Cénotaphe = tombeau vide, monument élevé à la mémoire d'un mort (du grec kenos, vide, et taphos, tombeau).
Littéralement : tombeau vide (grec : kénotaphion). En protohistoire, tombe ou tumulus sans inhumation ou incinération. Plus généralement, dans l'Antiquité, tout monument funéraire dans lequel ne repose pas le corps (ou les cendres) du défunt auquel il est consacré.
Le mot cénotaphe vient du grec “kenos” qui signifie le vide et “taphos” qui signifie le tombeau. Ainsi, le cénotaphe est un monument funéraire vide, sans corps, destiné souvent à des fins de commémoration.
Épigraphe = inscription sur un édifice (avec sa date, sa destination, etc.) ; inscription en tête d'un livre. → aussi exergue. Épitaphe = inscription sur un tombeau.
chronophage adj. Se dit de ce qui demande beaucoup de temps ou...
ANDROPHOBIE : Définition de ANDROPHOBIE.
Intéressé, avide d'argent, vénal, qui ne pense qu'à des préoccupations financières. Exemple : C'est une personne cupide qui a pour habitude de sélectionner ses amis selon leurs finances. Étymologie : du latin cupidus (qui désire). Avide, gourmand, qui veut toujours plus.
ci-gît, ci-gisent (Réf. ortho. ci-git) Ici est enterré, sont enterrés (formule funéraire inscrite sur les tombeaux).
Une épitaphe (du grec ἐπιτάφος / epi, « sur » et taphos, « tombeau ») est une inscription funéraire, placée sur une pierre tombale ou un monument funéraire, afin de rappeler le souvenir de la personne morte. Elle peut présenter le nom et les dates de la personne défunte, ou un texte qui fait l'éloge de cette personne.
Nom commun
Personne qui déteste les barbes.
Quelle est l'origine de l'expression "mise en bière" ? L'expression "mise en bière" daterait du 8e siècle. A cette époque, les Francs disaient "bera" pour évoquer une "civière", une planche de bois qui permettait de transporter les corps des blessés ou des défunts.
Le caveau est plus onéreux à construire qu'une « pleine terre », mais il permet également, dans la durée, de réduire les frais d'entretien, comparativement à une tombe pleine terre, qui « bouge » dans le temps. Certains monuments funéraires peuvent revêtir des formes diverses, parfois érigés sans limite de coût.
Tombe n.f. = endroit où un mort est enterré ; fosse recouverte ou non d'une dalle de pierre, de marbre, etc. Tombeau n.m. = monument funéraire plus ou moins imposant élevé sur une tombe.
Ce repas ou verre du souvenirs est une façon de prolonger l'hommage rendu au défunt de façon moins formelle et de remercier les proches de leur présence en ce moment éprouvant.
Pourquoi ce Léonard Boussarie, né à Saint Roc en 1822, est enterré debout ? 104 ans plus tard, toujours aucune réponse, que des suppositions. L'homme aurait voulu rester debout pour tenir tête à ses voisins, qui l'auraient embêté toute sa vie. C'était un original qui ne fréquentait pas grand monde.
« Les enterrements face contre terre étaient un moyen de signaler quelque chose lors des funérailles - d'une manière ou d'une autre, la société a permis la commission de trop de péchés, alors ils voulaient faire pénitence. »
Le maire peut-il refuser une telle demande ? Réponse : L'article R 2223-8 du CGCT établit qu'aucune inscription ne peut être placée sur les pierres tumulaires ou monuments funéraires sans avoir été préalablement soumise à l'approbation du maire.
Un large choix de modèles existe et le prix d'une pierre tombale varie en fonction de la complexité du monument et de sa dimension. Le prix débute autour de 320 € pour une petite tombale adaptée aux urnes. Tandis qu'un monument imposant qui demande plus de travail, peut coûter jusqu'à 3 320 €.
Les propriétaires ou les ayants-droits d'une concession sont tenus de maintenir la tombe en bon état. C'est à dire de garantir l'étanchéité du caveau, nettoyer la pierre tombale, prendre soin des plantes, rénover la sculpture… Tous les aménagements et les travaux sont à leurs frais.
(Vieilli) (Funéraire) Formule commençant les inscriptions funéraires, signifiant « ici est enterré ».
3. Se trouver, consister, résider en quelque chose : C'est là que gît la difficulté. 4. Se trouver quelque part enfoui, caché : Trésor qui gît au fond des mers.
vénaux. Qui n'agit que pour l'argent, qui n'est intéressé que par le gain matériel et financier d'une action.