C'était est la contraction du pronom « ce » suivi du verbe « être » conjugué à l'imparfait à la 3e personne du singulier. On peut remplacer « c'était » par « cela était ».
Elle est utilisée pour annoncer ou présenter quelque chose ou mettre en relief une partie de la phrase. On écrit « c'est » (indicatif présent), « c'était » (indicatif imparfait). « c'était » s'accorde avec le nom qui le suit. Lorsque ce nom est au singulier, on écrira donc « c'était ».
Règle : « C'est » peut être remplacé par « cela / cette chose / ce truc / cette notion, etc. / … est. » Exemples : C'est difficile. → Cela est difficile.
Il faut écrire : Si c'était de son ressort, il changerait de stratégie commerciale. Remplaçons « s'était » par « cela était » : « Si cela était de son ressort, il changerait… » La phrase est juste. Ce n'est donc pas « s'était » qu'il faut écrire, mais « c'était ».
Le mot « il y a » : -il peut être supprimé en changeant la phrase et en utilisant un verbe plus précis. Dans cette pièce, il y avait un coffre. Dans cette pièce, se trouvait un coffre. Dans cette pièce, un coffre était posé.
Pour indiquer l'existence de quelque chose, les équivalents de il y a sont il existe , il se trouve , plus rarement il est . Pour décrire ce qui est apparent, on peut employer on observe , on voit , on perçoit .
Synonyme "voilà!"
adv. là!, tenez!, tiens!, voici, voilà!
Les mots c'est et ce sont (ou c'était et c'étaient) sont la plupart du temps tous deux acceptables, même si la forme plurielle est plus recherchée. Toutefois, dans certains cas, le singulier est préférable.
Langue française : peut-on dire "je vais sur Paris" ? On écrit c'en est trop. Le C' est une abréviation, un raccourci de "cela" : "Cela est trop".
J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver. Soit le participe passé du verbe être, derrière l'auxiliaire avoir.
Pour distinguer les homonymes a (sans accent) et à (avec accent), il faut les remplacer par avait. Quand on peut remplacer a par avait, il s'agit du verbe avoir à la 3e personne du singulier au présent de l'indicatif.
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu.
« ç'a été » correspondrait donc à la forme abrégée de ce a été (ce étant mis pour cela). A l'écrit, on préférera la forme cela a été. Exemple : Ça a été compliqué mais nous avons finalement obtenu gain de cause. L'expression « ça a été », ou « ç'a été », employée seule, signifie cela s'est bien passé.
Utilisez s'est quand vous avez affaire à un verbe pronominal au passé composé : il s'est levé. La forme c'est est constituée du pronom démonstratif ce élidé et du verbe être à la 3e personne du singulier : ce + est = c'est. On peut remplacer c'est par cela est.
- On écrit "c'est" devant un nom singulier, et "ce sont" devant un nom pluriel.
Deuxième personne du singulier de l'impératif de s'en aller, qui permet de demander, généralement sèchement ou dans l'urgence à son interlocuteur de prendre congé. Exemple : Va-t'en immédiatement !
Vous êtes ainsi certain de ne pas prendre un paronyme pour un autre. Exemple : Les mots « sang », « cent » et « sans » sont des homonymes homographes, car ils se prononcent exactement pareil.
c'est trop beau.
> C'était est formé de c' qui est un pronom démonstratif et de 'était' qui est une forme conjuguée du verbe 'être'. Pour le distinguer : C'était peut être remplacé par cela était.
Je me suis toujours demandé comment c'était. I always wondered how it was. Je sais exactement comment c'était. I know exactly how it was.
Le pronom relatif où est habituellement précédé d'un antécédent, c'est-à-dire un nom qui le précède immédiatement et auquel il se rapporte. Cet antécédent exprime un lieu ou un temps. Il en va de même pour où, que l'on nomme aussi pour cette raison adverbe relatif.
Banalement, « du coup » est utilisé pour l'expression de la consécution à l'oral.
Remplir les blancs par des « euh », c'est une manière de les « meubler » ou de vous donner un temps de réflexion avant de répondre à une question. Pour les éradiquer complètement, forcez-vous à utiliser des courts silences.
Remarquons simplement (a) que en ce qui me concerne et quant à moi sont des substituts possibles de pour moi-TH et (b) qu'aucun des verbes de jugement analysés par Ducrot (1980) – je considère que, je trouve que, j'estime que, je juge que, j'ai l'impression que, je suis sûr que, je pense que, je crois que – ne lui est ...
« Parfois » et non « des fois »
C'est un faux adverbe de temps. A l'oral, on l'utilise, à tort, pour remplacer un vrai adverbe de temps : « parfois ». Exemple : « Des fois, il neige jusqu'en mai… » → A la place, on doit dire : « Parfois, il neige jusqu'en mai… »