L'alchémille (Alchemilla vulgaris)
Son action progestérone-like (qui mime la progestérone) en fait un excellent remède hormonal pour les syndromes prémenstruels, la pré-ménopause, les cycles irréguliers ou hyperménorrhées (règles abondantes).
Il est donc nécessaire de la privilégier lorsqu'on cherche à augmenter naturellement sa progestérone. On trouve de la vitamine B6 dans les légumineuses (pois chiche, notamment), dans les poissons (saumon, thon, morue), dans les oléagineux (noisettes, pistaches) ainsi que dans les graines (tournesol, lin, sésame…).
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Certains aliments contiennent de la progestérone. C'est le cas : des œufs, le jaune en particulier, des produits laitiers à base de lait de vache et de la volaille. ► La progestérone est une hormone sécrétée principalement chez la femme, dans les ovaires.
"La progestérone est un progestatif naturel synthétisé après l'ovulation afin de préparer la muqueuse de l'utérus à une grossesse, informe le Pr Anne Gompel, gynécologue dans le service de Service de Gynécologie médicale endocrinienne – sénologie de l'hôpital Cochin (Paris).
Par voie orale uniquement, les effets suivants ont été observés: · risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, · modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Pour traiter les symptômes de la ménopause, on utilise donc des suppléments d'œstrogènes afin de compenser la diminution de leur production par le corps. Si l'utérus de la femme est toujours présent, on ajoute un supplément de progestérone.
Ainsi, la Sauge, le Trèfle rouge, le Houblon, les isoflavones de soja, le Gattilier, l'Actée à grappes noires… Sont des alternatives naturelles au Traitement Hormonal Substitutif.
Les causes d'un trouble du corps jaune dans les ovaires sont nombreuses : Des infections antérieures des ovaires. Une maturation insuffisante des follicules en relation avec le syndrome des ovaires polykystiques. Des troubles fonctionnels de la glande surrénale, de la glande thyroïde ou du pancréas (diabète)
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Gemmothérapie d'Airelle rouge (Vaccinium vitis-idaea) : le bourgeon de la ménopause. S'il n'y avait qu'un seul bourgeon à garder pour une femme qui entre dans la ménopause, ce serait bien l'airelle ! La gemmothérapie d'airelle aide à lutter contre les désagréments dus au déficit hormonal, notamment en œstrogènes.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
En théorie, la réponse à ces questions est la même : non. Un traitement substitutif équilibré et calibré pour vos besoins physiologiques hormonaux précis n'entraînera pas de prise de poids définitive. Il pourra en effet induire deux à trois kilos en plus qui disparaitront aussi vite qu'ils sont apparus.
La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
Hormone stéroïde dérivée du cholestérol, sécrétée par le corps jaune (follicule ovarien ayant expulsé l'ovule) pendant la seconde phase du cycle menstruel, par le placenta pendant la grossesse et, à un moindre degré, par les corticosurrénales et les ovaires.
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).
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Le polype, qui est une excroissance de l'endomètre (muqueuse qui recouvre la paroi utérine) et survient chez les femmes qui souffrent d'un excès d'œstrogènes ou d'une insuffisance de progestérone, peut provoque une infertilité féminine car il empêche lui aussi la nidation de l'oeuf.
La prise de progestérone par voie orale est utilisée en fin de grossesse en vue d'éviter une naissance prématurée, malgré l'absence d'efficacité démontrée. La progestérone est une cause connue de cholestase intrahépatique, qui survient au 3e trimestre de la grossesse.
Lors de la ménopause, des troubles tels que des bouffées de chaleur, troubles vaginaux (sécheresse), prise de poids ou encore troubles de l'humeur peuvent apparaître, ainsi qu'une augmentation du risque d'ostéoporose. Ces troubles sont liés à une carence en œstrogènes.