Ils ne portent pas la culotte (pantalon qui s'arrête au genou) et les bas de soie (réservés à la noblesse et la bourgeoisie) mais une veste courte à gros boutons (la Carmagnole) ou un gilet, se coiffent d'un bonnet rouge (bonnet phrygien) en souvenir des esclaves libérés et marchent en sabots.
Les Sans-Culottes deviennent un groupe plus important et plus actif entre 1792 et 1794 ; l'apogée de leur influence commence à émerger à une étape charnière de la Révolution française.
— leurs adversaires sont les « Montagnards ». On les appelle ainsi car ils ont pris l'habitude, à la Convention, de se rassembler sur les bancs les plus élevés de la salle, la « montagne ». Ils souhaitent limiter la propriété et contrôler le commerce. Ils sont souvent plus proches des « sans-culottes ».
Les sans-culottes cherchent surtout à se démarquer des catégories sociales supérieures dirigeantes. Animés par le désir d'égalité, ils méprisent la richesse incarnée par l'aristocratie et la grande bourgeoisie.
« Sans-culottes » est le nom donné, au début de la Révolution française de 1789, par mépris, aux manifestants populaires qui portent des pantalons à rayures et non des culottes (hauts-de-chausses), symbole vestimentaire de l'aristocratie d'Ancien Régime.
Il devient alors l'emblème de tous les amoureux de la liberté. À partir de 1791, il est porté par les « sans-culottes » (nom donné, au début de la Révolution, aux manifestants populaires) et mis sur le devant de la scène par les Jacobins, à Paris.
Il s'agit en effet d'une doublure, qui sert de protection à la partie intime de la femme. Le vagin se nettoie tout seul de l'intérieur, et cette petite poche absorbe la sécrétion émanant de l'organe génital. Elle absorbe également la transpiration de cette zone, empêchant ainsi la prolifération de bactéries.
Le Club des jacobins est une société de pensée qui a constitué, pendant la Révolution française, à la fois un groupe de pression et un réseau d'une remarquable efficacité. L'action du club, essentielle dès le début de 1790, devient dominante entre 1792 et 1794.
Le 20 juin, les Sans-Culottes parisiens ont attaqué le Palais des Tuileries afin d'obtenir un changement de la politique du roi. Malgré la menace Louis XVI n'a pas cédé.
1918, la culotte vient de naître. Finie la culotte fendue et merci à Monsieur Pierre Valton, inventeur de ce petit bijou et aussi de la marque Petit bateau.
Les montagnards y sont de plus en plus puissants, notamment depuis l'élection de Robespierre au Comité de Salut public. C'est justement Robespierre qui entraînera les Sans-culottes dans sa chute en 1794.
Période de la Révolution française (1793-1794) pendant laquelle des mesures exceptionnelles sont mises en place pour arrêter et punir les opposants aux Montagnards.
La Terreur prend fin avec la mort des principaux députés Montagnards dont Robespierre, figure de proue du gouvernement révolutionnaire, guillotiné le 28 juillet 1794. L'héritage de notre République, inaugurée dans la politique de "la Terreur", anime toujours autant de débats au sein de notre histoire politique.
Les sans-culottes jouent un rôle très important dans la politique de l'après-révolution puisqu'il ils participent à l'arrestation manquée du roi le 17 août 1792 à Varennes puis de sa mise à mort en 1793 et s'emparent du château des tuileries.
Cette loi ordonnait l'arrestation de tous les ennemis avoués ou susceptibles de l'être de la Révolution (nobles, parents d'émigrés, fonctionnaires destitués, officiers suspects de trahison, et accapareurs).
Le 21 janvier 1793, le roi Louis XVI, rebaptisé Louis Capet dans l'acte d'accusation de son procès, est guillotiné en public sur la place de la Révolution, actuelle place de la Concorde, à Paris. Sa mort met un terme à près de 1 300 ans de monarchie en France, depuis le règne de Clovis à la fin du Ve siècle.
En 1792, il est jugé par les révolutionnaires. La monarchie tombe et laisse place à « L'An I de la République française ». Louis XVI, guillotiné le 21 janvier 1793, est le dernier monarque à vivre au château de Versailles, surnommé par les insurgés, « Louis le Dernier ».
Après le 10 août 1792, Louis XVI et Marie-Antoinette sont incarcérés et accusés notamment d'avoir manœuvré avec les puissances étrangères contre la Révolution. Louis XVI est condamné à mort et guillotiné le 21 janvier 1793. Marie-Antoinette est exécutée le 16 octobre 1793.
On parle souvent des Jacobins comme d'une minorité agissante, quelquefois fanatique qui utilise la Terreur (épurations, exécutions). Mais on loue tout autant leur héroïsme quand ils ont dû faire face aux forces coalisées et quand ils ont su les vaincre.
La Terreur est le chrononyme communément employé pour désigner une période de la Révolution française s'étendant entre 1793 et 1794 . Elle est caractérisée par la mise en place d'un gouvernement révolutionnaire centré sur le Comité de salut public et le Comité de sûreté générale.
Robespierre, l'homme de la Révolution
Pendant la Révolution, il est constituant et s'impose comme orateur à l'Assemblée et aux Jacobins. Ses discours séduisent les "patriotes".
(Habillement) Sorte de slip masculin qui possède sur le devant une ouverture ressemblant à une poche. Cette ouverture est destinée à pouvoir uriner sans baisser la ceinture du slip.
(Habillement) Partie du pantalon couvrant le fessier et susceptible de s'user plus rapidement que le reste de ce vêtement.
En tant que première couche de vêtement, au plus près de votre intimité, les sous-vêtements sont une pièce particulièrement exposée aux frottements avec vos autres vêtements. C'est ce phénomène d'abrasion continue qui, au fil des ports, va affaiblir et amincir la toile jusqu'à ce qu'elle cède…et fasse un trou.
Figure féminine combattante coiffée du bonnet phrygien, elle brandit le drapeau tricolore sur les barricades. Les Républicains victorieux en 1848 en feront leur emblème. Après la révolution de 1848, Marianne incarne la République victorieuse.