Si on reprend les exemples précédents, « Je ne peux pas venir chez toi ce soir parce que j'ai rendez-vous chez le médecin. » On peut remplacer « car » par « parce que » ou dans l'autre exemple : « J'aime ce film parce qu'il y a du suspense. » Encore une fois, exactement le même sens.
Les conjonctions de coordination ne doivent pas s'employer en début de phrase ; si cette règle peut souffrir quelques exceptions, essentiellement pour des raisons stylistiques, s'agissant de mais, donc ou et, il n'en va pas de même pour car.
L'information contenue dans cette nouvelle phrase n'est pas exactement la même que celle de la précédente : car exprime une justification plutôt qu'une cause. La différence est encore plus évidente dans les phrases suivantes : Marie est malade, car je ne l'ai pas vue de la journée.
- Car introduit une justification de ce qui est énoncé dans la proposition qui précède et se rapproche plutôt de puisque qui exprime la conséquence : 'Pierre n'a pas été renvoyé, car il est l'ami de Jean'.
Car, parce que et puisque sont tous invariables. Ils ont un sens très proche et sont utilisés pour exprimer un lien causal entre une action et un résultat. « Car » est une conjonction de coordination et permet de donner une explication, une raison, une cause.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
CAR: indique une cause. Exemple : Il mange du poulet car il a faim. Consigne : Inscrivez la bonne conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car).
La conjonction car permet d'indiquer une idée de cause entre les deux éléments (jamais davantage) de même nature et même fonction, qu'elle coordonne. En conséquence, les conjonctions « donc » et « car » ne sont jamais répétées, et se placent simplement devant le second élément.
“Car” est aussi plus utilisé à l'écrit. Finalement, “car”, à la différence de “parce que”, est toujours précédé d'une virgule. Et on ne le trouve pas en début de phrase ! D'ailleurs, “car” ne répond pas à la question “pourquoi ?” Dans ce cas, on doit utiliser “parce que”.
Les termes et structures qui expriment la cause sont : parce que, puisque, comme, car, en effet, étant donné (que), vu (que), du fait de, en raison de, faute de, sous prétexte que, suite à, à cause de, grâce à, pour et par.
Lorsque la cause est mensongère ou s'il s'agit d'une excuse, on emploie "sous prétexte que". Exemple : Il arrivait chaque jour en retard sous prétexte que sa montre retardait. Il est introduit par les locutions prépositives : à cause de(du), en raison de (du), grâce à, à force de + nom.
parce que, comme (toujours en début de phrase), puisque (en début de phrase), vu que, sous prétexte que (quand la cause ou l'excuse données sont fausses ou discutables), étant donné que, du fait que, d'autant (plus) que, du moment que...
-> On écrit "quoique" quand on peut le remplacer par "bien que". exemple : Quoique cet exercice soit facile, il ne comprend rien. = Bien que cet exercice soit facile, il ne comprend rien. -> On écrit "quoi que" quand on peut le remplacer par "quel que soit".
adv. Marque une opposition; cependant, pourtant, toutefois, malgré tout.
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
Définition "car"
Étant donné que. En considérant que, puisque. Exprime la cause. Attendu que, car, comme, puisque, etc.
Conjonction de coordination indiquant la raison.
Car, à la différence de parce que, est toujours précédé d'une virgule. Car en effet n'est admis que dans le cas très rare où en effet signifie « dans la réalité, dans les faits » : il peut l'imposer, car en effet et non plus seulement en théorie il en a maintenant le pouvoir.
Le mot « c'est » : -il peut être remplacé par « ceci est ».
« C'est pour ça », c'est plus familier, c'est moins joli que « c'est pour cela », mais ces deux expressions sont les mêmes : c'est pour ça, c'est pour cela. C'est pareil : ce qui vient après est expliqué par ce qui vient avant.
C'était est la contraction du pronom « ce » suivi du verbe « être » conjugué à l'imparfait à la 3e personne du singulier. On peut remplacer « c'était » par « cela était ».