Les symptômes de l'insomnie sont divers : difficultés à s'endormir, sommeil léger et irrégulier, réveils nocturnes, difficultés à se rendormir, impossibilité de dormir plus de 3 ou 4 heures, cauchemars et idées noires...
On parle d'insomnie soit lors que l'on a une difficulté à s'endormir à l'heure du coucher (insomnie initiale), soit lorsque l'on fait des réveils nocturnes fréquents ou prolongés, soit enfin quand on se réveille prématurément le matin avec une incapacité à retrouver le sommeil.
Réglez d'abord votre heure de lever et couchez-vous le soir lorsque vous ressentez le besoin de dormir. Même si c'est très tard dans la nuit, les heures de coucher finiront par se régulariser progressivement. 2. Maintenez la plus grande régularité possible dans vos heures d'exposition à la lumière et à la noirceur.
La signification d'un réveil entre 3h et 5h
Tout d'abord, cela peut être simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut aussi symboliser un poids psychologique. Un problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
Une mauvaise alimentation, des repas trop copieux le soir avant de dormir ou un mauvais rythme de repas peuvent augmenter le risque d'insomnies.
L'insomnie est un manque ou une mauvaise qualité de sommeil qui retentit le lendemain sur les activités diurnes physiques, psychiques et sociales. Les principales causes de l'insomnie chez l'adulte sont le stress, l'anxiété et la dépression.
Quelles sont les causes de l'insomnie ? L'anxiété et le stress sont les premières causes d'un mauvais sommeil, ainsi que les facteurs liés à l'environnement (bruit, déménagement, etc.).
Les conséquences d'une insomnie
Une augmentation du risque de développer des maladies métaboliques (obésité, diabète, etc…) et des pathologies cardiovasculaires ; Une baisse des défenses immunitaires ; Une accélération du processus de vieillissement.
Insomnie héréditaire
Les facteurs causant l'insomnie sont vraiment nombreux et l'un des plus courants est le stress excessif. Cependant, les chercheurs suspectent une base génétique dans les problèmes de sommeil, les personnes souffrant le plus d'insomnie étant celles dont les mères en souffraient.
Le principe de sa méthode est donc d'inspirer doucement par le nez, la bouche fermée, tout en comptant jusqu'à 4 dans sa tête, de retenir sa respiration pendant 7 secondes et d'expirer par la bouche en comptant jusqu'à 8. Le tout à répéter 3 fois pour faciliter l'endormissement.
À terme, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité, contribue à une surproduction d'hormones. Ces dernières favorisent l'augmentation de la tension artérielle et du mauvais cholestérol (LDL). Elles perturbent le métabolisme du glucose, ce qui peut conduire à un diabète de type 2, voire à une obésité.
On sait que la privation totale de sommeil conduit inéluctablement un rat à la mort, dans un délai d'environ vingt jours. Mais rend-elle fou ? En réalité, la privation de sommeil cause des troubles cognitifs et des hallucinations, mais elle ne rend pas fou au sens propre du terme.
Un défaut de récupération pendant le sommeil
L'une des origines à explorer pour la fatigue est celle qui concerne le défaut de récupération pendant le sommeil, et peut s'expliquer assez simplement parfois par des douleurs, de la fièvre, des difficultés respiratoires, etc. qui empêchent les patients de bien dormir.
L'insomnie est un problème qui touche une grande partie de la population et qui peut avoir un retentissement important sur la qualité de vie. Les insomnies peuvent pour la plupart être traitées sans médicament, car l'hygiène de vie et les facteurs psychologiques en sont les principaux responsables.
De nombreuses études ont décrit l'impact négatif à long terme du manque de sommeil sur l'état de santé : au-delà d'une dégradation de la qualité de vie, l'insomnie aggraverait les symptômes de maladies somatiques ou psychiatriques associées (douleurs chroniques, hypertension, dépression…).
Un manque de sommeil chronique conduit à la production d'hormones et de molécules qui augmentent le risque cardiaque mais aussi d'autres risques, comme l'hypertension artérielle et le cholestérol, le diabète et l'obésité.
"La procrastination du sommeil se définit comme le fait de ne pas réussir à aller se coucher à l'heure prévue alors qu'aucun facteur externe n'y fait obstruction" affirme une équipe de chercheurs de l'Université d'Utrecht dans une édition récente du journal Frontiers in Psychology.
Exercer un travail de nuit et dormir la journée entraine une désynchronisation de l'organisme synonyme d'un risque accru de survenue de maladies cardiovasculaires, de diabète ou de dépressions.
La banane, les dattes et la mangue
Certains fruits ont une teneur élevée en tryptophane. C'est le cas de la banane, des dattes et de la mangue. Plutôt doués pour remettre les pendules du sommeil à l'heure, ces fruits gagnent à être consommés avant le coucher.
Certes, il vaut mieux dormir un peu que pas du tout ! Mais le minimum vital serait fixé à 3 heures consécutifs de sommeil soit 2 cycles afin de pouvoir passer suffisamment de temps en sommeil profond.
Dormir une ou deux heures sera toujours mieux que de ne pas dormir du tout. Car ne pas dormir va entraîner une mauvaise concentration, des troubles de la mémoire à court terme, des troubles du jugement et de temps de réaction, de l'irritabilité, une douleur accrue, une augmentation des hormones de stress…
- le record du sommeil le plus long est détenu par une jeune belge de 18 ans qui a dormi 118 jours d'affilée !