Pour soulager une céphalée de tension, commencez par prendre un traitement antalgique, c'est-à-dire qui calme la douleur. Ils sont vendus sans ordonnance. Vous pouvez utiliser du paracétamol, ou éventuellement de l'aspirine ou de l'ibuprofène (sauf contre-indication). Mais ne mélangez jamais ces différents médicaments.
Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d'intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d'étau autour de la tête. Le stress, les troubles du sommeil, la douleur cervicale ou mandibulaire ou la tension oculaire peuvent déclencher ces céphalées.
Réchauffez votre nuque : si l'application de froid sur les tempes et le front apaise la migraine, l'application de chaleur au niveau de la nuque contribue à détendre tous les muscles situés à la base de la tête et permet ainsi de prévenir et/ou soulager les céphalées de tension.
Renforcer son estime de soi peut être un bon moyen d'atténuer cette pression. Prendre confiance, affirmer ses choix, sa vie, son corps, son tempérament, ses besoins... En s'écoutant et en écoutant les autres, on peut aisément mettre une distance saine sur cette pression sociale.
Selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of the American Heart Association, un exercice de respiration appelé "entraînement de la force musculaire inspiratoire" permettrait aussi de réduire la pression artérielle en le pratiquant 5 minutes par jours.
Résumé. – L'hypertension intracrânienne (HIC) est définie par l'existence d'une pression intracrânienne supérieure à 15 mmHg de façon durable. Les signes cliniques révélant une HIC sont, avant tout, des céphalées rebelles aux antalgiques, des vomissements en jet et des troubles visuels (œdème papillaire, diplopie).
L'exercice :
En position couchée, placez votre poing sous votre menton et relevez la tête en appuyant dessus. Maintenez la position quelques secondes et refaites plusieurs fois le mouvement, en respirant bien.
Un mal de tête : la douleur est légère à modérée en étau, des deux côtés de la tête, sans nausées. Il s'agit le plus souvent d'une céphalée de tension, provoquée par le stress et/ou à la fatigue. Une rupture d'anévrisme : la douleur, de survenue brutale, est d'emblée très intense.
Lorsque le mal de tête survient, la stimulation du point 4GI (4ème point du Méridien du Gros Intestin) peut aider à soulager la douleur. "Il se trouve sur la main, dans le pli entre le pouce et l'index. Les points d'acupuncture 7P (Poumon) et 20 VB (Vésicule Biliaire) agissent aussi sur les maux de tête.
La méthode de référence pour la mesure de la pression intracrânienne (PIC) repose sur des dispositifs invasifs qui sont soit un cathéter intraparenchymateux soit un cathéter intraventriculaire.
Complications. La complication la plus néfaste de l'hypertension intracrânienne est l'engagement cérébral. Une cécité est également possible par compression du nerf optique.
Un œdème cérébral (aussi connu sous le nom d'augmentation de la pression intracrânienne) survient lorsque le tissu cérébral enfle. Cela se produit lors d'une blessure, d'une infection, après un accident vasculaire cérébral ou à cause d'un manque d'oxygène (aussi appelé ischémie).
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
La pression artérielle des participants ayant consommé l'eau à forte teneur en calcium et magnésium a diminué de façon significative et ce, dès la deuxième semaine de traitement. À la fin de l'étude, deux semaines plus tard, la pression artérielle moyenne de ce groupe était passée de 156,8/91,7 à 150,4/89,1.
Chez les personnes hypertendues, la prise de paracétamol au long cours augmente légèrement, mais significativement, la pression artérielle. Cet effet secondaire justifie un regain de prudence dans sa prescription aux personnes à risque cardiovasculaire.
Le stress, lui, nous fait toujours courir. De même, nos doudous électroniques – téléphones et tablettes – créent une distorsion du temps. Nous vivons dans un sentiment d'urgence permanente qui pousse à se mettre la pression. Il est temps de ralentir.
M'allonger au soleil et ne rien faire. Ecouter mes musiques préférées, mon Ipod vissé sur les oreilles, tranquillement posée sur un transat. Manger une glace en bord de mer en famille. Laisser les odeurs de monoï et autres sensations liées aux vacances me guider doucement vers la détente, à mon rythme.
Stress et hypertension
Le calcul mental, une activité physique, certaines émotions, parler en public, être soumis au stress font monter la pression artérielle. On connaît par exemple très bien l'effet blouse blanche qui est une augmentation de la tension artérielle liée au stress que cause l'examen médical.
Être hypertendu ne signifie pas que l'on est tendu nerveusement. L'hypertension n'est pas une maladie qui affecte les nerfs, mais la pression du sang à l'intérieur des artères : Une personne tout à fait calme et sereine peut très bien souffrir d'hypertension artérielle.
Le point d'acupression se situe en-dessous du poignet, au début de l'avant-bras, dans le creux en bas de votre pouce, là où se trouvent les deux tendons.