Sur l'arbre, la noix de coco est entourée d'une enveloppe fibreuse (le péricarpe) de 5 à 15 cm d'épaisseur. Sous l'enveloppe fibreuse se trouve une mince coque brune très dure, qu'il faut casser pour parvenir à la pulpe (noix) qui adhère à cette coque.
La noix de coco est le fruit du palmier.
Elle pousse en grappes au sommet de l'arbre qui, en quête de lumière et chaleur, peut parfois atteindre 20 m de haut. Les arbres géants producteurs de noix de coco sont pour majorité des criolles. Cette variété produit des fruits pendant une trentaine d'années.
Au bon stade de décomposition, la tourbe de coco peut être utilisée comme substrat seule, sans ajout de perlite ou d'autres amendements durables. La tourbe de coco elle-même a un pH relativement stable et sert de tampon du pH, dans une gamme qui convient à la croissance des plantes.
L'huile de Coprah, parfois appelée huile de Coco désodorisée, est issue de la pulpe séchée de la noix de Coco, contrairement à l'huile de Coco vierge qui est issue de la pulpe fraîche et garde une délicieuse odeur de Coco.
Le coprah est le « blanc » de la noix de coco. Du point de vue botanique, il s'agit de son albumen, c'est-à-dire des réserves nutritives de la graine. Le coprah est très riche en matières grasses (lipides). Il est utilisé pour la fabrication de l'huile de coco et du monoï ; une partie sert à nourrir les animaux.
On entend couramment dire la coco , une coco . L'emploi du féminin est probablement influencé par le genre de noix de coco , féminin également. On dit donc la coco comme raccourci de la noix de coco .
Afin d'obtenir du coprah, on enlève d'abord la coque brune de la noix de coco. Ensuite, après avoir brisé la noix, la chair peut être séchée. La chair est souvent séchée dans des régions ou l'on cultive également des noix de coco. Le coprah est la chair séchée des noix de coco.
Le monoï est obtenu grâce à la macération de fleurs de Tiaré dans l'huile de Coprah raffinée. L'huile de Coprah est extraite de noix de coco récoltées dans l'aire géographique de Polynésie française. Il est nécessaire que les noix soient mûres et cueillies sur des sols d'origine corallienne.
L'huile de coco vierge est un véritable or blanc ayant des bénéfices appréciables lorsque vous fabriquez vos cosmétiques. L'huile de coprah est obtenue grâce à la pression de noix de coco séché. Ce sont souvent les déchets issus de la production d'huile vierge de coco qui sont utilisés pour produire cette huile.
Une consommation excessive peut donc, à long terme, favoriser la prise de poids, l'abrasion de la paroi intestinale, le risque de maladies cardiovasculaires et l'augmentation du taux de cholestérol sanguin. C'est donc un produit dont la consommation est à limiter et à réserver à quelques occasions.
La tourbe de sphaigne est le plus couramment utilisée pour fabriquer des terreaux qui serviront à la culture de végétaux. Champ de tourbe en cours de récolte. Il ne contient aucun sol minéral, seulement une accumulation de matières végétales.
Le cocotier n'est pas un arbre véritable, car il ne possède pas de vrai tronc, mais un stipe (voir paragraphe de description) qui s'érige tel un tronc. D'un point de vue de la classification botanique, le cocotier est plus proche des herbes que des arbres classiques.
Si elle est riche en oligo-éléments comme le manganèse, le fer, le phosphore ou le cuivre, la noix de coco possède également une forte teneur en potassium (environ 350 g pour 100 g de chair) et de magnésium ce qui en fait un formidable allié pour combattre la tension artérielle et le risque de maladies ...
Dans son milieu naturel, le cocotier vit fréquemment au-delà de 100 ans. Le fruit du cocotier est comestible cru. On consomme sa chair blanche, appelée amande ou coprah, et le liquide qu'il contient ou lait de coco.
Le Pr Karin Michels y a alors affirmé que l'huile de coco était extrêmement dangereuse pour la santé, en raison de sa teneur en acides gras saturés. Ces derniers, consommés en trop grande quantité, finissent par boucher les artères qui alimentent le cœur, ce qui peut provoquer des infarctus.
Une mauvaise odeur ou une couleur jaunâtre sont également des signes de péremption de l'huile de coco. Une huile avariée ne présentera pas de risque majeur pour la santé, mais son goût et son odeur la rendront peu propices à un usage culinaire ou beauté.
Elle se fabrique encore de façon artisanale. Le monoï est constitué d'huile d'amande de coco fraîchement râpée et de fleurs de tiaré, ni plus ni moins. Les cocos sont récoltées sur un sol corallien puis ouvertes après récolte. Les mamas en extraient la pulpe pour en faire de l'huile.
La fleur de Tiaré est mise à macérer dans l'huile coco issue du fruit râpé et fermenté. Le macérat est ensuite exposé pendant trois semaines au soleil, ce processus donnera ensuite la fameuse huile de monoï.
Composition : Le macérât huileux de Monoi est composé, de plusieurs acides gras en réalité contenus dans l'huile de coco, comme l'acide myristique à 13 à 19 %, les acides palmitiques à 8 à 10 %, et les acides lauriques à 44 à 51 % entre autres.
La fibre de coco apporte au substrat une bonne aération ainsi qu'une bonne rétention d'eau et de nutriments permettant ainsi aux racines de respirer et d'absorber l'humidité dont elles ont besoin. La fibre de coco est disponible sous différentes formes : pain, brique, bloc, cube, vrac...
L'huile de coco est obtenue à partir de la chair de coco, que l'on mixe avec de l'eau pour obtenir du lait. C'est dans cette préparation que se trouve l'huile, il faut plusieurs étapes successives pour l'en extraire, notamment une étape de fermentation d'au moins 24 heures.
L'huile de coprah est issue de la pulpe de coco séchée (ou albumen séché) puis obtenue par pression à chaud, alors que l'huile de coco est tirée de la pulpe fraîche de la noix de coco.