Autre astuce pour diminuer la fréquence de vapotage : allonger l'intervalle entre deux e-cigarettes et essayer de s'occuper pour penser à autre chose. Si vous avez besoin d'un soutien supplémentaire pour le sevrage nicotinique, consultez un tabacologue.
Dans 99% des cas de vapotage excessif, c'est le dosage de nicotine qui est responsable. Lorsque vous manquez de nicotine, vous ressentez le manque, ce qui vous pousse à encore plus vapoter. Rééquilibrez la dose de nicotine de vos e-liquides pour réduire la fréquence de vos pauses vaping.
Surdosage. Enfin, ne vous inquiétez pas, vous ne pourrez jamais trop vapoter ! Si le corps assimile trop de nicotine, il vous le dira instantanément : étourdissement, nausée, maux de tête sont autant de symptômes qui vous feront naturellement mettre votre e-cig de côté pendant un petit moment.
Choisir le bon moment
En effet, avant d'arrêter de vapoter, il faut vous assurer d'être stabilisé dans votre arrêt du tabac, car en vous privant du vapotage, vous pourriez avoir de nouveau envie de fumer, vous remettre à vapoter encore plus qu'avant ou avec des taux de nicotine plus élevés.
Vapoter fréquemment peut, à force, créer une sensation de sécheresse buccale, voire d'irritation dans la gorge. Il est important, dans ce cas-là, de bien s'hydrater. Il se peut aussi qu'un trop fort taux de nicotine puisse provoquer des maux de tête, des nausées ou encore des vertiges.
La dernière étude britannique sur la vape annonce qu'elle est 95% moins nocive que le tabac. Les spécialistes de la santé ne cessent de s'affronter sur le sujet. Néanmoins, il est une certitude, plutôt que fumer, il vaut mieux vapoter. Mais plutôt que vapoter, mieux vaut ne rien inhaler du tout.
Le vapotage ne fait pas grossir. Il n'y a aucun lien entre la cigarette électronique et la prise de poids. Les quelques kilos en trop qui peuvent apparaître lors du passage du tabac à la vapeur sont liés à l'arrêt du tabac et plus précisément à l'arrêt de la consommation de nicotine.
Non, la cigarette électronique n'abîme pas les poumons. Au contraire, quand vous passez au vapotage, vous libérez vos poumons de la cigarette. D'ailleurs, quand vous arrêtez de fumer, les cils vibratiles repoussent sur vos bronches et vous respirez mieux. Il est normal d'être inquiet lorsqu'on commence la vape.
Le vapotage peut introduire de la nicotine dans ton corps, ce qui te donnera envie d'en consommer encore plus et qui peut entraîner au bout du compte une accoutumance et une dépendance physique. Chez les adolescents, le vapotage avec de la nicotine peut altérer le développement du cerveau.
Changer d'arôme et éviter le goût tabac
À force de diminuer les doses, vous allez finir par vapoter sans nicotine. Pour franchir la dernière étape, vous pouvez essayer de modifier l'arôme de votre e-liquide, en évitant si possible le goût tabac.
On estime qu'un vapoteur moyen consomme environ 60ml d'eliquide par mois, soit 2ml de liquide de vap par jour. À savoir qu'un vapoteur grande consommation n'inhale pas plus de 4ml ou 5ml de e liquide par jour et en moyenne.
Le vapoteur peut toussoter, car, tout simplement, il a une mauvaise technique de vapotage, il inspire mal. Il faut savoir que la vape demande une inspiration douce et lente. Ensuite, la toux est aussi due au fait que le e-liquide contient du propylène glycol qui va assécher vos muqueuses.
Conclusion : La cigarette électronique ne donne pas d'eau dans les poumons. C'est plutôt le contraire qui se produit.
Ainsi le bouton de commande des e-cigarettes devra se déconnecter automatiquement au bout de dix secondes de pression continue, et cela pour éviter que l'appareil ne se mette en surchauffe et dégage du formaldéhyde, substance cancérogène.
Reste l'essentiel : l'utilisateur d'e-cigarette n'expose pas son entourage à des taux significatifs de cancérogènes, à des particules solides ou au monoxyde de carbone. Il l'expose à des produits chimiques irritants et à la nicotine (si nicotine il y a).
La cigarette électronique ne noircit pas les lèvres. Contrairement à la cigarette de tabac, l'e-clope ne produit aucune combustion.
Pour bien vapoter, vous devez prendre des bouffées lentes de 4 secondes environ. Avalez ensuite la vapeur et rejetez-là comme vous le faisiez en fumant. Ce type d'aspiration est appelée MTL, qui signifie Mouth To Lung en anglais ou de la bouche vers les poumons en Français.
Et la cigarette électronique est souvent un leurre. Ensuite, il est possible de détecter la nicotine du vapotage dans les examens sanguins ; une prise de sang peut en effet révéler la présence de nicotine dans le sang de la même manière qu'avec du tabac ou que tout autre substitut nicotinique.
Dès que le tabagisme cesse, ces cellules commencent à se reproduire et à réparer la paroi des voies respiratoires. Jusqu'à 40 % des cellules pulmonaires des anciens fumeurs pourront éventuellement être pratiquement identiques aux cellules pulmonaires de gens qui n'ont jamais fumé.
Est-ce que le vapotage fatigue ? Vapoter n'est pas fatigant. C'est une alternative plus saine à la cigarette et cela peut vous aider à vous débarrasser de cette habitude.
En comblant une partie du manque de nicotine, la vape réussit à diminuer la possibilité d'avoir des insomnies. D'autant que la nicotine a un effet énergisant. La vape est donc plus que jamais nécessaire pour obtenir une meilleure vie même s'il faut passer par ces étapes d'effets secondaires qui peuvent être douloureux.
La première partie de la recherche s'est déroulée en laboratoire : les chercheurs ont exposé des cellules de voies respiratoires humaines à de la vapeur de cigarette électronique, contenant de la nicotine. Cela a provoqué un dysfonctionnement mucociliaire, soit un trouble de l'évacuation du mucus.
Elle permet un arrêt progressif du tabac, sans effet de manque. Il est en effet possible d'inhaler la même quantité de nicotine qu'avec les cigarettes traditionnelles. Elle permet de plus de reproduire le geste du fumeur, et prodigue des sensations analogues au tabac industriel.
En d'autres termes, le vapoteur devra prévoir environ 2 flacons par semaine. 20 cigarettes par jour correspondent à 5 à 8 flacons de 10 ml mensuels, soit un flacon et demi par semaine.