La custode est un vase liturgique ayant la forme d'une petite boîte ronde en métal précieux ou doré ou émaillé, utilisé par les ministres de la
La patène (du latin patena, plat creux) : c'est le plat de forme circulaire et concave destiné à recevoir l'hostie.
La différence entre un
Pour la célébration de la messe, le prêtre utilise le calice et la patène, le ciboire, le service de burettes, la sonnette d'autel, l'encensoir et la navette à encens, le bénitier et le goupillon (ou aspersoir).
Les hosties ne sont composées que de deux ingrédients, de l'eau et de la farine, mais derrière se cache un long processus de fabrication. Après le pétrissage, il faut cuire la pâte dans un four pour la transformer en longues plaques croquantes. « Les pains d'autel peuvent être de deux couleurs : blanche ou dorée.
Comment sont-ils devenus ronds ? Cela reste un mystère pour sœur Sabine, du monastère Sainte-Claire de Cormontreuil (Marne), qui rappelle toutefois que durant une partie du Moyen Age, les hosties ont été confectionnées par les oubloyeurs, des fabricants d'oublies, un biscuit rond très répandu à l'époque.
Le goût étrange de la première hostie qu'il a dégustée est resté dans sa mémoire : “Elle asséchait un peu le palais, mais elle était croquante et goûteuse.
Il l'a présentée à ses amis en leur disant : « Ceci est mon sang. » Puisque nous revivons ce grand moment au cours de la messe, le prêtre va utiliser une coupe. Il y versera du vin qui deviendra le sang du Christ. Cette coupe porte le nom de
Les calices des premiers temps du christianisme sont faits de matières courantes, bois ou argile. Ainsi, le calice de saint Jérôme est en argile blanche. Par la suite, Le calice est souvent en matière noble, or, argent ou vermeil, parfois incrusté de pierreries ou d'émaux.
Les linges liturgiques
Aube : long vêtement blanc en toile de lin ou de chanvre, serré à la taille par un cordon et porté sous la chasuble. Bannière : pièce de tissu ornée d'images saintes ou d'inscriptions, portée en procession par les membres d'une confrérie religieuse ou d'une congrégation.
L'hostie faite de
1. Sanctuaire itinérant, centre du culte des Hébreux avant la construction du Temple de Salomon, demeure de l'arche d'alliance où étaient déposées les Tables de la loi. 2. Petite armoire, fixée au milieu de l'autel ou dans un autre endroit d'une église, destinée à recevoir le ciboire contenant la réserve eucharistique.
Il est destiné à recevoir les hosties consacrées. Entre les cérémonies religieuses le ciboire est conservé dans le tabernacle placé sur l'autel. Le ciboire qui est censé contenir le corps du Christ est fabriqué en matériaux précieux.
Se range dans le tabernacle. Plat rond, en métal, servant à l'oblation de l'hostie.
On appele attributs des saints (en hagiographie) des caractéristiques figuratives (objets, animaux) des saints chrétiens utilisées dans les représentations artistiques qui permettent de les identifier.
Le mobilier liturgique est l'ensemble du mobilier utile ou nécessaire à la célébration de la liturgie, et plus généralement à la célébration des sacrements et cérémonies religieuses.
Le prêtre offre à Dieu le pain, c'est-à-dire les hosties ; puis les burettes lui sont présentées, contenant l'une l'eau, l'autre le vin. Il (ou le diacre) verse alors tout le vin dans le
L'amict est marqué d'une croix que le prêtre baise avant de le poser sur sa tête, puis de le descendre sur ses épaules pour recouvrir le col de sa soutane. L'amict doit être pourvu de deux cordons assez longs pour être noués sur la poitrine, en se croisant dans le dos.
Le tabernacle est, dans une église catholique, le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties consacrées au cours de la messe. Il peut être réalisé en bois, en métal, en pierre. Il est en général placé auprès de l'autel.
En France, une petite trentaine de monastères de sœurs - il n'y a que des religieuses - vivent de la fabrication de ces pastilles rondes qui servent pour le sacrement de la communion. Ces couvents aujourd'hui tirent la langue car les ventes chutent.
La communion au sang du Christ, sous forme de vin où ont été déposées des fractions de pain, ne soulève pas de questions d'hygiène chez les orthodoxes. Il existe aussi la communion par « intinction », où le prêtre trempe une partie de l'hostie dans le « précieux sang » et la dépose aussitôt sur la langue du communiant.
A quel âge l'enfant baptisé découvre l'hostie ? Le jeune pratiquant fait sa communion entre « 8 et 10 ans », « au bout de 2 à 3 ans de catéchisme ». La profession de foi (qui n'est pas un sacrement) a lieu, elle, quand le fidèle est en « 6e-5e », vers 11-12 ans.
La « communion » désigne la commémoration et le renouvellement du repas (Cène, ou banquet) que Jésus a partagé avec ses disciples à Pâques. Pour l'Église catholique, c'est au cours de ce repas que Jésus a institué le sacrement de l'Eucharistie qui commémore sa mort et sa Résurrection, et qui présage du banquet céleste.
L'élévation de l'hostie à la vue des croyants, immédiatement après la consécration, se veut le signe que la transsubstantiation du pain a eu lieu, s'opposant à ceux qui veulent qu'elle n'intervienne qu'après la consécration des deux éléments, le pain et le vin.
canon 910, § 1 du code de Droit canonique (CIC)). Toutefois, lorsque les besoins l'exigent et conformément aux dispositions de la loi, les fidèles laïcs peuvent être désignés par un Évêque ou un prêtre (cf. canon 230, § 3 du CIC) pour distribuer la Sainte Communion.