Le moyen le plus simple d'identifier dans votre expérience quelles variables sont la variable indépendante (VI) et la variable dépendante (VD) est de mettre les deux variables dans la phrase ci-dessous d'une manière qui a du sens. « La VI provoque un changement dans la VD.
Une VI : c'est ce que l'on manipule, ce que l'on fait varier dans le cadre de l'expérimentation. On identifie la ou les VI en répondant à la question « Qu'est-‐ce qui varie dans l'expérience en terme de situation (caractéristiques de l'environnement physique ou social) et/ou de caractéristiques des individus ? ».
Les variables indépendantes sont celles qui sont manipulées, tandis que les variables dépendantes sont seulement mesurées ou enregistrées.
La variable indépendante correspond directement à ce qui intéresse l'expérimentateur. Ce dernier cherche à comparer les comportements des participants confrontés à deux (ou plus) conditions expérimentales différentes.
La vérification de manipulation est indispensable dans deux situations : 1)lorsque la variable indépendante n'est pas observable (on parle de variable latente), et 2) lorsque la variable indépendante est potentiellement confondue avec d'autres variables (confound effect).
Les variables nominales présentent des catégories que l'on nomme avec un nom. Par exemple : homme ou femme, le nom de la voiture, une couleur. Le seul calcul faisable sur les variables nominales est le nombre d'éléments par catégorie.
Statistiques. En statistiques, une variable indépendante est un paramètre ou une caractéristique pouvant prendre au moins deux valeurs différentes dont la variation influence la valeur d'une ou de plusieurs autres variables, à savoir, les variables dépendantes.
Exemple : l'âge est théoriquement une variable quantitative continue, mais en pratique l'âge est mesuré dans le meilleur des cas au jours près.
On dit que X et Y sont 'indépendantes' si tout événement lié à X est indépendant de tout événement lié à Y. C'est à dire, compte tenu de la définition de l'indépendance des évènements, si P((X∈I)∧(Y∈J))=P(X∈I)×P(Y∈J).
On distingue ainsi classiquement trois types de caractères observables, ou encore de variables : les variables nominales, les variables ordinales et les variables métriques.
Pour le blanc, il concerne l'acidité et l'onctuosité. Ensuite, penchez-vous sur les arômes que vous ressentez et l'équilibre qui existe entre eux. La charpente du vin, sa rondeur, sa vivacité et sa longueur en bouche sont autant d'éléments qui permettent d'en définir sa qualité.
Un vin blanc sec est un vin blanc qui contient moins de 2 grammes par litre de sucre résiduel soit moins de 0,2%. Pour les vins secs effervescents, la teneur en sucre est de 17 à 35 grammes par litre.
L'équilibre gustatif
Lors de la dégustation, l'équilibre en bouche doit être présent. En réalité, pour un bon vin blanc l'équilibre réside entre deux axes : l'acidité et l'onctuosité. Pour ce qui est du vin rouge, on en dénombre trois : l'acidité, l'onctuosité et le tanin.
pour tester le type d'une variable, on peut faire : type(var) == list (ou str ou int ou float) mais pour tester le type d'une variable, le mieux est isinstance(var, list). isinstance donne True si on teste si un objet contre sa classe, mais aussi contre ses classes de base.
La principale différence entre les variables nominales et les variables ordinales est que les variables ordinales ont un ordre de catégories alors que les variables nominales n'en ont pas.
correspond aux nombres à virgule flottante en double précision, stockés usuellement sur 64 bits. Il existe également un type float donnant une moins grande précision. Usuellement les variable de type float sont stockées sur 32 bits.
Les variables quantitatives discrètes
Elles ne peuvent prendre que des valeurs numériques entières. Elles se distinguent par le fait que le passage d'une valeur à une autre est discontinu.
Les variables quantitatives continues correspondent à des données issues de mesures, comme par exemple la taille, le poids, la pression artérielle, la glycémie, etc.
La variable exprimée en valeur nominale (appelée aussi variable en valeur) se lit avec l'unité monétaire de l'année courante. On raisonne alors en « euros courants ». La variable exprimée en valeur réelle (appelée aussi variable en volume) se lit avec l'unité monétaire de l'année de référence.
Un caractère peut être qualitatif (non mesurable) ou quantitatif (mesurable). Un caractère quantitatif est discret s'il prend un nombre fini de valeurs ou continu, s'il prend toutes les valeurs entre deux limites.
Les valeurs nominales des produits sont les valeurs affichées pour ces produits à une période donnée. Les valeurs réelles sont les valeurs corrigées de la variation générale des prix par rapport à une base. Cette variation générale est en général une hausse des prix, appelée inflation.