Une thérapie de groupe peut être utile. Cette thérapie permet à la personne affectée de faire part de l'évènement traumatisant à d'autres personnes qui ont elles aussi vécu un traumatisme, ce qui réduit l'isolement et accroît le sentiment de soutien.
Comment se relever d'un traumatisme ? Parler, comprendre, revivre le souvenir, accueillir les émotions, se méfier des fausses pensées et agir via une thérapie ou la technique de l'EMDR seraient les pistes les plus efficaces pour surmonter un événement grave.
de la difficulté à ressentir certaines émotions, par exemple la tendresse et le désir sexuel; de la difficulté à se concentrer; de la difficulté à trouver le sommeil; un besoin d'être continuellement en état d'alerte, prêt à réagir.
S'endormir peu de temps après avoir vécu un traumatisme renforcerait les émotions négatives liées à cet événement. C'est du moins la conclusion d'une étude américaine qui contredit de précédents travaux sur le sujet.
Le traitement du syndrome de stress post-traumatique fait appel aux thérapies comportementales et cognitives, à l'EMDR, une technique de désensibilisation et de reprogrammation par les mouvements oculaires mise au point dans les années 1980 aux Etats-Unis, à l'hypnose ou à la sophrologie.
La sertraline et la paroxétine ont obtenu dans de très nombreux pays une indication officielle dans le traitement de l'ESPT constitué. Ces autorisations de mise sur le marché ont été étayées par des travaux multicentriques contrôlés solides effectués sur des populations importantes.
Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine. Essayez d'éliminer les siestes ou de les garder courtes (moins de 30 minutes) et plus tôt dans la journée (avant 15 heures). Il est important de bien dormir le soir.
Des troubles de l'humeur et un émoussement de la réactivité, des affects, et de l'intérêt pour les activités habituelles, sont souvent présents. Le développement de signes d'une activité neurovégétative : hypervigilance, irritabilité, difficultés de concentration, troubles du sommeil… sont également observés.
Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est caractérisé par des réactions intenses, désagréables, et dysfonctionnelles qui apparaissent après un événement traumatisant accablant. Un événement mettant la vie en danger ou entraînant une blessure grave peut causer une souffrance durable et intense.
Beaucoup de personnes ressentent des symptômes d'anxiété, des peurs, de la tristesse. Ceux-ci sont généralement transitoires et ont peu de conséquences sur la vie quotidienne. Chez certaines personnes cependant, des troubles de l'adaptation, ou d'autres troubles peuvent apparaître.
L'amnésie dissociative est une amnésie (perte de mémoire) provoquée par un traumatisme ou un stress, résultant en une incapacité à se souvenir d'informations personnelles importantes. Les personnes ont des trous de mémoire, qui peuvent s'étendre de quelques minutes à plusieurs décennies.
Pire encore, l'insomnie était également liée à une aggravation des symptômes liés au syndrome post-commotionnel (maux de tête, problèmes d'équilibre et étourdissements), à une aggravation de l'anxiété et de la dépression, ainsi qu'à une augmentation des problèmes d'attention et de mémoire.
A domicile quelle surveillance ? Votre enfant a subi un choc à la tête. Après une période d'observation, il peut rentrer à la maison, mais une surveillance est indispensable. L'examen médical et les contrôles pendant la période d'observation ont démontré que son état lui permet de rentrer à la maison.
Dans quel cas faut-il consulter ? Consultez un médecin si vous avez subi un puissant coup à la tête ou si vous n'êtes pas certain de la gravité de votre blessure. Il convient également de consulter un médecin si vous vous sentez mal après quelques heures, quelques jours ou quelques semaines.
1 – Effectuer un repos complet
Après avoir fait une commotion cérébrale, il est recommandé d'effectuer une période de repos afin de diminuer les symptômes. Le repos est essentiel afin de permettre au cerveau de se reposer et de se remettre de la crise énergétique engendrée par la commotion cérébrale.
Le plus souvent tout rentre dans l'ordre spontanément. Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
Les médicaments comme l'acétaminophène et/ou l'ibuprofène peuvent être pris pendant 3 à 5 jours au besoin. L'ibuprofène ne doit pas être pris dans les premières 24 heures qui suivent la blessure, à moins d'avis contraire de votre médecin.
En cas de stress post-traumatique il est primordial de faire appel à un médecin spécialiste de la santé mentale. Pour rappel : Les pratiques présentées ci-après sont des pratiques complémentaires et ne remplacent en aucun cas un suivi médical par votre médecin traitant ou un spécialiste.