Les favelas rassemblent le tiers de la population de l'État de Rio. Dans ces favelas, peu de place est faite aux routes.
Favela veut dire « bidonville » en portugais du Brésil. Ce sont des quartiers pauvres, dont les maisons ont été construites illégalement, sans permis de construire. Les favelas se sont surtout développées entre les années 1950 et 1970.
C'est quoi, une « favela » ? Nous sommes à Rio de Janeiro, au Brésil, dans l'un des plus grands bidonvilles de la ville, celui de la Rocinha. Des milliers de personnes vivent dans cette favela située au milieu des quartiers riches de cette grande ville brésilienne.
Plus de 12 millions de Brésiliens, sur les 190 millions d'habitants que compte le pays, vivent dans des favelas, ces habitations populaires véritables bidonvilles.
De ce fait, « la » favela est forcément une colline (morro), une zone illégalement occupée, hors-la-loi, un espace sous-équipé, le lieu de concentration des pauvres dans la ville.
Bidonville, au Brésil.
En Afrique, la croissance de ces quartiers précaires atteint 4,5 % par an. Dans les pays développés, 6,4 % de la population totale vit dans des bidonvilles ou des taudis.
Rocinha est la plus grosse favela de la ville de Rio de Janeiro. Elle s'étend sur 143,72 ha. Selon le recensement de 2011, la favela accueillait 71 126 habitants dans 25 543 logements.
Quant à l'origine du mot favela, il vient du nom d'une colline située dans la région de Salvador de Bahia, le Morro da favela.
La favela est le symbole de l'exode rural, une forme d'habitat qui est aussitôt identifiée comme un problème, dès les années 1920. Il y a des favelas dans d'autres grandes villes du Brésil, mais les plus connues sont dans la capitale, notamment Rocinha, la plus grande de Rio.
1Les favelas sont des lieux fortement marqués dans l'espace social et physique des grandes villes brésiliennes et notamment Rio de Janeiro. Aujourd'hui, elles sont présentées comme les symboles de la fragmentation des grandes métropoles aux côtés des résidences fermées et sécurisées (Souza, 2000; Caldeira, 2000).
Ce « centre étendu », compris entre les rios Tietê et Pinheiros, n'est plus qu'une petite partie de la ville et autour de lui, intercalées dans le bâti résidentiel, cohabitent des zones industrielles et commerciales, des favelas, des zones de loisirs et bon nombre de friches en attente de valorisation.
Recife comme les autres capitales régionales du Nordeste est une des villes où les inégalités dans la répartition des revenus sont les plus importantes du pays. Selon l'Atlas du développement humain de Recife, « le Nordeste est la région qui abrite les capitales les plus inégalitaires du Brésil.
La célèbre ville de Rio de Janeiro illustre bien les inégalités qui existent dans ce pays. En effet, si les plus riches peuplent les zones côtières et les plages, le nord de Rio abrite les habitants les plus modestes.
I.1.2- Définition de quartier précaire
C'est également tout ce qui présente un caractère ou un état incertain et éphémère. De ce qui précède, un quartier précaire est un espace d'occupation humaine généralement dans les villes dont l'existence n'est pas garantie dans le temps.
Selon les pays, le terme a des équivalents variés : slums en Inde (terme retenu par les Anglo-Saxons), favelas au Brésil, colonias populares (« colonies populaires ») au Mexique, villas miserias (« villes misères ») en Argentine, barriadas (« quartiers des faubourgs ») puis pueblos jóvenes (« villages jeunes ») et ...
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Ainsi, c'est Tokyo qui détient la palme cette année, avec un centre-ville peuplé de presque 14 millions d'habitants et une zone urbaine rassemblant 37.340.000 individus au total. Mais Tokyo perd chaque année des habitants et pourrait perdre son trône d'ici peu, note Civitatis.
Les habitants de São Paulo et de sa région se nomment les Paulistes ou Paulistanos. La ville est très fréquemment surnommée « Sampa » par les habitants, et fut parfois appelée la « Cité de la bruine ».
En effet, un des principaux problèmes du Brésil, c'est la violence, la criminalité. L'an dernier, en 2017, près de 64 000 personnes ont été tuées dans le pays. Le nombre de victimes est comparable à celui d'un pays en guerre comme la Syrie. Jair Bolsonaro a promis qu'il réduirait beaucoup la violence.
Quelle favela visiter à Rio ? Je vous conseille de vous rendre à la favela Santa Marta. Située à proximité de Botafogo, elle est très facile d'accès. C'est la première favela pacifiée et l'une des plus sûres à visiter.