L'étole, dérivé du latin stola qui signifie longue robe, lui-même du grec στολη (stolē), est un morceau de tissu porté sur les épaules, dans son usage profane, et un ornement liturgique de l'évêque, du prêtre et du diacre. Elle est l'insigne par excellence de la prêtrise.
La soutane extérieure, ou exorason, est une robe noire ample portée par-dessus la soutane intérieure par les évêques, les prêtres, les diacres, ainsi que les moines, faisant ainsi fonction d'habit pour la vie de tous les jours.
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/).
De nos jours, la tenue de tous les jours des évêques et cardinaux est la soutane noire avec la croix pectorale et l'anneau et, s'ils le jugent utile, la ceinture, le collaro et la calotte de couleur.
Il s'agit d'un camail, ou courte pélerine, que peuvent porter les hauts dignaitaires de l'Église. Celle du Pape est en velours rouge bordée d'hermine blanche en hiver, ou en soie blanche bordée d'hermine en été. Le souverain pontife peut la porter hors des célébrations liturgiques.
Coiffe réservée aux évêques dans la religion chrétienne. Il porte la mitre durant les cérémonies officielles. Il existe trois types différents de mitres.
Le col blanc, ou «col romain» est un des signes particuliers de la tenue des prêtres chrétiens, catholiques et protestants. Cet accessoire rompt avec la soutane noire pour symboliser la pureté et l'humilité. Il s'est imposé au milieu du XXe siècle pour permettre aux fidèles de reconnaître les membres du clergé.
La coule, aussi appelée cuculle (du latin cucullus), est un vêtement à capuchon porté par les moines.
Il est possible que votre prêtre exige que vos épaules soient couvertes afin de respecter la demeure de dieu et la cérémonie religieuse qui vous liera à votre bien-aimé. Si votre robe de mariée n'est pas adaptée, il existe plusieurs solutions pour vous couvrir légèrement et toujours avec élégance.
La mitre est portée par les évêques, les archimandrites, et certains prêtres qui en ont le droit, les mitrophores.
Cornette (coiffe) — Wikipédia.
La tiare est donc utilisée pour exprimer solennellement le pouvoir spécifique du pape et est distincte de la mitre, insigne liturgique des évêques de l'Église latine, également portée par le pape en tant qu'Évêque de Rome.
Pour les cardinaux, la couleur pourpre est fondamentale, car elle leur permet de s'approcher symboliquement du pape, qui ne porte exclusivement que deux couleurs : le blanc (soutane et calotte) et le rouge (mosette et chaussures).
125. Le vêtement liturgique propre du diacre est la dalmatique qu'il doit revêtir sur l'aube et l'étole. Afin de respecter une noble tradition de l'Église, il est louable de ne pas faire usage de la faculté d'omettre la dalmatique.
Vêtement fait de cette étoffe, porté par les membres de certains ordres religieux qui ont fait vœu de pauvreté. Un moine portant la bure.
Le pape porte une soutane de couleur blanche. C'est Saint Pie V, pape au XVIème siècle qui l'a instauré pour signifier son appartenance à l'ordre des Dominicains, eux-mêmes habillés en blanc.
L'homme ne doit pas se couvrir la tête, puisqu'il est l'image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l'homme. En effet, l'homme n'a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l'homme ; et l'homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l'homme.
Au moyen âge, enlever son casque ou son heaume etait signe d'allégeance à son seigneur. On s'offrait ainsi, nuque découverte et tête baissée, à l'épée du seigneur. Cette tradition se perpétue encore en enlevant son couvre-chef, ce qui est un signe de confiance et de respect.
Sont impudiques les vêtements moulants, transparents ou révélateurs de quelque manière que ce soit. Les jeunes filles doivent éviter les shorts courts et les jupes courtes, les hauts qui ne couvrent pas l'estomac et les vêtements qui ne couvrent pas les épaules ou qui ont des décolletés profonds devant ou dans le dos.
1. Partie de l'habit monacal qui couvre la tête et tombe sur la poitrine et les épaules. 2. Habit de moine en général.
Son utilité principale est de protéger le porteur des intempéries (vent, pluie, froid) et chez les moines d'encourager l'isolement méditatif.
La bénédictine porte une robe noire à larges manches, une tunique sous la robe, un scapulaire noir, une guimpe blanche, un bandeau blanc et un voile noir. Au chœur, la religieuse bénédictine porte la coule monastique noire mais sans capuchon. Le premier texte sur l'habit des cisterciennes date de 1235.
« Le rapport Sauvé a suscité des réflexions de lecteurs. Est-il possible de rappeler que ce n'est qu'en 1139 que l'Église catholique a interdit et condamné la sexualité sacerdotale ? (Le célibat des prêtres est une règle de discipline, établie au deuxième concile du Latran en 1139, NDLR).
Le tricorne est un chapeau très en vogue au XVIII e siècle, de forme triangulaire à bords repliés sur la calotte en trois cornes, d'où son nom. Pourtant, il fallut attendre le XIX e siècle pour que ce couvre-chef prenne ce nom.
Le Cérémonial des évêques donne la liste des insignes épiscopaux : l'anneau, la crosse, la mitre, la croix pectorale, et dans le cas des archevêques, le pallium. Il stipule que l'évêque emploie la crosse, symbole de son autorité de pasteur, seulement à l'intérieur de sa cité ou de son diocèse.