Manger beaucoup d'antioxydants – (légumes et fruits frais) car les hormones sont sensibles au stress oxydatif. Faire le plein d'omega-3 (huile de lin, colza, poisson gras, chia) qui favorisent l'équilibre en luttant contre l'insulinorésistance et l'inflammation.
Ensemble, l'hypophyse et l'hypothalamus contrôlent le système endocrinien et les taux d'hormones.
Il s'agit d'une simple prise de sang effectuée au laboratoire. Le bilan hormonal est idéalement pratiqué à J-3, ou entre le 2ème (J-2) et le 4ème (J-4) jour du cycle menstruel (le premier jour du cycle étant le premier jour des règles) en ce qui concerne la FSH, LH, 17 Bêta Oestradiol, Progestérone, Inhibine B.
L'huile de lin : Elle est riche en phyto-œstrogènes. Mais consommée raisonnablement, elle va plutôt nettoyer les xéno-œstrogènes et nous aider à équilibrer les hormones. En outre, elle apporte des omégas-3 anti-inflammatoires. Par contre il est important de la choisir de qualité irréprochable et de la stocker au frais.
Si vous souffrez d'un déséquilibre hormonal passager ou chronique, votre médecin traitant vous orientera vers un endocrinologue. Spécialiste des hormones, l'endocrinologue étudie et traite de nombreuses affections allant des dérèglements thyroïdiens au diabète, en passant par les troubles de la ménopause et l'obésité.
L'exercice physique régulier, notamment les exercices hormonaux de 18 minutes, peut en effet stimuler la production d'œstrogènes, ce qui peut avoir un impact sur la composition corporelle, y compris la perte de poids ou l'affinement de la silhouette.
Les TCA, troubles de la conduite alimentaire, tels que l'anorexie ou la boulimie, peuvent provoquer un dérèglement hormonal. Le diabète peut aussi perturber la production hormonale, notamment à cause de. l'hypoglycémie (baisse du taux de glucose dans le sang) peut aussi perturber la production hormonale.
C'est un dérèglement d'origine central et ovarien, qui entraîne une production excessive d'hormones androgènes, notamment de testostérone. Il peut se caractériser par des cycles irréguliers, une pilosité excessive, de l'acné, une prise de poids, mais aussi une infertilité.
Le déséquilibre hormonal chez la femme peut provoquer divers troubles : aménorrhée, dysménorrhée, saignement, règles abondantes, syndrome prémenstruel, ménopause… Après avoir identifié l'origine du déséquilibre, des solutions naturelles existent…
Hors grossesse, d'autres symptômes peuvent également être dues à un excès d'œstrogènes comme : un état de fatigue et des maux de tête fréquents. une prise de poids car les œstrogènes ralentissent le fonctionnement de notre métabolisme.
Parmi les aliments à privilégier pour réguler les niveaux d'œstrogènes et prévenir la rétention d'eau, on retrouve en premier lieu les légumes crucifères tels que le brocoli, le chou-fleur et les choux de Bruxelles. Ils sont riches en composés soufrés qui aident le foie à métaboliser les œstrogènes de manière efficace.
Tout au long du cycle, ces organes communiquent et régulent leur activité entre eux. Le cerveau contrôle l'activité de l'hypophyse, qui sécrète deux hormones : la FSH (folliculo-stimulante) et la LH (lutéinisante). La LH et la FSH agissent sur l'activité des ovaires.
Ainsi, les fruits, les légumes, les céréales, les noix, les graines (ex. graines de lin,..) et les légumineuses en contiennent en quantité variable. La source la plus concentrée de phytoestrogènes est le soya. Un niveau élevé d'oestrogènes dans le sang augmente le risque de cancer du sein.
Les hormones sexuelles féminines sont de deux types : les estrogènes (estradiol, estrone et estriol) et la progestérone. Elles sont sécrétées par les ovaires selon un cycle, dit "cycle menstruel", dont les règles sont la manifestation.
Le bilan hormonal (ou bilan endocrinien) est un examen biologique qui consiste à doser dans le sang des hormones (en général entre le 2ème et 4ème jour du cycle).
Pourquoi et quand aller le consulter ? Puberté précoce, problèmes de pilosité, troubles de la croissance, insuffisance gonadique, maladie d'Addison, ou encore nodule thyroïdien sont autant de symptômes qui doivent amener à consulter un endocrinologue.
Manger des fibres solubles qui régulent les hormones et la concentration d'œstrogènes dans le sang (avoine, légumineuses, fruits secs, algues). Penser aux oligo-éléments comme le sélénium (noix du brésil, fruits de mer) et l'iode (produits de la mer, algues, alliacés) pour les hormones thyroïdiennes. Saler moins !
L'hormone de l'amour est très facile à stimuler car il suffit de passer du temps avec les gens que l'on aime, l'ocytocine étant l'hormone de la tendresse et des relations sociales. Des relations amicales mais aussi des relations amoureuses et la façon la plus naturelle de libérer l'ocytocine est de faire l'amour.
La musculation est également un sport intéressant pour la production de cette hormone. En plus, l'organisme fabrique aussi des endorphines et des neurotransmetteurs apaisants à la fin de chaque séance, ce qui permet d'être à la fois mentalement détendu et physiquement plus réceptif.
La leptine
En effet, en retour, cela permet d'avancer un métabolisme qui brûle une quantité de graisse. Afin d'optimiser la perte de graisse, une bonne concentration de leptine dans le sang est utile pour que le cerveau réactive au bon moment pour détruire la masse grasse indésirable.
Les niveaux changeants d'hormones, en particulier les hormones comme l'œstrogène, peuvent affecter l'équilibre des fluides dans le corps, contribuant ainsi à cette sensation de “ventre gonflé”.