Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
«Syndrome de Diogène»
Associé à la conservation de déchets ou d'excréments et d'une hygiène défaillante, on appelle ce trouble syndrome de Diogène.» A l'opposé, pas de jeteurs dignes de la psychiatrie ?
Le syndrome de Diogène est une forme de trouble du comportement très difficile à décrire. Il touche des personnes aux profils différents qui ont souvent pour seule caractéristique commune leur refus de recevoir toute aide extérieure.
Syllogomanie : pourquoi je ne jette jamais rien ? Faire place nette peut être un crève-coeur pour certaines personnes. Mais la syllogomanie ne doit pas être prise à la légère. Ses conséquences peuvent être lourdes sur la santé mentale.
La syllogomanie peut avoir pour origine un problème primaire de santé mentale ou être causée par des facteurs secondaires comme la démence, un ACV ou une lésion cérébrale.
Le syndrome de Noé, en anglais Animal Hoarding, est un terme qui désigne le fait d'accumuler chez soi plusieurs animaux alors que l'on ne peut les héberger, les nourrir et les soigner correctement.
Besoin de se débarrasser de tout ce qui paraît inutile? Cette manie de tout jeter peut cacher un besoin de vide autour de soi, pas très bon pour le développement individuel. La psy explique. Il importe pour vous que tout s'évacue.
La syllogomanie : Les personnes atteintes du syndrome de Diogène ont en général un rapport aux objets peu communs, se manifestant le plus souvent par l'accumulation ceux-ci soit parfaitement rangés, soit dans un désordre total, entraînant par la même occasion l'insalubrité de l'habitat.
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
Le syndrome de Stendhal ou "de Florence" désigne un trouble psychosomatique, provoqué par l'admiration d'un grand nombre d'œuvres d'art dans une période de temps limitée, au cours d'une visite d'un musée par exemple.
Le syndrome de Marfan est une affection héréditaire des tissus conjonctifs. Ceux-ci sont semblables à une colle qui retient les cellules du corps les unes avec les autres. Ils fournissent la substance et le support aux tendons, ligaments, vaisseaux sanguins, cartilages, valvules cardiaques et à bien autres structures.
Le syndrome de Peter Pan ou SPP correspond à un refus de grandir. Non classifié parmi les maladies mentales, il se manifeste par un ensemble de signes liés à l'angoisse d'intégrer le monde des adultes. Ce complexe concerne généralement les jeunes de 20 à 25 ans, âge où commencent les premières responsabilités.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
La syllogomanie est la maladie qui définit les accumulateurs compulsifs. Être attaché à certains objets, c'est normal. Mais avoir du mal à jeter quoi que ce soit peut relever de la maladie mentale.
Le syndrome de Diogène serait lié à un traumatisme vécu au cours de la petite enfance. Après un long intervalle de vie, le processus de « diogénisation » peut se déclencher à l'occasion d'un événement difficile (séparation, deuil, changement de situation...).
La syllogomanie ou accumulation compulsive (du grec ancien : σύλλογος / súllogos « rassemblement ») est le fait d'accumuler de manière excessive des objets (sans les utiliser), indépendamment de leur utilité ou de leur valeur, parfois sans tenir compte de leur dangerosité ou de leur insalubrité.
Un schizophrène doit pouvoir s'isoler parfois pour calmer son stress et faire le point. Les relations amoureuses sont possibles, mais son partenaire doit lui laisser une certaine liberté pour éviter la pression qui conduit à des rechutes.
L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui. L'égocentrique jalouse le succès des autres.
Parler tout seul est un bon signe!
En effet, des scientifiques de l'Université de Bangor au Royaume-Uni ont mené une étude qui le confirme. Parler à voix haute développe des bienfaits cognitifs ! Les personnes qui utilisent cette pratique, supposée être un réflexe, peuvent être très intelligents.
Les dermatologues peuvent conseiller de ne prendre une douche ou un bain qu'un jour sur deux, mais quand la peau est pathologique. Comme pour les enfants qui ont de l'eczéma ou de l'atopie. Pour résumer : une douche par jour, c'est bien MAIS avec un savon gras, et en se lavant avec la paume de la main.
Si vous ne vous lavez pas, il est certain que votre peau va devenir un terreau fertile qui permettra aux bactéries et aux champignons de se développer. Certaines zones, comme les zones génitales ou les aisselles, risqueraient d'être particulièrement touchées.
L'aboulie, signifiant littéralement l'absence de volonté, ou paralysie psychique, est un symptôme psychiatrique peu connu du grand public, et pourtant très invalidant. "Il se manifeste par l'incapacité, chez la personne qui en souffre, à initier des tâches, réaliser des actions, ou même ressentir des besoins.
Quant au bon comportement à adopter face à un individu syllogomane, il s'agit de rester patient, bienveillant et à l'écoute. Vous pouvez également faire appel à une société de nettoyage spécialisée.
Les raisons récurrentes invoquées pour expliquer le comportement qui consiste à “tout” garder sont : La peur d'en avoir besoin un jour (“ça peut toujours servir”). L'objet rassure et permet de ne pas manquer. L'objet permet donc de nourrir un besoin de contrôler le futur.
On parle alors de syllogomanie qui consiste à accumuler de manière compulsive des objets. Mais au final peu de gens sont vraiment concernés par cette maladie (environ 5% de la population). Pour la majorité des gens, il existe d'autres raisons qui expliquent cette difficulté à jeter les objets inutiles.