Lorsqu'une personne rit sans raison apparente, elle est souvent appelée « histrionique » ou « hystérique ». Ces termes se réfèrent à un trouble de la personnalité caractérisé par des émotions excessives et des comportements inappropriés.
d'un stress ; d'une irritation ; d'une fatigue ; d'un malaise que notre corps cherche à exprimer et évacuer.
rieur adj. et n. Qui rit volontiers ; qui aime à rire, à se moquer. rieur adj.
Définition de rieur
RIEUR, -EUSE, adj.
En psychiatrie, on appelle ce genre de rire un « rire immotivé ». Un rire sans objet, comme au hasard, sorte de tir au jugé. Les schizophrènes en sont les dépositaires habituels, si l'on en croit les manuels de psychopathologie.
Le fou-rire serait l'éclatement d'une forte tension nerveuse, souvent inconsciente, que l'organisme « décharge » par ce moyen. Le rire a de fait un impact apaisant et relaxant très puissant sur le corps, grâce à la sécrétion d'une hormone, l'endorphine, dont les effets sont comparables à ceux de la morphine.
Fermer les yeux, tendre les muscles
Fermer les yeux pour se couper de l'extérieur, tendre tous les muscles du visage pour contrôler les secousses et mettre ses mains devant sa bouche à la fois pour cacher son rire au monde extérieur et diminuer l'apport d'air immédiat de façon à fatiguer les muscles.
L'origine physiologique du rire
Lorsque vous riez, vous vous sentez naturellement bien, mais savez-vous pourquoi ? Pour expliquer ce phénomène, il existe une réponse physiologique très simple. En effet, lorsque vous riez, votre corps sécrète des endorphines qui vont provoquer en vous une sensation de bien-être.
Rire, un anti-stress
« Le rire va faire qu'on fabrique davantage de neuromédiateurs et d'endorphine », détaille le Dr Rubinstein. « Les endorphines sont des morphines naturelles qui agissent contre la douleur » et les neuromédiateurs, des composés chimiques comme la sérotonine, la dopamine, le gaba…
Les scientifiques ont quelques théories pour expliquer pourquoi notre corps produit des larmes lorsque nous rions trop. Pour certains ce sont des "expressions dimorphes" de l'émotion. Nous pleurerions quand nous ririons autant parce que le corps essaie de s'autoréguler en réponse à des émotions fortes.
Le rire prodromique, késako ? Décrit pour la première fois dans la Revue Neurologique en 1903 par Charles Féré (1852-1907), un neurologue français ayant exercé à l'hôpital Bicêtre, ce trouble désigne un rire pathologique, irrésistible et sans objet, annonçant la survenue d'un accident vasculaire cérébral.
Il peut constituer une manifestation épileptique (rire gélastique) ou ischémique (fou rire prodromique d'un accident ischémique cérébral). Le plus souvent, le rire spasmodique relève d'une libération du contrôle des formations pontiques par des lésions cérébrales bilatérales.
Le fou-rire, lui, libère des larmes : quand on se trouve dans une situation de souffrance sociale, de honte ou de ridicule, et qu'on arrive à la dépasser par ce biais, cela a un impact très fort.
aboulie. Trouble mental caractérisé par l'affaiblissement de la volonté, entraînant une inhibition de l'activité physique et intellectuelle.
Le terme tachypsychie provient des mots grecs « tachy », qui signifie rapide et « psyche » qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie, mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
La schizophrénie est une pathologie psychiatrique chronique complexe qui se traduit schématiquement par une perception perturbée de la réalité, des manifestations productives, comme des idées délirantes ou des hallucinations, et des manifestations passives, comme un isolement social et relationnel.
Un désordre neurologique qui provoque chez ces personnes un rire incontrôlable. Et ce désordre neurologique est une maladie réelle. Cette pathologie porte le nom de rire prodromique.
Ainsi, les muscles de l'abdomen, des membres et du visage sont stimulés. Ce sont ces derniers qui donnent l'expression rieuse à notre visage : ils attirent les coins de la bouche et des paupières vers le haut. Le rire détend les muscles du larynx, provoquant toutes sortes de vocalisations ou de cris.
- Le rire permet d'évacuer le stress : quand on rit, on sécrète des endorphines, des hormones qui réduisent la production d'adrénaline générée par le stress. Le rire nous permet aussi de détendre nos muscles et d'oxygéner notre cerveau et notre coeur. Un vrai bol d'air en 5 minutes !
"Rire jaune" est une expression populaire fréquemment employée pour désigner quelqu'un qui rit de manière quelque peu forcée, souvent pour cacher un mécontentement ou un désagrément.
C'est un anti-stress naturel, car il a un effet apaisant et relaxant grâce à la sécrétion d'hormones qu'il déclenche. Par exemple, il y a l'endorphine, une hormone naturelle aux propriétés antalgiques. Elle réduit les excès d'adrénaline et de cortisol générés par le stress.
Le rire nerveux est généralement moins fort dans son expression qu'un « bon rire du ventre », et peut être associé à des regards confus ou à un silence gêné de la part des autres individus aux alentours.
Nos larmes se déversent sur nos joues lorsque nous sommes tristes, heureux, frustrés, que l'on a peur ou que l'on est énervé. Tout est bon pour relâcher nos torrents de larmes, parce que c'est cela l'une des premières fonctions des pleurs : extérioriser nos émotions.
Problème de santé, surmenage, infection, troubles du sommeil, Covid-19, maladies, stress... De nombreuses causes peuvent expliquer l'apparition d'une asthénie, communément appelée fatigue. Un état "d'épuisement" qui peut s'avérer anormal lorsqu'il perdure malgré le sommeil et le repos.