Le terme phishing est une variante orthographique du mot anglais fishing, il s'agit d'une variation orthographique du même type que le terme phreaking (f remplacé par ph).
Le cybersquattage ou, en anglais, cybersquatting, est l'enregistrement frauduleux, abusif d'un nom de domaine. Un individu enregistre le nom de domaine d'une marque qui ne lui appartient pas.
d'où le nom (« spear phishing » signifie « hameçonnage ciblé »).
Les faux sites usent et abusent d'offres tellement séduisantes qu'elles déclenchent des pulsions d'achat. L'avantage du shopping en ligne, c'est qu'il suffit de cliquer pour en profiter.
Cas vécu : le phishing et l'URL spoofing.
La veille, elle avait reçu la même demande d'eBay pour confirmer ses codes d'utilisatrice. Méfiante, elle se renseigne et apprend qu'elle est victime d'un URL spoofing (usurpation).
Un cracker est un type de pirate informatique, habituellement un « black hat » ou « grey hat », spécialisé dans le piratage de systèmes informatiques ou le cassage des protections dites de sécurité ( ex. : protection anticopie) des logiciels.
Les attaques par phishing, également appelées par hameçonnage, trompent une victime en l'incitant à effectuer des actions qui profitent à l'attaquant. Ces attaques vont du plus simple au plus sophistiqué et peuvent être repérées lorsque l'utilisateur est correctement sensibilisé.
Le terme phishing est une variante orthographique du mot anglais fishing, il s'agit d'une variation orthographique du même type que le terme phreaking (f remplacé par ph).
Comment identifier les tentatives de phishing ? Vous recevez un courriel alarmiste ou alléguant un prétendu remboursement en votre faveur qui semble provenir d'une source de confiance (banque, impôts, etc..). Vous êtes invité à vous rendre sur une page de formulaire afin de fournir des données personnelles.
Il s'agit parfois de tentatives de piratage informatique. « Fausse alerte » (FakeAlert en anglais). Le virus informatique, identifié par le groupe de cybersécurité Eset porte bien son nom.
Via votre messagerie ou votre boîte mail, certaines personnes malintentionnées tentent de mettre la main sur vos données personnelles en utilisant des techniques d'hameçonnage (phishing) ou d'escroquerie de type fraude 419 (scam) !
Si vous recevez un message semblant provenir de votre banque ou d'un commerçant chez lequel vous réalisez des achats, et qu'il vous est demandé de cliquer sur un lien contenu dans le message, il s'agit d'une fraude. Contactez directement votre banque ou le commerçant en cas de doute.
Si cette dernière ne comporte pas le nom de l'entité, qu'elle présente des fautes d'orthographe ou que le nom vous paraît suspect, n'ouvrez pas le message. Il s'agit sûrement d'un mail frauduleux. Mail de phishing avec une adresse mail suspecte et un objet de mail alarmiste.
L'hameçonnage ou phishing est une forme d'escroquerie sur internet.
Si vous avez cliqué sur le lien, vérifiez l'adresse du site Internet qui s'affiche dans votre navigateur. Si cela ne correspond pas exactement au site concerné, c'est très certainement un site frauduleux. Parfois, un seul caractère peut changer dans l'adresse du site pour vous tromper.
Les virus des courriels sont réels, mais les ordinateurs ne sont pas infectés par la simple ouverture des courriels. Il n'y a pas de danger à ouvrir les e-mails pour les consulter, même si les pièces jointes peuvent être dangereuses.
Qu'est-ce que la cybercriminalité? Selon la GRC, la cybercriminalité renvoie à tout crime commis principalement à l'aide d'Internet et des technologies de l'information, comme les ordinateurs, les tablettes ou les téléphones intelligents.
Un rançongiciel ou ransomware est un logiciel malveillant ou virus qui bloque l'accès à l'ordinateur ou à ses fichiers et qui réclame à la victime le paiement d'une rançon pour en obtenir de nouveau l'accès.
L'objectif des pirates du numérique est de gagner la guerre de l'information en installant la crainte dans les esprits.
Les sites concernés sont les suivants : Dubsmash (162 millions de données), MyFitnessPal (151 millions), MyHeritage (92 millions), ShareThis (41 millions), HauteLook (28 millions), Animoto (25 millions), EyeEm (22 millions), 8fit (20 millions), Whitepages (18 millions), Fotolog (16 millions), 500px (15 millions), Armor ...
Même si vous n'êtes pas forcément redirigé vers un faux site internet ou qu'on ne vous demande pas d'encoder vos données, le simple fait de cliquer sur le lien ou ouvrir la pièce jointe peut télécharger un virus sur votre ordinateur.