Si vous louez votre logement vide, vous devez appliquer le régime de calcul des charges locatives au réel. Ce régime consiste à calculer une provision sur charges en fonction des charges locatives de l'année passée. Elles sont estimées en moyenne à 75 % du montant total demandé par le syndic dans les appels de fond.
Dans un immeuble, les charges servent à couvrir les charges de copropriété préalablement payées par le propriétaire. Le locataire peut prendre en charge jusqu'à 75 % du salaire du concierge, s'il entretient les parties communes et jette les encombrants, mais seulement 40 % s'il ne fait que l'une de ces deux tâches.
Payer le loyer au pourcentage de ses revenus
Au total les revenus de votre couple sont de 1350 + 2000 soit 3350 euros. Et la personne qui gagne 2000 euros doit payer 2000/3350 ème de 780 euros soit : 780 × 2000 ÷ 3350 = 465,67 euros, on retrouve bien le complément de 780 − 314,33 = 465,67.
Eau nécessaire à l'entretien courant des parties communes, y compris la station d'épuration. Eau nécessaire à l'entretien courant des espaces extérieurs. Produits nécessaires à l'exploitation, à l'entretien et au traitement de l'eau. Fourniture d'énergie quelle que soit sa nature.
Qu'en est-il des charges locatives pour l'eau ? Il est possible que l'eau froide fasse partie des charges locatives demandées par le propriétaire. En effet, il faut que cela soit indiqué dans le bail que l'eau froide est comprise dans les charges du logement.
S'agissant des charges générales, la somme à payer est calculée de façon proportionnelle, en fonction de la valeur relative des parties privatives de chaque lot, c'est-à-dire sa consistance, sa superficie, et sa situation. En pratique, cette répartition se fait en fonction des tantièmes de copropriété.
Pour établir le montant de la provision de charges, le bailleur se base sur les résultats de l'année écoulée, et sur le budget prévisionnel lorsque le logement est en copropriété. Cette provision doit ensuite faire l'objet d'une régularisation, chaque année, à partir des dépenses réelles constatées.
Le propriétaire d'un logement en location s'acquitte toujours des charges de copropriété, cependant, il peut tout à fait demander le remboursement de certaines sommes auprès de son locataire : il s'agit des charges locatives dites « récupérables ».
Les dépenses de travaux
En conséquence, les dépenses que vous engagez dans le but de rendre le logement décent sont des charges non récupérables. Les gros travaux effectués sur le logement (la réfection du plancher, par exemple) ou sur la copropriété (ravalement de façade, changement de la toiture, dératisation…)
Ces charges locatives comprennent l'entretien des parties communes ou « prestations collectives » (consommation d'eau et d'énergie, entretien et réparation des ascenseurs, chauffage collectif, frais de gardiennage, etc.), les taxes locatives (enlèvement d'ordures hors encombrants, balayage, redevance d'assainissement), ...
Oui, le chauffage collectif au gaz est compris dans les charges de copropriété. Il en représente environ 50 %, pour les immeubles disposant de ce système de chauffage. Il faut savoir que la facture de gaz peut aussi comprendre la cuisson, pour les appartements équipés de gazinières.
Les charges mensuelles représentent les dépenses faites chaque mois pour une personne, un foyer ou une famille. Elles peuvent être fixes ou variables.
En règle générale, les charges du propriétaire bailleur sont de l'ordre de 30 %. En effet il est rare que la location couvre tous les frais sauf dans le cas d'un cash-flow positif. Comme dans le cas d'un achat individuel si vous êtes propriétaire bailleur vous devrez vous acquitter de la taxe foncière.
Principe des charges locatives
Celles-ci sont refacturables au locataire et représentent généralement entre 60 et 80% des charges de copropriété. Elles correspondent aux services dont le locataire jouit : présence d'un gardien, chauffage collectif, eau courante, ascenseur, entretien des parties communes, etc.
Les frais liés au compteur d'eau, comme le relevé ou la location et que le compteur soit général ou individuel, sont à la charge du locataire. Néanmoins, les frais d'achat d'un compteur ou de son remplacement doivent être supportés par le propriétaire du logement.
L'eau est répartie entre chaque copropriétaire au prorata des tantièmes généraux affectés à leur (s) lot (s) et ce, quelle que soit leur consommation d'eau effective.
Répartition des frais
Les frais communs correspondent à 30 % des frais totaux. Les frais individuels sont déterminés par différence entre le total des frais et les frais communs puis répartis à partir des données relevées par les appareils de mesure.
Sauf cas particulier, l'électricité n'est pas comprise dans les charges d'une location meublée classique. C'est donc au locataire de payer les factures, et donc de souscrire un contrat.
En résumé il n'est théoriquement pas possible de refacturer l'électricité et l'internet et si vous souhaitez le faire, il va falloir prévoir une clause spéciale dans le bail de location.
Le propriétaire doit prendre en charge tous les travaux nécessaires pour garantir la décence du bien immobilier, ainsi que les travaux les plus coûteux. Le locataire doit prendre en charge les réparations locatives, c'est-à-dire l'entretien courant du logement et des équipements, et les menues réparations.
Autrement dit, le montant de vos APL versé en 2022 sont calculés en fonction de votre situation professionnelle et donc de vos revenus de 2021. Il en va de même pour les autres demandes d'aides. L'ensemble des revenus est pris en compte, sachant que ce montant est diminué des charges supportées et/ou des abattements.
Montant du loyer et ses modalités de paiement (date et fréquence qui est généralement mensuelle), ainsi que ses règles de révision éventuelle. Montant du dernier loyer appliqué au précédent locataire (s'il a quitté le logement depuis moins de 18 mois) Modalités de paiement des charges.
Le bailleur doit envoyer un décompte détaillé de la régularisation des charges indiquant le montant des charges par type de charge. Cet envoi doit se faire au moins un mois avant la date de la régularisation.