« Tous les 3 ou 5 pas, vous faites un mouvement de rotation du buste vers la gauche ou vers la droite, sans vous arrêter de marcher. Durant cette rotation, écartez les bras pour les étendre et former une croix. Revenez à la position initiale, continuez à marcher, puis effectuez le même mouvement de l'autre côté ».
La rééducation à la marche se fait suivant plusieurs étapes, avec des objectifs progressifs : Apprendre à se lever sans difficulté Améliorer l'équilibre et apprendre à maintenir la posture. Travailler les différentes phases de la marche.
En pratique, il s'agit d'exercices d'équilibre, de coordination et de marche, effectués par le patient et supervisés par le kinésithérapeute. Des exercices de renforcement musculaire peuvent aussi être effectués ; en effet, il n'est pas rare qu'une faiblesse musculaire accompagne les troubles de la marche.
Le mouvement classique consistant à se mettre sur le côté, à fléchir les genoux puis à pousser pour se retrouver à quatre pattes et, de là, à chercher un appui pour se relever, doit être montré, travaillé et mémorisé.
étirement et stretching doux des muscles longs de la jambe et de la cuisse. tonification des muscles de la cuisse : flexion, extension, abduction, rotations, adduction. travail en chaîne ouverte série en bannissant toute résistance au pied. rééducation à la marche en décharge.
La raison la plus probable pour expliquer la longueur du pas raccourcie (la distance d'appui entre un talon puis l'autre) est la faiblesse des muscles du mollet, qui sont responsables de la propulsion du corps vers l'avant; la force musculaire du mollet est sensiblement diminuée chez les personnes âgées.
le vieillissement ; le manque d'activité physique ; l'obésité ; ou encore des maladies chroniques comme le diabète, l'arthrose ou des maladies neurologiques.
Le cervelet fonctionne mal, provoquant une perte de la coordination. Souvent, les personnes ne peuvent pas contrôler leurs bras et leurs jambes, ce qui les fait marcher à grands pas et sans assurance.
Elles peuvent être infectieuses, endocriniennes, neurologiques, inflammatoires, génétiques, rhumatologiques, liées à un médicament, etc. La faiblesse peut débuter dans l'enfance (myopathie génétique, par exemple) ou beaucoup plus tard dans la vie.
Cela se manifeste par une fonte musculaire importante qui peut être la conséquence : - D'un manque d'activité prolongée d'un bras ou d'une jambe souvent lié à une blessure et ou une opération qui nécessitent d'immobiliser le membre en question…c'est que l'on appelle une fonte musculaire après immobilisation.
Incident nerveux, neuropathies
Même chose pour les neuropathies, les maladies affectant les nerfs et le système nerveux en général. Une paralysie par exemple peut s'accompagner d'hypoesthésie. D'autres causes de l'hypoesthésie sont l'alcool, le VIH, les effets secondaires de médicaments ou certaines tumeurs.
Le stepper permet de remplacer la marche quand on est confiné chez soi et de parcourir les 10 000 pas par jour recommandés par l'OMS. Il sollicite les membres inférieurs (fessiers, abducteurs, adducteurs, quadriceps, mollets) ainsi que la ceinture abdominale, le tout sans chocs pour les articulations.
Si la personne est trop penchée en avant durant la marche, elle va solliciter beaucoup trop sa musculature postérieure et pas suffisamment le plan antérieur au niveau abdominal. Soit cette personne n'a pas assez d'abdominaux, soit elle se penche en avant à cause de l'âge pour éviter les chutes.
Les personnes âgées en bonne santé devraient passer au moins 2,5 heures par semaine à faire des activités modérées (comme la marche) ou au moins 1,25 heures par semaine à faire des exercices vigoureux (de type jogging à allure lente ou encore marche rapide).
La perte d'équilibre chez le senior résulte de différentes causes : Les troubles musculaires, notamment des membres inférieurs. Les troubles neurologiques au cerveau (le nerf vestibulaire notamment qui provoque des ataxies). Les troubles de la vision.
Les plus fréquentes sont : Certains traitements médicamenteux, notamment les antiépileptiques, les neuroleptiques, les antidépresseurs et certains traitements pour le coeur. Une faiblesse musculaire. Des troubles de l'oreille interne, qui est l'organe de l'équilibre.
La marche rapide est bien sûr recommandée. Le minimum de pas recommandés se monte à environ 4.400, soit entre 2,5 et 3 km de marche au total. Idéalement, les seniors sont encouragés à marcher entre 4.400 et 7.500 pas par jour.
À la portée de tous, la marche à pied peut être pratiquée à tout âge et ne nécessite aucune condition physique particulière. Souvent conseillée aux seniors, cette activité permet à chacun de préserver son capital santé et sa forme physique, tout en prévenant l'apparition de certaines maladies.
Faiblesse musculaire (p. ex., causée par un accident vasculaire cérébral, utilisation de certains médicaments, myélopathie due à une spondylose cervicale, ou atrophie musculaire) Hydrocéphalie. Syndrome parkinsonien.
Liste d'activités favorables à l'autonomie des seniors :
Séances physiques comme la gym douce, le karaté santé, la randonnée, le yoga. Le jardinage pour ses vertus apaisantes et physiologiques. Atelier esthétique comme le massage, les soins beauté afin de maintenir l'estime de sa personne.
Un trouble de la marche chez une personne âgée peut venir des pieds, de la hanche, des genoux, du dos, d'une faiblesse musculaire, d'un trouble neurologique, d'une multitude de douleurs, qui ont tendance à faire prendre certaines positions pour ne pas avoir mal, sans oublier les troubles de la vue…
En effet, il n'y a pas de traitement standard pour la perte d'équilibre, cela va dépendre de la cause identifiée lors du diagnostic. Les options de traitement les plus fréquentes sont : Les exercices de kinésithérapie. La prise de médicaments (antibiotiques ou antivertigineux)