Les variations du débit : crue et étiage. Le débit d'un cours d'eau varie naturellement au cours de l'année. Il est en crue lorsqu'il subit une augmentation temporaire, plus ou moins rapide, de son débit, et par conséquent de sa hauteur d'eau.
Une rivière est en crue lorsque son débit augmente sensiblement. On parle d'inondation lorsque lorsque les eaux ne peuvent plus être contenues dans le lit mineur (lit ordinaire), débordent et envahissent le lit majeur.
La crue est une forte augmentation, un accroissement du débit et de la hauteur d'eau en écoulement d'un fleuve, d'une rivière, d'un cours d'eau. Le mot s'utilise fréquemment quand le débordement du lit mineur du cours d'eau commence à provoquer des dommages.
En réalité, on parle de crue majeure lorsque le niveau atteint 7 m à ce même repère. Au cours du XX e siècle, en plus de la crue de 1910, Paris a connu deux crues qui ont dépassé les 7 m (1924 et 1955).
«Sans informations sur les débits, la seule donnée d'entrée pour prévoir les crues est la pluie, selon Patrick Arnaud du centre Irstea d'Aix-en-Provence. Et pour estimer le mieux possible la pluie dans l'espace, on utilise les données des radars météorologiques.
Se définit par la différence entre l'altitude du 1er plancher de votre maison (cote altimétrique) et la cote de référence qui correspond à l'altitude des plus hautes eaux connues sur votre commune (altitude qu'atteindrait l'eau pour une crue exceptionnelle) à laquelle une marge de sécurité est à rajouter.
Introduction. La plupart des inondations se produisent lorsque le volume d'eau d'une rivière ou d'un cours d'eau dépasse la capacité du lit. Il y a également des inondations le long des lacs et des littoraux maritimes lorsque le niveau normal de l'eau augmente au-delà du niveau des terres riveraines.
Élévation du niveau d'un cours d'eau, résultant de la fonte des neiges ou des glaces ou de pluies abondantes.
L'inondation désigne la submersion temporaire par l'eau d'une zone habituellement hors d'eau, qu'elle qu'en soit l'origine. Elle est souvent confondue avec la crue, qui est une augmentation plus ou moins durable du débit d'une rivière ou d'un fleuve (en savoir plus sur les crues des cours d'eau).
C'est un phénomène hydrologique de base affectant le cours d'eau. Il se traduit par une augmentation de son débit, de sa hauteur d'eau et de sa vitesse. La crue, si elle est assez importante, peut avoir pour conséquence l'inondation d'une zone.
Un cours d'eau est déclaré de première catégorie lorsque le groupe dominant est constitué de salmonidés (rivières à truites) et de deuxième catégorie, lorsque le groupe dominant est constitué de cyprinidés (poissons blancs).
On privilégie les zones d'amortis et bras morts où les carnassiers trouvent refuge des zones de fort courant. A l'entrée de ces zones, les sédiments sont soulevés par le courant, qui trouble l'eau et charrie de la nourriture. Les arrivées d'eaux claires sont une aubaine pour bien pêcher pendant les crues.
Il existe plusieurs techniques d'orpaillage : La bâtée : c'est un outil qui ressemble à une assiette ou un chapeau chinois qui permet de séparer l'or du sable. L'orpailleur y place une poignée de sable avec de l'eau, effectue un mouvement bien précis et élimine petit à petit les grains de sable pour récupérer l'or.
Il est intéressant de regarder la présence de certains minéraux comme le quartz, les hématites voire des petits morceaux de fer ou des plombs de pêche (indicateur probable de dépôt d'or). La présence de quartz vous confortera dans la présence d'or car l'un ne va pas sans l'autre.
La Chine continentale, le Bangladesh, l'Inde, le Vietnam, l'Indonésie et la Thaïlande sont les pays qui abritent le plus grand nombre d'habitants qui seront sous le niveau annuel moyen des inondations côtières d'ici 2050.
Il existe trois types de zones inondables : La zone blanche ne présente aucun risque d'inondation ; La zone bleue présente un risque faible. Les constructions sont autorisées sous réserve d'aménagements en amont, par exemple la surélévation du plancher au-dessus du niveau de la crue de référence.
L'échelle de crue (ou échelle limnimétrique) présentée est NEGATIVE : elle est destinée à mesurer les baisses sous le niveau moyen de la hauteur de cours d'eau, de lacs, d'étangs, de marais, de biefs, de retenues, de réservoirs etc... La graduation la plus petite (1) se trouve au bas de l'échelle (ou mire).
franche, sans artifices.
Les phénomènes de surcote, qui provoquent une élévation supplémentaire du niveau de la marée haute. Ondes de houle, vagues, dépressions atmosphériques et plus rarement tempêtes et tsunamis créent une élévation locale du niveau des eaux sur le littoral.
- le participe passé du verbe croire. Ex. : Il m'a cru quand je lui ai dit que j'avais croisé le Président de la République dans le train ! « Crû » avec un accent circonflexe est le participe passé du verbe croître qui signifie grandir. Ex. : Le blé a énormément crû en quelques semaines.
Nomenclature. La riziculture de décrue désigne les modes de culture du riz où la mise en place des plantations se fait en suivant la décrue des eaux. Elle est singulière car elle s'adresse à une plante aquatique, le riz, qui tire normalement avantage de l'inondation elle-même.
Dans la partie estuarienne de la Seine, soit de Poses à la mer, on parle toujours d'inondation ou de débordement, car ces inondations sont la plupart du temps multifactorielles : vent, marée, débit… Une crue, elle, est due à à la conséquence de précipitations en forte quantité sur un cours d'eau.
Cependant quand la crue est trop forte ou trop brutale rien n'y fait, le fleuve déborde. Aujourd'hui, comme on a beaucoup construit dans les zones inondables les dégâts sont encore plus violents qu'avant. A cause de toutes les routes, de la progression de l'urbanisme, les sols absorbent moins bien qu'avant.