Le moyen le plus simple de réduire le trafic de voiture en ville pourrait être simplement de supprimer des voies de circulation. En effet, selon le principe du trafic induit, la circulation s'adapte au nombre de voies disponibles.
Les parcs-relais, en périphérie de la ville, permettent aux usagers de laisser leur voiture et d'utiliser les transports en commun. Le co-voiturage contribue aussi à diminuer le nombre de voitures en ville. Les villes construisent des pistes cyclables pour encourager l'usage du vélo.
Pour lutter contre le réchauffement climatique, il faut moins rouler en voiture. Ce n'est plus un secret. L'automobile est une source importante de gaz à effet de serre, principalement du CO2, à cause du nombre de kilomètres parcourus chaque année. On émet 2100 kg de CO2 tous les 15000 km en moyenne.
Pour dissuader les habitants d'utiliser leur voiture, les communes peuvent aussi restreindre les places de parking, jouer sur le tarif ou la durée du stationnement. Il faut aussi multiplier les zones de cohabitation entre différents usagers de la route, où les voitures ne sont plus prioritaires.
Réduire la vitesse ainsi que les accélérations et les freinages inutiles permet non seulement d'économiser du carburant, mais également de limiter le bruit. Lorsque vous êtes à l'arrêt, coupez le moteur. Evitez de klaxonner sauf en cas de danger et de claquer les portières.
Caméras, radars, liaisons radio, contrôle des feux de signalisation et de l'éclairage urbain, affichage de messages en temps réel : le système Maestro capte les données du trafic en temps réel et vient alimenter le centre des opérations de la ville pour optimiser le trafic routier.
La voiture présente un bilan écologique désastreux
En France, le secteur des transports émet 1⁄3 des émissions de gaz à effet de serre (GES) soit le secteur le plus polluant. Parmi tous les moyens de locomotion, c'est la voiture qui présente l'impact le plus lourd avec 16 % des émissions de CO2 à elle seule !
Elle permet d'être indépendant et procure un véritable sentiment de liberté. Elle permet d'accéder à des endroits autrement inaccessibles. Elle permet de déplacer facilement des objets, de faire ses courses et son shopping, ce qui contribue au bon fonctionnement de l'économie capitaliste.
Il doit assurer la supervision, et l'entretien d'un parc d'un ensemble de véhicules, ou suivre une flotte de véhicules professionnels en fonction des différentes réglementations de sécurité, et en respectant certains impératifs, comme le coût, le délai et la qualité.
Les deux leviers les plus prometteurs sont aujourd'hui la réduction de la taille des voitures et leur électrifi- cation. Pour atteindre ces objectifs, un bonus-malus indexé sur le poids et sur l'utilisation en mode électrique des voitures pourrait être mis en place au niveau européen.
Sans voiture, les déplacements se font souvent à la marche ou à vélo. Cela permet d'atteindre facilement les 30 minutes d'exercice recommandées. Bref, vivre sans voiture, c'est bon pour la santé!
Des métaux, du plastique (en moyenne 750 pièces en plastique par véhicule), du caoutchouc pour les pneus… Ces différents éléments doivent être extraits, transformés, transportés… Chaque étape du processus consomme de l'énergie, et donc, pollue.
Pour conclure, qui pollue le plus ? Comme vous avez pu le constater, la réponse ne peut pas être aussi simple. Nous savons que le diesel émet moins de dioxyde de carbone et de monoxyde de carbone que l'essence, mais il émet davantage d'oxydes d'azote.
Le bus, le tram, le métro
Les transports en commun sont moins chers mais aussi plus écologiques que les voitures individuelles : On consomme moins d'énergie en bus (de 40%) et en métro (10 fois moins) qu'en voiture ! Le bus émet 35 % de CO2 de moins que la voiture.
Les bénéfices santé de la marche
Bénéfique pour maintenir les articulations flexibles et agiles, elle développe le tonus musculaire, améliore la santé du cœur et est aussi un moyen efficace de perte ou de maintien du poids si elle est pratiquée de manière régulière.
La congestion urbaine, telle que définie par les experts du trafic, apparaît lorsque la demande de déplacementsexcède la capacité de l'infrastructure.
Il existe principalement deux solutions anti-bruit: le talus anti-bruit et le mur anti-bruit. Si le premier nécessite un grand espace et est, par conséquent, plutôt adapté aux grands terrains, le second offre une isolation acoustique efficace même pour les petits jardins.