Pour développer leur confiance et leur estime de soi, gardez toujours une attitude positive envers le processus d'apprentissage de votre enfant. Essayez de dire plus souvent « oui », « bien », « bien fait » plutôt que de dire « non », « mauvais », « pas bien ».
Un enfant épanoui est heureux d'aller à l'école, de retrouver ses copains et ses copines. Il est bien entouré sur la cour de récréation. Il aime apprendre et faire des expériences. Il aime découvrir, il aime goûter, toucher, humer, écouter…
Enfant heureux : gardez en mémoire les bons moments !
La psychologie positive est un état d'esprit qui se transmet ! Ainsi, vous pouvez amener votre enfant à prendre du recul sur son quotidien mais aussi à en apprécier les bons côtés en lui demandant par exemple chaque jour quels ont été les bons moments de la journée.
À partir de quel âge est-il pertinent de punir un enfant ? Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé.
Avant 3 ans, un enfant a de la difficulté à respecter un interdit, car son cerveau est en formation. Il a aussi du mal à contrôler ses gestes, ses émotions et ses pensées. Même si un tout-petit sait qu'il ne doit pas faire quelque chose, se retenir est difficile pour lui.
Crises de larmes, opposition, utilisation du « non » à longueur de journée… Votre enfant est certainement en pleine phase des « terrible two », appellation anglo-saxonne pour la crise des 2 ans. Une période essentielle pour son développement, mais pas toujours simple à gérer en tant que parent.
La tristesse : votre enfant peut s'isoler, se replier sur lui-même ou avoir des crises de larmes. Le plus souvent la tristesse est difficile à repérer chez l'enfant. Les enfants expriment leur tristesse par une certaine passivité, un désintérêt pour les activités du quotidien, un manque d'entrain.
Les enfants qui se sentent aimés et considérés par leurs parents témoignent aussi d'une plus grande estime de soi et se sentent mieux dans leur peau, ils s'aventurent plus facilement vers le monde extérieur, sont en général moins anxieux et plus joyeux.
Dès les premiers mois, le bébé gazouille. Il ne comprend pas le sens des paroles, mais il peut déduire les émotions comme la joie, la colère ou la tendresse à partir des intonations utilisées. Il réagit en entendant des bruits forts. Il reconnaît votre voix, il aime l'entendre.
Proposez à votre tout-petit de l'aider, de lui faire un câlin, de prendre une pause ou de se changer les idées lorsque vous sentez sa colère monter. Évitez toutefois de toujours détourner son attention, car il doit aussi apprendre à tolérer les émotions désagréables.
À 2 ans, votre enfant parle, marche, grimpe, saute, court et déborde d'énergie. Son vocabulaire s'enrichit régulièrement de nouveaux mots. Il sait trier les objets par forme et par couleur et peut même commencer à s'assoir sur le pot.
L'enfant peut être en retrait, s'isoler ou avoir peur. À l'inverse, sa tristesse peut se manifester par de l'agitation, de l'agressivité, voire de l'hyperactivité ou de la provocation ; il se sent impuissant, désespéré, seul ou rejeté.
Le terrible two survient chez de nombreux enfants entre 18 et 24 mois. Lors de cette période, l'enfant entre fréquemment en opposition avec ses parents, conteste chacune de leur décision et peut entrer dans des colères noires lorsqu'il n'obtient pas immédiatement ce qu'il veut.
A 3 mois, un bébé dit «je t'aime» à son papa.
Cette étude d'une équipe de neurologues et de pédiatres de l'University College London nous explique pourquoi et comment le cerveau d'un nouveau-né réagit au toucher du visage : les bébés utilisent en effet ce sens du toucher pour trouver et s'attacher au sein de leur mère.
Le plus souvent, il s'agit bien sûr des parents, parfois de la mère en particulier. Plus l'enfant perçoit ce lien d'attachement comme étant inconditionnel, plus il est à l'aise avec son environnement, pour tester ses interactions, ses limites et ses émotions.
Vers 8 mois, un bébé commence à comprendre qu'il est une personne à part entière et non un prolongement de ses parents.
En cas de stress, le corps de la future maman libère une hormone bien connue, le cortisol. Des scientifiques ont établi que le cortisol passe la barrière placentaire et peut se retrouver en quantité importante dans le liquide amniotique. Face à cette hormone, le rythme cardiaque du fœtus est susceptible de ralentir.
Les manifestations de souffrance peuvent aussi s'exprimer sur un mode somatique : • digestif : régurgitations, coliques, constipation, intolérances alimentaires avec diarrhée, ruptures de la courbe de poids ; • cutané : dermites ; • respiratoire : infections ORL précoces rares à cet âge hors contexte épidé- mique.
Changements d'humeur, crises de nerfs, caprices… 8 ans, l'âge le plus difficile chez l'enfant.
« Je veux faire ça, et je veux le faire tout seul! » De 2 à 3 ans, votre enfant est à l'âge des colères, des frustrations et de la recherche d'autonomie. Il s'agit d'une étape normale de son développement : il s'affirme et souhaite devenir autonome.
Votre enfant mord, tape, griffe, tire les cheveux, boude… et c'est normal ! Il va tester différentes façons d'exprimer sa colère ou son mécontentement. Entre 1 et 4 ans, le jeune enfant apprend à exprimer ses émotions. Et Jusqu'à 6 ans, il est soumis à des émotions fortes et envahissantes.