Définition : Le résultat d'une addition s'appelle une somme et les nombres que l'on ajoute s'appellent les termes. Exemple : Définition : Les nombres qui interviennent dans la soustraction sont appelés les termes.
L'addition est une opération qui consiste à ajouter un nombre (ou plusieurs nombres) à un autre nombre. Les nombres qui composent l'addition se nomment les termes. La somme désigne le résultat de cette opération.
Vocabulaire : Une addition est une opération qui permet de calculer une somme. Exemple : Calculer la somme de 13,5 et 4,1. Cette somme de est égale à 17,6 car 13,5 + 4,1 13,5 et 4,1 sont les termes de cette somme.
Vocabulaire lié aux opérations
Si l'on effectue la soustraction 8,6 - 2,2 = 6,4 alors 8,6 et 2,2 correspondent aux termes de l'addition et 2,2 correspond à la différence. Lorsqu'on effectue la multiplication de deux nombres ces derniers portent le nom de facteur et le résultat correspond au produit.
Le résultat d'une addition est appelé une somme, et les nombres que l'on additionne, les termes.
Les quatre opérations arithmétiques usuelles : l'addition, la soustraction, la multiplication et la division qui sont en principe les seules opérations autorisées aux jeux de chiffres comme au Compte est bon.
Les propriétés de l'addition : commutativité, associativité et élément neutre. Cette leçon porte sur les trois principales propriétés de l'addition. L'addition est commutative : On peut changer l'ordre des termes.
Chacun des éléments qui interviennent dans une suite, un rapport, une addition, une soustraction, un polynôme, une proportion ou une fraction.
Le résultat d'une division s'appelle un quotient. Les nombres que l'on divisent s'appellent le dividende et le diviseur.
on commence toujours par les calculs entre parenthèses, puis les puissances, les multiplications ou les divisions et enfin pour terminer les additions ou soustractions.
Zéro est ainsi l'élément neutre pour l'addition des nombres réels (et complexes), tandis que un est l'élément neutre pour la multiplication des nombres réels (ou complexes).
En mathématiques, et plus précisément en algèbre générale, une opération binaire est commutative si l'ordre des opérandes ne change pas le résultat. L'addition est commutative (4+3 = 7 et 3+4 = 7 aussi). De même la multiplication est commutative : comme le montre le schéma de droite, 3×2 = 2×3 = 6.
24 et 15 sont les termes de l'addition, c'est-à-dire les nombres que l'on va additionner. Le signe + se lit « plus ». C'est le signe de l'addition. 39 est le résultat de l'addition, on l'appelle la somme.
On nomme produit de nombres entiers, réels, complexes ou autres le résultat de leur multiplication. Les éléments multipliés s'appellent les facteurs du produit.
Définitions : Le résultat d'une multiplication s'appelle un produit. Les nombres que l'on multiplie s'appellent les facteurs.
Le résultat d'une multiplication s'appelle un produit. Les nombres que l'on multiplie entre eux s'appellent des facteurs. Exemple : $5\times 7 = 35$.
La différence entre la division « ordinaire » et la division euclidienne est que la division euclidienne s'effectue qu'entre nombres entiers. De plus, la division euclidienne nous fournit un quotient et un reste alors qu'une division ordinaire ne donne qu'un quotient.
Dans une soustraction, le signe utilisé est le signe - (moins). Les nombres situés à gauche du signe égal sont les termes. Le résultat de la soustraction est la différence.
En mathématiques, et plus précisément en arithmétique, la division euclidienne ou division entière est une procédure de calcul qui, à deux entiers naturels appelés dividende et diviseur, associe deux autres entiers appelés quotient (quotient euclidien s'il y a ambiguïté) et reste.
Il existe quatre opérations de base en mathématiques : l'addition, la soustraction, la multiplication et la division.
Ainsi, l'alphabet du langage mathématique est formé par les 26 lettres de l'alphabet latin, les lettres de l'alphabet grec, les chiffres et des symboles.
Les signes plus (+) et moins (−) sont utilisés pour représenter les opérations d'addition et de soustraction dans une forme aujourd'hui reconnue internationalement. Ils peuvent avoir d'autres significations analogues, reconnues de manière généralement plus locale.
1489 : Le mathématicien allemand Johann Widmann d'Eger introduit les signes + et - pour exprimer l'addition et la soustraction.
Règles de priorité
Pour calculer une expression numérique sans parenthèses, on effectue les calculs de la gauche vers la droite, en commençant par les multiplications et les divisions qui ont priorité sur les additions et les soustractions.