Généralement, les médecins suspectent une septicémie lors de l'apparition soudaine d'une très haute ou très basse température, d'une accélération du rythme cardiaque ou de la fréquence respiratoire ou d'une diminution de la tension artérielle, chez une personne atteinte d'une infection.
Cause. Le sepsis est la conséquence d'une infection grave qui débute généralement localement (péritonite, pneumonie, infection urinaire, infection sur cathéter, etc.). Elle touche souvent des patients dont le système immunitaire est affaibli.
Il est possible de guérir d'une septicémie si le patient est pris à temps. La guérison de la septicémie est fonction de la gravité de l'infection, du type d'organes touchés et de la gravité des lésions.
Les signes et symptômes des infections varient en fonction du type d'infection et de la partie du corps affectée. Cependant, certains symptômes courants peuvent inclure de la fièvre, des douleurs, des rougeurs, des éruptions cutanées, des difficultés respiratoires, des maux de tête, etc.
diarrhée (aqueuse ou sanglante) vomissements. nausées. maux de tête.
Il y a quatre signes qui peuvent indiquer une inflammation aiguë : rougeur - chaleur - gonflement - douleur. Il peut également y avoir une difficulté à bouger la zone touchée.
L'hémoculture est le test le plus courant pour diagnostiquer une infection. Il consiste à prélever du sang du patient et à envoyer l'échantillon de sang au laboratoire. Des tests supplémentaires peuvent être effectués en fonction des signes et des symptômes du patient.
Aider au diagnostic du sepsis avec un test sanguin CRP
La CRP, en association avec un test de procalcitonine (PCT) peut effectivement permettre de faire la différence entre une inflammation systémique et un sepsis [2].
Si vous avez de la fièvre, vous pouvez consulter votre médecin traitant. Il vous examinera et réalisera éventuellement un prélèvement microbiologique pour savoir si votre infection est d'origine virale ou bactérienne. Il pourra ainsi décider si vous avez ou non besoin d'un traitement antibiotique.
Symptômes et signes
Une infection locale engendre une inflammation de la région infectée qui se traduit par une douleur, une rougeur, un œdème, la formation d'un abcès rempli de pus (infection à germes pyogènes), parfois une élévation de la température.
Le seul moyen efficace d'éviter l'apparition d'une septicémie consiste à faire traiter adéquatement (avec des antibiotiques) toute infection persistante, même si elle semble bénigne. Consulter tous les contenus de Canal Vie Santé.
On peut retrouver ce choc toxique chez des patientes, souvent jeunes, suite à l'utilisation de tampons hygiéniques. Ce phénomène reste heureusement toutefois rare. La septicémie peut également être secondaire à une infection fongique (par un champignon, tel que Candida) ou virale (SARS-Cov2, influenza H1N1…).
Le taux de CRP est jugé préoccupant au-delà de 10 mg/L de sang, et plus l'inflammation est grave, plus il est élevé. Il peut alors s'agir d'une infection bactérienne (méningite, septicémie), d'une maladie chronique ou auto-immune, comme la polyarthrite rhumatoïde et le lupus, ou encore du syndrome du côlon irritable.
Les quatre principaux signes d'inflammation sont la chaleur, la rougeur, l'enflure et la douleur. Les maladies inflammatoires à long terme comprennent l'asthme, la colite, la maladie de Crohn, l'arthrite, la vasculite et la néphrite.
La C-reactive protéine ( CRP)
La CRP est secrétée par le foie. C'est un marqueur fréquemment utilisé en clinique comme marqueur d'infection ou de sévérité d'infection. Cependant, la CRP plasmatique peut augmenter lors d'infection bénigne et rester à un niveau élevé plusieurs jours après la fin de l'épisode infectieux.
Le bilan inflammatoire sanguin prend en compte 2 éléments : La vitesse de sédimentation ("VS") correspond à la quantité de sang coagulé dans un tube au bout d'une ou deux heures.
Les sources saines de matières grasses telles que les avocats, les noix, l'huile d'olive et les poissons gras constituent une base solide pour combattre l'inflammation. D'autres aliments peuvent aider comme les légumes à feuilles foncées, les haricots secs, ainsi que les fruits et les légumes aux couleurs vives.
Si les anti-inflammatoires non stéroïdiens constituent le premier traitement contre l'inflammation, l'aspirine, les AINS type ibuprofène, la cortisone et les corticoïdes peuvent également être utilisés. En cas de maladies auto-immunes, on préfèrera des médicaments qui bloquent la réponse immunitaire.
L'organisme peut lutter seul contre certaines infections bactériennes. Toutefois, pour de nombreuses infections bactériennes, les médecins administrent : Antibiotiques. Ils ne sont pas efficaces contre les infections virales et la plupart des autres infections.
L'élimination des aliments riches en graisses, la suppression du tabac et la réduction de la consommation d'alcool peuvent aider votre corps à mieux se préparer à combattre les infections et les virus.
Le traitement de la septicémie est réalisé à l'hôpital, généralement dans des unités de soins intensifs ou en réanimation. Le traitement de l'infection repose sur des antibiotiques par voie intraveineuse, instaurée le plus rapidement possible après les hémocultures, mais sans attendre leur résultat.
La sepsie est une infection générale du sang. Le choc septique est un trouble grave qui apparaît quand la sepsie a provoqué une baisse dangereuse de la pression artérielle. Quand il y a moins de sang qui circule jusqu'aux organes, ils ne peuvent pas fonctionner correctement.