conseils. En règle générale, un parent toxique est incapable de faire confiance à son enfant.
La mère toxique ne communique pas, n'entend pas, ne s'excuse jamais, ne se remet jamais en question, fait la sourde d'oreille, souvent sous couvert “d'expérience” ou de lien générationnel. Communiquer avec une mère toxique est pour ainsi dire impossible. Elle a toujours raison, et sait toujours mieux que tout le monde.
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Montrez votre bienveillance en offrant des cadeaux par exemple ou en proposant votre aide. Dans toutes les situations, restez naturel, jouer les plastiques ne fera qu'empirer votre situation. Il vaut mieux que votre belle-famille vous voie sous votre vrai jour et s'y adapte dès la première rencontre.
Faire preuve d'affirmation de soi : reconnaître ses droits, apprendre à dire non, se fixer des limites et les défendre de manière claire et directe sans crainte de conséquences possibles. Assumer le rôle qui vous correspond : en tant que fils ou fille, ne soyez en aucun cas un père ou une mère ou un protecteur.
la mère du conjoint pour l'autre conjoint (voir Alliance (famille) § « Terminologie »); nouvelle femme du père ou de la mère, pour les enfants d'un mariage antérieur. On dit aussi, avec une connotation péjorative, « marâtre », ou à l'opposé avec une appellation affectueuse « belle-maman ».
Avant de complètement couper les ponts avec vos beaux-parents, tentez de limiter vos fréquentations. Invoquez votre emploi du temps, vos rendez-vous incontournables, votre état de santé. N'hésitez pas à faire de petits « mensonges pieux ».
Les belles-mères n'étant pas toujours tendres envers les enfants d'un premier mariage comme en témoigne le vers français médiéval De mauvaise marastre est l'amour moult petite, on comprend aisément que le terme marâtre soit devenu synonyme de mauvaise belle-mère.