Si, contrairement à d'autres phobies, on peut difficilement avoir peur d'en mourir, la téléphonophobie est bien réelle, source d'angoisse et touche beaucoup plus de monde qu'on ne le pense.
La peur du téléphone (phobie du téléphone, peur téléphonique ou téléphonophobie) est une peur ou angoisse de passer ou de prendre des appels téléphoniques.
Dans ce cas, la peur du téléphone peut témoigner d'une phobie sociale ou d'une dépression. Elle peut venir d'une anxiété généralisée ou d'un trauma, survenu il y a longtemps, comme une mauvaise nouvelle apprise au téléphone.
En temps normal, une large partie du langage passe par le corps, une donnée qui disparaît lors d'échanges uniquement vocaux. Il est donc impossible de savoir au téléphone ce que l'autre personne pense réellement, ce qui peut provoquer une source de stress.
Essayez plutôt d'intégrer autant de prévisibilité que possible pour apaiser votre anxiété. Prenez des notes avant l'appel, respirez, et fixez une limite de temps en informant poliment l'autre personne du temps dont vous disposez pour parler.
Signes de la nomophobie
Les manifestations caractéristiques de l'addiction et de la dépendance au téléphone sont : une utilisation incessante du téléphone, dans la rue, chez les commerçants, dans les transports, pendant les courses et parfois même chez un médecin.
Se dit de quelqu'un qui ne peut se passer de son téléphone portable et éprouve une peur excessive à l'idée d'en être séparé ou de ne pouvoir s'en servir.
Le problème peut être lié à votre mobile : vérifiez que votre carte SIM est bien insérée et rallumez votre mobile. Si votre mobile indique le message « 112 », « Appels d'urgence uniquement » ou «Aucun réseau disponible», c'est qu'il ne capte pas le réseau.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Le plus important est de rester soi-même et de sourire. Cela peut paraître inutile, sachant que la personne ne nous voit pas ! Détrompez-vous, le timbre de voix change en fonction de votre langage corporel. En souriant, vous aurez une voix plus joyeuse que si vous ne souriez pas.
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.
Les principaux signaux d'alerte de l'anxiété sociale sont les suivants : les signes physiologiques propres à l'angoisse lors d'interactions sociales (palpitations, jambes en coton, plexus serré, tremblements…) l'évitement systématique de relations sociales au point de ne plus voir ses amis.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
Pour Antoine Pelissolo, la meilleure manière de faire face à la timidité est de prendre l'habitude, de s'entraîner, de maîtriser la chose. Le théâtre peut aider, car souvent on joue un rôle. Le métier, quel qu'il soit, peut être également une bonne manière de vaincre sa timidité.
La mégalophobie se caractérise par la peur panique et irrationnelle des grandes choses et gros objets.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
Phobie d'être oublié ou ignoré.
Signes de la nomophobie
un besoin d'avoir son téléphone sur soi en permanence (dans leurs mains, proches de leur lit la nuit...) un besoin irrépressible de devoir répondre au téléphone, aux mails, aux messages...