Quand respirer en brasse ? L'expiration en brasse , plus précisément en brasse coulée, se fait dès que vous rentrez la tête dans l'eau et pendant toute la phase de retour des bras vers l'avant. Elle doit se faire simultanément par la bouche et par le nez de façon continue et longue.
Concentrez-vous sur votre respiration et sur vos ciseaux de brasse. Au moment de plier les genoux, relevez la tête hors de l'eau pour inspirer très rapidement. Expirez ensuite, le plus longuement possible, au moment de fermer les jambes, quand votre tête retourne sous l'eau.
Dans l'eau, la respiration s'effectue toujours par la bouche. L'expiration est active pour vider la totalité de l'air présent dans les poumons et pouvoir inspirer plus efficacement par la suite. Le temps de l'expiration est donc jusqu'à deux ou trois fois plus long que le temps de l'inspiration.
Bien respirer, c'est d'abord et surtout bien expirer
On peut indifféremment expirer soit par la bouche, soit par la bouche et le nez, mais on doit exclusivement inspirer par la bouche. De plus, l'expiration doit être active, voire légèrement forcée à cause de la résistance de l'eau.
Respirer En Crawl Sans Déséquilibre Grâce Au 3 Temps
En revanche, respirer en 3 temps, te permet justement d'éviter ces déséquilibres, puisque tu vas respirer un coup à gauche et un coup à droite. C'est pour cela qu'à l'entraînement, je te recommande donc de nager en 3 temps, pour éviter ces déséquilibres.
La flottabilité naturelle du nageur est personnelle et différente d'un individu à un autre. Elle dépend de la masse grasse, de la masse osseuse et de la masse musculaire. Ainsi, elle dépend de l'âge, du sexe et de l'ethnie du nageur".
Le plus souvent, cela vient du fait que le bassin et les jambes du nageur en crawl s'enfoncent trop par rapport aux épaules.
Les sensations dans l'eau
Le premier indice pour savoir si vous progressez en natation ou non est de vous concentrer sur vos sensations dans l'eau. Si vous prenez davantage de plaisir ou si vous avez l'impression que vous glissez davantage dans l'eau, c'est plutôt bon signe !
Le stress et la crispation entraînent ton corps vers le fond
Et le second point négatif lié à la crispation, c'est qu'avec ce stress qui augmente, la fréquence cardiaque et la fréquence respiratoire vont aussi augmenter. Tu vas donc respirer beaucoup plus vite et cela va entraîner un essoufflement important.
Si tes jambes coulent lorsque tu nages, cela est dû à certaines lois physiques. Notamment, la différence entre la répartition du poids de ton corps et la répartition de son volume. Les jambes par exemple ont un volume assez faible mais un poids élevé.
Pourquoi est-ce un défaut? La brasse est la seule nage où les genoux reviennent vers l'avant et s'écartent sur les côtés. Lorsque ces mouvements sont trop marqués, les jambes créent inutilement une résistance plus grande qui freine la progression du corps vers l'avant.
Elle tonifie les adducteurs (l'intérieur des cuisses), ainsi que les quadriceps et les ischio-jambiers. En bref, la brasse, c'est tout bon pour vos cuisses ! Voilà, vous savez tout, ou presque. Pour les plus curieux, quelques détails supplémentaires sur les différentes nages et les muscles qu'elles renforcent.
“Généralement, les gens restent entre 45 minutes et 1 heure par séance de natation, ce qui permet de nager environ 1 kilomètre.”
Donc pour ceux qui courent à 10km/h, cela correspond à nager 1 kilomètre en piscine en moins de 30 minutes. (40 longueurs de 25m ou 20 longueurs de 50m). Et pour ceux qui courent à 7 – 8km/ h, cela correspond à faire ses 40 longueurs en moins de 40 minutes.
La pratique régulière de la natation présente de nombreux bénéfices sur vos muscles, vos articulations, vos tendons, vos ligaments, et sur votre mental.
Pour ne pas s'épuiser trop rapidement, évitez donc le papillon qui est une nage fatigante. Bien qu'elle soit excellente pour muscler les abdos et qu'elle fait perdre le plus de calories, si vous voulez tenir plus de 45 minutes, oubliez-la. Privilégiez plutôt le crawl et le dos crawlé qui sont des nages plus endurantes.
Pour une course d'1 km sans être un nageur régulier, « il est bien de commencer votre préparation 12 semaines avant la course et de nager 2 à 3 fois par semaine pendant 15 à 30 minutes en augmentant progressivement les durées d'entraînement. » Pour une course de 3 km, « nagez 3 à 4 fois par semaine pendant 8 semaines ...
Le regard devant en crawl pose un problème
En effet, on peut constater qu'en regardant devant, son bassin et ses jambes s'enfoncent dans l'eau. Et cela va créer des résistances à l'avancement et donc la ralentir et l'empêcher d'aller plus vite.
La brasse permet de travailler les parties basses du corps, comme les mollets, les fessiers, ou encore les quadriceps, Le crawl permet de muscler les triceps, les bras, les jambes, les obliques, etc, Le dos crawlé est une nage efficace pour le haut du corps, tel que le dos, les deltoïdes, les abdominaux, etc.
Regarde, mes jambes calent. » La seule partie du corps humain vraiment conçue pour flotter sont les poumons, lorsqu'ils sont gorgés d'air. Les muscles sont denses et lourds, surtout si vous êtes un athlète. Alors il ne faut pas s'en faire et commencer par travailler aisance et position dans l'eau.
Si vous laissez vos jambes s'enfoncer, progressivement, votre corps se retrouvera en position verticale et vous flotterez beaucoup moins longtemps. Le but est d'immerger tout le corps à l'exception du nez, de la bouche et d'une petite partie du front. Plus vous serez détendu et plus il vous sera facile de flotter.
Avant 11 h du matin et après 16 h, c'est le bon moment pour aller à la plage. Ces recommandations sont valables même si le ciel est couvert car les UV passent la barrière nuageuse. Eviter les journées continues sur la plage ! Il vaut mieux éviter car les UV tapent trop fort aux mauvaises heures.
L'idéal est de manger entre 3h et 1h avant de nager. Si ce n'est pas possible, mangez alors une barre énergétique ou quelques biscuits. Pensez aussi à bien vous hydrater tout au long de la journée.