Le mode d'emploi est assez simple : visez un objet à distance moyenne et faites une mise au point approximative, puis tournez la molette de réglage de dioptrie jusqu'à obtenir exactement le même rendu aux deux yeux. Perfectionnez la mise au point et corrigez à nouveau le réglage de dioptrie au besoin.
Les mains sont bien avancées sur les fûts des jumelles. Les oculaires sont bien en appui sur les arcades sourcilières ou contre les lunettes. La distance oculaire est optimisée en jouant sur l'inclinaison du visage (avancer ou reculer le menton comme quand on veut regarder par-dessus des lunettes)
En cas de choc provoqué par une chute ou par des vibrations prolongées dans le coffre de la voiture par exemple, les prismes internes peuvent légèrement bouger. Le résultat est que l'on obtient « une double vue » : plus moyen de faire coïncider les images des deux yeux !
Certaines jumelles ne conviennent pas pour les porteurs de lunettes, le champ de vision est alors très petit et tronqué. Il est important que la pupille de sortie se trouve plus à l'extérieur, à environ 20 mm par rapport à l'oculaire, pour qu'elle offre une vision optimale aux porteurs de lunettes.
1. Centrer au mieux l'oculaire de la longue-vue avec l'objectif de l'appareil photo numérique. 2. Régler le zoom de la longue-vue sur le grossissement le plus faible car plus le zoom est important, plus la quantité de lumière captée par la longue-vue sera faible.
La longue-vue est une lunette d'observation monoculaire qui offre des grossissements entre 20 et 80 fois, selon l'oculaire utilisé. On l'utilise quand on veut regarder un objet à grande distance ou faire des observations de la nature dans de vastes espaces dégagés.
Le grossissement exprime l'agrandissement des sujets : plus il est important, plus on pourra observer les oiseaux de loin. Les jumelles grossissant 8x et 10x sont les plus recommandés pour l'ornithologie car elles sont à la fois assez lumineuses et pas trop lourdes.
Pour des randonneurs ou des voyageurs, des jumelles polyvalentes (8x32 ou 10x42) sont recommandées. Elles doivent être légères, étanches et robustes : un gainage caoutchouté prend tout son sens, car il augmente la résistance aux chocs. Pour plus de précision, les ornithologues préféreront un grossissement de 10x à 12x.
Tenez les jumelles à l'envers et utilisez un pinceau ou un stylo nettoyant pour lentilles afin d'enlever toute la saleté. Utilisez ensuite un soufflet pour éliminer soigneusement les particules de poussière restantes. Surtout, n'utilisez pas de chiffon en microfibre pour enlever la poussière des lentilles.
Le mode d'emploi est assez simple : visez un objet à distance moyenne et faites une mise au point approximative, puis tournez la molette de réglage de dioptrie jusqu'à obtenir exactement le même rendu aux deux yeux. Perfectionnez la mise au point et corrigez à nouveau le réglage de dioptrie au besoin.
Traitement. La chirurgie n'est généralement utilisée que pour corriger une diplopie ou une vision double lorsque la pathologie ou la diplopie ne peut pas être traitée avec une correction prismatique. Les prismes sont des verres appliqués sur les lunettes qui aident à déplacer l'image produite par la vision double.
La lumière traverse l'objectif, puis la lentille de focus (qui sert à faire la netteté), puis le prisme, puis les lentilles de l'œilleton. Ce qu'il faut retenir, c'est que la lumière se transmet en ligne droite. Pour autant, dans une jumelle il y a des obstacles. Exemple, les composants optiques.
La Gosky : la meilleure jumelle monoculaire
Cette jumelle monoculaire Gosky permet un grossissement jusqu'à 12×55. Le diamètre de son objectif est quant à lui de 55 mm. Pour une luminosité optimale et pour un contraste d'image appréciable, elle est équipée d'un verre prismatique BAK4.
Le premier chiffre (le 8 en l'occurrence) indique le grossissement. Dans ce cas, l'objet sera rapproché de 8 fois. Si l'objet se trouve à une distance de 80 mètres, vous le verrez comme s'il se trouvait à 10 mètres. Le second chiffre indique le diamètre de la lentille frontale exprimé en millimètres.
Le grossissement d'une paire de jumelles oscille bien souvent entre 7x et 10x. Un grossissement 100x est un grossissement extrêmement puissant qui n'est utilisé que pour des cas très précis. Un grossissement 100x sera bien souvent utilisé pour un usage professionnel.
Le modèle Nikon 10×25 Sportstar EX est un modèle digne d'intérêt. Pensez donc à lui lorsque vous chercherez à savoir ou acheter les meilleures jumelles. D'ailleurs, sachez que selon nous, Nikon est la meilleure marque de jumelles et les jumelles Nikon 10×25 Sportstar EX sont les plus performantes.
Lumineuses et offrant un large champ de vision, les jumelles 8×32 ou 10×32 pèsent 600 gr en moyenne et sont très agréables à utiliser. Si vous souhaitez un modèle encore plus léger, le format 8×25 est envisageable mais il offre une moins bonne luminosité.
Les porteurs de lunettes doivent faire attention à un critère pour avoir un meilleur confort d'utilisation. Il s'agit de ce qu'on appelle « dégagement oculaire ». Pour faire simple, choisissez des jumelles possédant un dégagement oculaire de plus de 15 mm.
Par conséquent, privilégiez les jumelles à prisme en toit. Leur intérêt premier reste donc de pouvoir observer facilement le paysage en plein jour. Elles ont en effet un faible grossissement et un faible IC mais leur champ de vision est supérieur à 100 mètres pour 1000 mètres de distance.
Le grossissement est indiqué par le ou les premiers chiffres de l'appellation. Une longue-vue 30 x 50 à donc un grossissement x 30. Plus le grossissement est élevé, plus l'image de l'élément observé est rapprochée d'autant de fois.