Interrogée par: Sophie Lecoq | Dernière mise à
jour: 14. Oktober 2022 Notation: 4.4 sur 5
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N'hésitez pas à faire part de vos sentiments : « Mon sentiment est que je n'arrive pas à installer une relation de confiance entre nous », « J'ai besoin que tu me reprécises telle ou telle chose ». Mettez des mots sur le problème et faites part de vos émotions avec assertivité : les faits, mon sentiment, ma demande.
Lorsque l'attitude de votre collègue jaloux ou agressif montre une volonté d'envenimer la situation, n'intervenez pas sur le champ. Attendez le bon moment. Il est aussi préférable d'avoir une discussion en tête à tête, sans témoin et dans une démarche d'écoute. Cela oblige généralement l'autre à modérer ses propos.
Comment réagir à un manque de respect au travail ?
Au travail, vous devez savoir vous montrer cordiale, mais pas trop gentille, au risque de vous faire marcher sur les pieds. Ainsi, vous ne devez pas céder à toutes les demandes de vos collègues et vous devez garder un certain pouvoir. Apprenez à dire non, à donner votre avis et à ne pas vous excuser de le faire.
Les techniques pour ignorer ses collègues tout en discrétion
La plus classique, la technique des écouteurs. Dès qu'on ne supporte plus d'entendre son collègue jacasser, on les enfile. Pour ceux qui ont du mal à écouter de la musique en travaillant, on opte pour des sons relaxants, sans parole ou du classique.
Ignorer l'attitude hypocrite. Supportez un instant la personne s'il le faut. Parfois, vous n'avez pas d'autre choix que de faire avec le comportement hypocrite d'une personne. Si l'attitude vous ennuie tant, mais que vous ne pouvez rien y faire, supportez pendant un court moment puis essayez de laisser faire.
Comment ignorer quelqu'un qui vous a fait du mal ?
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Comment remettre une personne à sa place gentiment ?
Quand quelqu'un fait quelque chose que nous trouvons blessant ou trop gênant, nous devrions pouvoir l'exprimer de manière claire et concise. Cela ne doit pas être vague (par exemple : « tu es méchant ») mais spécifique (par exemple : « cela m'embête que tu me taquines à chaque fois sur mon poids »).
Le psychologue Sébastien Hof note deux causes aux médisances de bureau : les motifs externes et les motifs internes au travail. C'est-à-dire qu'on peut être crispé. e par un collègue concernant le (son) boulot. Ou bien par des faits qui n'ont absolument rien à voir avec l'entreprise, mais avec la personne elle-même.
Accrochez-vous : continuez de faire votre travail tout simplement et de le valoriser à votre manière c'est-à-dire avec sobriété et vérité. Essayez le plus possible d'ignorer les attaques et rétablissez les «vérités» quand cela est nécessaire, avec calme et raison.
Utilisez des phrases avec « je » pour qu'il ne croie pas que vous l'accusez. Par exemple : « Je sens que tu me manques de respect lorsque tu me parles sur ce ton. »
Essayez de lui dire : « Je trouve ce genre de blagues vraiment énervantes. Je te demanderai de t'abstenir quand je suis là. »
Une méthode efficace est de répondre de manière ciblée en fonction de la nature de l'attaque. - Face à un message portant sur un sentiment ou des émotions, reformulez ceux-ci de manière empathique : Je te comprends, J'en prends note, etc.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Comment faire tomber le masque d'un manipulateur ?
Levez les flous. Chaque fois qu'un manipulateur essaye de rester dans le flou, obligez-le à être clair : Les manipulateurs font des phrases évasives ou ambiguës : reformulez sa phrase ambiguë et demandez lui de valider : « C'est bien ça que tu me dis ? »