Le résumé doit être reformulé de manière intelligible et fidèle. Se relire en prenant le point de vue de quelqu'un qui n'a pas lu le texte est crucial. Le résumé doit être fluide. Il ne faut pas utiliser de phrases trop longues ou trop brèves et agencer les idées du texte (mais les garder dans l'ordre).
Votre résumé de texte doit être facile à lire et retranscrire l'essentiel de la pensée de l'auteur en donnant des informations exactes. Évidemment, vous devez respecter le nombre de mots demandés dans la consigne en ne mettant en valeur que l'essentiel : dix mots de trop peuvent vous faire perdre un point…
L'essentiel doit se trouver dans la première phrase, celle-ci doit éveiller l'intérêt des lecteur·rice·s. Par exemple, il est possible de commencer par évoquer un personnage central avec la présence de mots-clés. Ces mots-clés donnent une indication aux lecteur·rice·s sur le genre du livre.
objectivité et neutralité : le résumé de texte n'est ni une analyse, ni un commentaire. Il ne doit comprendre ni critiques, ni approbations. Et, bien entendu, aucune digression.
Il est constitué de mots clés, de formules, de schémas qui te permettent de faire des liens entre les différents éléments de ta matière sans devoir la réécrire totalement. N'utilise pas des phrases complètes mais juste des mots clés, des articles de liaison, de comparaison, d'opposition.
Soignez donc particulièrement le début de votre résumé, son accroche. La première ligne doit être percutante et donner envie de lire la suite. Les premiers mots doivent interpeller le lecteur, soit en le questionnant, soit en l'intriguant. Pour cela, oubliez les phrases à rallonge ou les phrases trop descriptives.
Elle doit amener le sujet, l'analyser et le problématiser. Elle peut en outre annoncer le plan ou du moins les lignes directrices de la réflexion à venir et énoncer les enjeux du sujet. Ainsi l'introduction ne saurait être élaborée qu'après un important travail de réflexion (fait au brouillon).
La conclusion doit comporter trois étapes et remplir les fonctions suivantes : – récapituler : il faut, en quelques phrases, résumer la démonstration, en rappelant les différents axes du développement ; – donner son avis, en prenant clairement position par rapport à la question posée dans le sujet.
Il faut donc suivre l'ordre du texte source, sa progression logique, en gardant les arguments jugés incontournables et en laissant de côté les exemples. Il n'est pas obligatoire de garder le même nombre de paragraphes que le texte source, dans la mesure où aucune étape logique du raisonnement n'est oubliée.
Le compte-rendu de texte présente les idées les plus importantes d'un texte. Vous devez contracter un texte T1 en un texte T2 en mettant en relief l'idée principale exprimée et en relatant les autres idées. Il s'agit de rendre compte des pensées de l'auteur tout en restant objectif.
Le plan à suivre dans le résumé doit être, en principe, le même que celui du texte, au moins dans ses grandes lignes. Il est cependant difficile de donner, sur ce point, des conseils absolus. En effet, chaque texte pose un problème particulier compte tenu de sa nature et de sa complexité et du style de l'auteur.
le passé simple (et l'imparfait) pour raconter les événements contemporains du moment qui sert de repère ; le passé antérieur et le plus-que-parfait pour raconter les événements qui se situent avant ce moment repère ; le futur du passé pour raconter les événements qui se situent après ce moment repère.
L'idée principale est ce qu'on dit par rapport au sujet. Elle est donc plus élaborée. Pour trouver l'idée principale, il faut trouver la phrase qui a un lien avec toutes les autres et qui les englobe. Il est possible de créer un schéma pour mieux la repérer.
Faire un résumé, c'est réécrire un texte, en respectant le ton, le style et les idées de l'auteur, de manière plus condensée. Un résumé n'est ni une critique, ni une analyse du texte, pas plus qu'il n'est un mémento ou une fiche personnelle sur le texte.
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Comment compter les mots ? La règle de base pour le résumé repose sur une définition visuelle : un mot est une unité typographique isolée par deux blancs. Exemple : Jean de La Fontaine = 4 mots ; Charles de Gaulle = 3 mots. Tous les « petits mots » (articles, conjonctions, pronoms) comptent pour un mot.
Rappel : Comment compter les mots ? (
Ce nombre est à arrondir à 95 mots. - Calculer la marge de tolérance de plus ou moins 10% revient à faire : 95 X 10 = 9,5 soit 10 mots en plus ou en moins. 100 -Le résumé doit être compris 95 -10 et 95+ 10, mots c'est-à-dire entre 85 et 105 mots.
Formules de conclusion En conclusion / En somme, on peut constater ... Pour conclure, je dirais que ... / Finalement, ... Je touche maintenant à la fin de mon exposé… Pour terminer, on peut dire que ...
Certains mots servent à bien marquer cet enchaînement et à indiquer qu'il s'agit bien d'une conclusion : Au bout du compte, mais, c'est, enfin, telle est… Compte tenu de leur clarté, de leur pertinence et de leur cohésion, à la correction du Ministère, cette conclusion et l'introduction réunies ont reçu la cote A.
L'ouverture figure souvent sur la partie finale de la conclusion. Elle doit transmettre un message clair pour tous les auditeurs cibles. C'est là que poser des questions pas encore répondues ou résolues est de mises pour donner une réflexion.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Exemples d'annonce de plan
“Afin de répondre à la problématique susmentionnée, nous verrons premièrement [une description de la situation]. Ensuite, notre réflexion se dirigera deuxièmement sur [une analyse des causes]. Enfin nous étudierons [les solutions ou analyses conséquences]. “
L'idée générale n'est donc pas une idée différente de l'idée d'une (ou de plusieurs) chose(s) particulière(s), puisqu'elle ne fait qu'en prendre la place et acquiert le statut, purement opératoire, de signe d'une multiplicité pure.