Si oui, si tel est le cas.
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)... Marque la dénégation après une interrogation négative et s'emploie dans...
La conjonction « si », est une conjonction de subordination ou « subjonction ». On la qualifie aussi de « subordonnant », car elle est utilisée pour relier une phrase subordonnée à une phrase principale, dont elle dépend : elle marque la dépendance entre les phrases qu'elle relie.
s'il s'avère que, s'il est vrai que, dans la mesure où ...
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
1. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence) : Il est si grand qu'il ne peut passer par cette porte. 2. Marque une intensité affective : Cet homme est si généreux !
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
Dans le cas contraire, il convient presque toujours d'écrire « si », conjonction de subordination qui marque une condition (« si Léo vient, je serai content »), une affirmation (« mais si, il est d'accord ») ou une intensité (« il est si beau ! »)
5 / Adverbes d'affirmation : oui, si, soit, volontiers, assurément, aussi, absolument, certainement, vraiment, etc.
Oui, d'accord, c'est entendu.
La conjonction "comme si" exprime une comparaison avec un fait irréel, elle s'emploie seulement avec: un imparfait pour exprimer la simultanéité: Tu parles avec une voix bizarre comme si tu avais mal à la gorge.
Il est si grand pour son âge ! Il est tellement grand pour son âge ! On le trouve après un nom précédé d'un déterminant démonstratif ou après un pronom démonstratif. Dans ce cas, il est relié par un trait d'union au nom ou pronom qui précède : « Je préfère mettre cette robe-ci ».
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
Sinon / si non. Au sens de « autrement, sans quoi », sinon s'écrit toujours en un seul mot : il faut laisser sécher la colle, sinon la réparation ne sera pas solide ; obéis, sinon gare !
Lorsque : le e final s'élide toujours devant elle(s), il(s), en, on, un(e); l'élision est facultative devant après,aucun, ainsi, aussi, enfin, avec, etc. Si : le i s'élide toujours devant il(s).
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse). Si est toujours suivi de l'indicatif. 1) Quand l'hypothèse est considérée comme réalisable, on emploie : si + présent de l'indicatif dans la subordonnée.
L'imparfait du subjonctif peut équivaloir à un conditionnel présent, dans une proposition de même sens que celle commençant par même si (langue littéraire).