Dans le vent léger, réglez d'abord le vrillage de grand-voile à l'aide de l'écoute. Pour les grand-voiles semi-lattées, bordez l'écoute de sorte que la latte supérieure soit plus ou moins parallèle à la bôme. 2. Ajustez ce réglage de manière à ce que le penon le plus haut soit à la limite du décrochement.
- choquer l'écoute jusqu'à amener le point d'écoute au niveau des haubans. - mollir la drisse et la bordure pour ramener le creux vers le milieu de la voile. - si la bôme a tendance à osciller de haut en bas, reprendre très légèrement du hâle-bas pour brider ce mouvement et stabiliser la voile.
La solution consiste à choquer l'écoute et le hale-bas de grand-voile en grand et à « pomper » sur la barre pour abattre. Lorsque le bateau repart, veillez à vite compenser à la barre et à l'écoute sous peine de finir à l'abattée dans le mouvement inverse.
1- Après avoir ouvert le lazy-bag, attachez la drisse de grand-voile au point de drisse (si vous n'avez pas de mousqueton, faites un nœud de chaise). 3- Une fois sortis du port, assurez-vous de pouvoir faire route face au vent à vitesse réduite pendant quelques minutes afin de réaliser votre manœuvre sans stress.
Le réglage du pataras
On regarde le bateau depuis le côté (tribord). L'un des effets du pataras est d'ouvrir la chute de la grand voile. En effet, en cintrant le mât, on diminue la distance entre le point de drisse et le point d'écoute. La chute est alors moins tendue et elle « ouvre », elle peut « vriller ».
Comment régler les haubans ? Pour ajuster la longueur des haubans, donc leurs tensions, on utilisera les ridoirs et des clefs à molette. Pour corriger la courbure du mât, on réglera la longueur des haubans en serrant d'un côté ou en détendant de l'autre.
Sur un voilier moderne (gréement bermudien), le pataras (5) est un câble reliant la tête de mât à l'arrière du navire : il contribue à maintenir le mât dans sa position verticale dans le sens longitudinal. Le pataras fait partie des manœuvres dormantes ; il peut être simple ou double.
Empanner consiste à passer d'un bord sur l'autre avec le vent dans le dos. Comme pour le virement de bord, les voiles vont donc changer de côté. Dans un empannage, le vent va cueillir la grand-voile par l'arrière et accélérer le passage de la bôme d'un bord sur l'autre, parfois violemment.
Chaque bateau est différent, mais en général les architectes prévoient la première réduction de voilure entre 15 et 20 nds. Notons que les premiers moutons apparaissent avec un vent soufflant entre 12 et 14 nds. Disons qu'en règle générale, aux premiers moutons, il faut commencer à envisager la réduction de voilure.
Pour freiner, à l'inverse, il ne faut pas que les voiles soient gonflées. Deux solutions : Vous êtes sur une allure de près vous pouvez ouvrir (choquer) les voiles en grand. Elles vont faseyer et ne porteront plus ce qui arrêtera le bateau.
L'objectif de l'empannage est d'optimiser le réglage des voiles, au grand largue, en modifiant son cap. Pour cela, l'équipage fait passer la bôme d'un bord à l'autre. Cela permettra de conserver un vent bien établi dans les voiles, tout en conservant sa route. mais attention, un empannage peut être dangereux.
Le pilotage se fait debout sur une planche (type skate board) avec une voile de planche à voile. On change de direction en appuyant avec la pointe des pieds ou les talons. Le réglage de la voile se fait en tirant la voile vers soi à l'aide d'un wishbones.
- Le grand largue : l'axe entre le bateau et le vent est approximativement compris entre 120 et 170 degrés. C'est l'allure la plus rapide car la force du vent s'exerce au maximum dans l'axe du bateau.
On borde une voile pour des raisons aérodynamiques, pour se rapprocher de l'axe du vent. Si ce réglage n'est pas effectué correctement, la voile gêne le bon passage du vent et perturbe la vitesse du bateau.
La voile doit se trouver dans une position optimale par rapport au vent pour que le voilier avance . Si l'angle est trop serré par rapport au vent, la voile « faseye », c'est-à-dire qu'elle bat au vent. Si l'angle est trop large, les écoulements d'air circulant le long de la courbure de la voile s'éloignent.
Généralement vous commencerez à réduire le génois aux alentours de 15 noeuds de vent, du moins aux allures de près ou de travers. Vous prendrez la première bosse de ris dans la grand voile vers 20 noeuds puis à nouveau réduirez le génois et envisagerez de prendre un second ris aux alentours de 25 noeuds établis.
Changer la voile d'avant pour réduire la voilure
Par vent fort, ou si la voile d'avant n'est pas arrisable, il faut la changer au profit d'une voile plus petite. Le génois est la voile la plus grande, il y a ensuite le foc, le solent et enfin le tourmentin.
Un voilier en route a une tendance naturelle, lorsque sa vitesse augmente, à partir « au lof » ou « à l'auloffée », c'est-à-dire de remonter vers le vent. On dit alors qu'il est « ardent ».
La prise de ris (verbes associés : « prendre un ris » ou « ariser une voile ») consiste à réduire la surface d'une voile en la repliant en partie : l'objectif est d'adapter la surface de la voilure à la force du vent lorsque celui-ci forcit.
Principe. Le virement de bord consiste à : Changer de cap pour changer d'amure, ce qui nécessite de virer d'environ 90° pour franchir le secteur où les voiles ne sont pas efficaces. Faire passer la ou les voiles d'avant d'un bord sur l'autre et la régler sur le nouveau bord.
On commence par choquer doucement le spi pour amener le point écoute jusqu'au niveau de l'étai. On vient alors le choquer en grand en reprenant la contre-écoute rapidement. On passe ensuite la grand-voile sur l'autre bord. L'empannage est terminé.
Sur un mat à deux barres de flèche, on peut tendre le hauban haut à 15%, l'intermédiaire à 13%, le bas à 10%.
L'étai largable, pour des belles voiles
C'est un étai supplémentaire qui permet d'envoyer une voile en plus et de suppléer à un incident sur l'étai principal. On le dit "largable" car il peut se décrocher par le bas et ramener au pied de mât lorsqu'il n'est pas utilisé.
On appelle le gréement dormant toutes les parties du gréement qui ne sont pas censées bouger. Il est divisé en deux parties : longitudinal et latéral. Les espars comme le mât ou la bôme n'entrent pas dans le gréement dormant.
cela dépends effectivement du voilier, cela s'échelonne de 1 à 1,8 tant en grandeur qu'en modélisme. pour un classe 1m, le greement A fait 1m70, le B 1,4m et le C 1,2m. un open 60 (18m) porte un mat de 25 à 30 m. un mini (6.5) porte 11 m de mat.