Cultiver sa joie de vivre
Bien que certaines personnes paraissent naturellement immunisées contre la déprime, la plupart du temps, le bonheur se cultive. Apprenez à vous concentrer sur les plaisirs simples de la vie, en les anticipant et en en savourant chaque minute.
Le premier point important, c'est d'habituer notre cerveau à ressentir la joie. Soyez patients, vous pouvez trouver ce qui vous rend vraiment heureux. La joie se trouve le plus souvent dans des choses simples (profiter de ceux qu'on aime, admirer un paysage, manger notre plat préféré, lire un bon bouquin…).
Si vous voulez sourire ou rire sans faire trop d'efforts, essayez de regarder un film amusant, de lire un livre drôle ou de passer du temps avec un ami dont vous connaissez les aptitudes à vous faire rire.
Ce qui peut aussi causer une perte de joie de vivre c'est que vous passez beaucoup de temps à ruminer des évènements passés ou à vous inquiéter de ce qui pourrait arriver dans le futur. Pourtant, le passé n'existe plus et le futur n'existe pas encore.
la dopamine(hormone du plaisir) la sérotonine(hormone de la bonne humeur) l'adrénaline(hormone de l'excitation) l'ocytocine(hormone du lien social).
Cette impossibilité à ressentir des émotions, positives ou négatives, peut trouver sa source dans plusieurs événements. Elle peut être due à un traumatisme, un choc émotionnel trop fort ou être liée à un trauma survenu pendant notre enfance. Les troubles qui en découlent se traduisent par différents symptômes.
La joie exprime notre satisfaction de manière courte et intense. La joie peut se manifester quand on a réussi quelque chose: une compétition sportive, un examen… Elle peut aussi survenir quand on a surmonté des obstacles, quand on a pris des risques, quand on est fier·ère de soi-même ou quand on a du fun.
Les personnes souffrant de lypémanie ou dépression sévère présentent une humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours, une tristesse constante voire des pleurs, une fatigue et perte d'énergie, une perte de l'intérêt et du plaisir (elles n'ont plus envie de rien et plus rien ne leur fait plaisir).
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
la consommation de drogues ou d'alcool ; l'isolement social et la solitude ; l'inactivité ou la procrastination ; ou encore une diminution de l'appétit.
Pratiquer un sport régulièrement fait aussi partie de l'"arsenal" du bien-être. Comme le rire, cela favorise la sécrétion de l'hormone du plaisir. Des chercheurs américains ont même montré que la course à pied avait, chez les personnes déprimées, autant d'effet que les médicaments.
3 – Commencez le plus tôt possible, n'attendez pas ! 4 – Planifiez vous un bilan et des situations intermédiaire à court terme et moyen terme, avec une place pour les breaks et les récompenses. 5 – Réfléchissez au meilleur moyen d'y arriver, parfois avec un peu d'astuces il est possible de se simplifier la vie !
"Je ne sais pas ce que je ressens." Voilà ce que pourrait dire un alexithymique. Déroutante et méconnue du grand public, cette caractéristique émotionnelle déconnecte les personnes de leur ressenti. Comme un court-circuit entre le corps et le cerveau, entre la chair et l'intellect, les sentiments ne passent plus.
Le cerveau est constitué de trois grandes parties : le néocortex, le système limbique, et le système reptilien. Ce dernier représente le cerveau primaire, responsable des instincts (survie, fuite…). Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.