Le début doit être ajusté en fonction de la situation pour prendre un sens autant que possible pédagogique. Ce sens peut être perçu plus ou moins clairement par les élèves ; il peut avoir des incidences sur la suite de la séance. Il peut éveiller leur attention intellectuelle ou affective.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).
Ne rien faire, résister aux choses qu'on leur demande leur donne l'impression d'avoir le dernier mot. Vu sous cet angle, on ne gagne rien à gronder son enfant et à le traiter de paresseux. Une telle attitude, en effet, ne peut qu'augmenter sa volonté de vous résister.
La motivation est un élément moteur dans le processus d'apprentissage. Elle joue un rôle central pour favoriser l'engagement des élèves dans l'activité que propose l'enseignant en classe. Elle conditionne à la fois le degré d'attention des élèves et le niveau d'effort qu'ils vont y consacrer.
La préparation d'un cours demande du temps, de la rigueur et une compréhension totale des objectifs scolaires et des capacités de ses élèves. Le professeur se doit de concevoir ses cours de façon à ce que les élèves écoutent, comprennent et retiennent le plus d'informations possible.
- Communiquer ! N'hésitez pas à communiquer avec votre enfant pour qu'il comprenne ce que vous dites, parce que votre inquiétude pour son avenir est souvent secondaire pour lui ! Il faut essayer de lui donner envie de travailler, car il saura que ça lui apporte quelque chose.
Tout d'abord, les étudiants éprouvent le besoin de réussir et de se réaliser : les étudiants ne seront incités à produire des efforts que s'ils estiment avoir une chance de réussir dans ce cours. En effet, la confiance dans ses propres capacités à réussir est un facteur essentiel de motivation.
Un adolescent donne souvent l'impression de ne s'intéresser à rien, de n'avoir envie de rien, de ne nourrir aucun projet à long terme. Cette démotivation est en général passagère et ne cache pas forcément un état dépressif. Mous, sans ressort, sans envie – hormis celle de rester scotchés des heures à leurs écrans !
La motivation est, dans un organisme vivant, la composante ou le processus qui règle son engagement pour une activité précise. Elle en détermine le déclenchement dans une certaine direction avec l'intensité souhaitée et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou l'interruption.
L'essentiel étant de ne pas le culpabiliser, car un échec scolaire est signe d'une souffrance. Si le dialogue est parfois difficile, les parents doivent garder à l'esprit qu'il est primordial de le rassurer. Faites-lui savoir que vous êtes là pour le soutenir et qu'il peut vous faire confiance.
Impliquer l'élève dans le processus d'apprentissage est impératif afin de promouvoir sa réussite scolaire. Entrant dans le cadre d'une pédagogie active, cette méthode permet à l'élève de construire ses savoirs au moyen de situations de recherche.
Il faut lui parler et l'écouter, sans le culpabiliser. Retrouver du plaisir. Et si cela persiste, n'hésitez pas à consulter un pédopsychiatre ou un psychologue scolaire pour faire le point et comprendre ce qui se passe, avant de se lancer dans des bilans.
Prendre des cours de soutien scolaire
Les parents, qui ont pris conscience des difficultés scolaires de leur enfant, font souvent appel à un professeur de soutien scolaire afin de les aider à surmonter ces difficultés et éviter l'échec scolaire.
« Pour faire aimer le français à mes élèves, j'essaie de mettre en place un travail coopératif. Je les fais travailler en groupe à certains moments du cours ; par exemple, il peut y avoir une première phase de travail individuel, qui permet à chaque élève de réfléchir au problème posé.
DE MULTIPLES MÉTHODES
Résultats des élèves aux tests, observation de salles de classes, évaluations par les pairs, enquêtes auprès des élèves sont autant de méthodes en place dans de nombreux pays étudiés par l'OCDE pour évaluer les performances des enseignants.
Moduler sa voix
Vous pouvez commencer votre phrase en parlant fort et la terminer en parlant tout doucement, limite en chuchotant. Cela captivera ainsi les enfants, qui feront le silence pour entendre la fin de votre phrase.