Besoins physiologiques : avoir un salaire permettant de vivre décemment. Besoins de sécurité : posséder une stabilité d'emploi, un environnement et conditions de travail sécurisants. Besoins d'appartenance : être intégré dans un groupe de collègues, être informé régulièrement de la vie de l'entreprise.
La satisfaction des besoins physiologiques nécessite de boire de l'eau potable, de respirer un air chargé en oxygène et de cultiver des terres arables.
Dans la hiérarchie des besoins de Maslow, les besoins physiologiques sont prioritaires. Généralement, une personne cherche à satisfaire ses besoins physiologiques avant tous les autres (Maslow, 1970).
Selon Erich Fromm, la satisfaction du besoin de sécurité peut s'exprimer sur le mode « avoir » et le mode « être ». La distinction entre ces deux moyens de concevoir la sécurité est facilement identifiable. La sécurité sur le mode « avoir » consiste à accumuler toujours plus d'argent et de bien matériel.
Les groupes qui permettent de satisfaire ce besoin sont nombreux : une famille, une entreprise, une communauté religieuse, un parti politique, une association, un club, une bande de jeunes, etc…
Nous ne pouvons satisfaire la plupart de nos besoins qu'à la condition de nous donner une peine, laquelle peut être considérée comme une souffrance. Il en est de même de l'acte par lequel, exerçant un noble empire sur nos appétits, nous nous imposons une privation.
Chacun doit apprendre à reconnaître ses propres besoins au risque de répondre à ceux des autres. Il s'agit également d'apprendre à dire non, à poser des limites, à se respecter inconditionnellement. Parfois, il est nécessaire de passer par une phase « égocentrique », au tout du moins par un « égoïsme altruiste ».
Répondre à un besoin implique d'être à l'écoute de soi et de ses choix, d'apprendre à se connaître et de s'autoriser à prendre soin de soi, de changer parfois ses habitudes et de faire preuve de créativité. Les besoins physiologiques (respirer, manger, se reposer, …)
Le travail peut cependant satisfaire d'autres besoins non nécessaires (les désirs): travail et utilité. a. Le désir d'être reconnu L'homme est caractérisé par la conscience et par conséquent par le désir de se connaître. Grâce à la conscience, il peut se voir.
Le besoin d'appartenance correspond à la nécessité de se sentir intégré à un groupe social. Le besoin d'appartenance peut être satisfait par un processus d'adhésion (association), une activité (activité professionnelle) ou par des symboles d'appartenance (téléphone mobile, vacances,...).
Si, par exemple, vous vous trouvez au niveau 2, la sécurité, il est temps de travailler sur le niveau 3, l'appartenance, en vous intégrant davantage à l'équipe et en cherchant les éléments qui vous permettraient de vous identifier plus à l'entreprise.
Nos trois besoins psychologiques fondamentaux sont : Le besoin d'autonomie. Le besoin de compétence. Le besoin d'appartenance.
Le choix que l'individu fait doit lui permettre de maximiser sa satisfaction totale, tout en prenant en compte le budget dont il dispose et les prix relatifs des biens et services qu'il consomme.
Identifier ses besoins, les respecter et les prendre en compte dans ses décisions est une marque importante de sagesse et d'alignement intérieur. On est alors plus en phase avec ses émotions et ses sensations. De même, cette écoute attentive permet de développer la conscience de soi et de se réaliser plus simplement.
déféquer ; chier ; tartir ; évacuer les matières fécales ; se soulager ; uriner ; aller aux toilettes.
Elle s'exprime par le retrait et l'éloignement. L'émotion est une réaction face à un événement, c'est un sens posé sur un événement. Les émotions utilisent le corps pour s'exprimer et se révéler à notre conscience. Ainsi une émotion ne se contrôle pas mais se décrypte.
4 étapes pour mieux vivre ses émotions
OBSERVER sans juger ce qui se passe en nous, dans notre corps, notre cœur, notre tête. ACCUEILLIR l'émotion en essayant de la nommer. (En ce moment, je me sens…) Lui laisser de la place, parfois la faire patienter plutôt que de lui fermer la porte au nez.
Besoin : Nécessité, obligation, quelque chose d'essentiel à la vie. Désir : Souhait, envie, quelque chose qui n'est pas essentiel.
Notre désir est très personnel : nous avons chacun nos propres motivations pour faire l'amour. Des chercheurs américains qui se sont récemment penchés sur le sujet en ont recensé pas moins de 237 ! La première motivation semble être l'attirance pour l'autre, et cela autant chez l'homme que chez la femme.
Ce qui a commencé par être désir peut se transformer en besoin. Il s'ensuit qu'il faut renverser la proposition de départ et comprendre que le besoin humain s'étaie sur le désir. Réciproquement nous rejetons du côté du superflu des désirs, au motif qu'ils sont spirituels et que leur privation n'empêche pas de survivre.