Une logorrhée verbale est un terme de psychologie qui désigne un flot de parole incessant. C'est un symptôme fréquemment rencontré en psychiatrie et en neurologie car il est présent dans différentes maladies comme le trouble bipolaire ou l'aphasie de Wernicke.
1. Ne pas hésiter à la rappeler à l'ordre : interrompez-la poliment et faites-lui comprendre qu'elle a déjà largement expliqué son propos. 2. Montrez-lui l'exemple : reprenez le sujet abordé et traitez-le de manière brève pour lui prouver qu'elle n'a pas besoin d'être aussi loquace pour exprimer ses idées.
– loquace :une personne loquace (même origine que "éloquent") parle volontiers et abondamment mais ses propos sont souvent de peu d'importance ; – prolixe : un discours prolixe est trop long, chargé de détails inutiles. Bref, on s'ennuie !
Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut. Et enchaînez tout de suite en lui disant : « Écoute, Paul, tu me parles de…, mais moi, ce dont je veux te parler, c'est… »
Contrairement aux idées reçues, parler tout seul n'a rien d'anormal. Cette habitude peut certes paraître étrange vue de l'extérieur, mais elle est bien loin de cacher un quelconque trouble psychologique.
Les bavards paraissent "plus sympathiques"
“Les deux premières études ont mesuré l'existence du 'biais de réticence', c'est-à-dire l'idée selon laquelle parler moins dans une conversation vous rend plus sympathique”, rappellent les chercheurs.
Pourquoi certaines personne parlent trop
C'est le plus souvent une question de personnalité, mais aussi de circonstances. «Certaines personnes peuvent avoir énormément confiance en elles au travail, par exemple, mais perdre tous leurs moyens face à un individu qu'elles admirent, déclare Camillo Zacchia.
Parler trop fort peut être un signe de perte d'audition. Les autres signes de perte auditive neurosensorielle comprennent la difficulté à entendre lorsqu'il y a beaucoup de bruits de fond et l'incapacité à comprendre clairement ce que les autres disent.
Posez des questions inquisitrices. Vous ne pouvez pas parler de vous-même si vous posez des questions bien pensées. Cela exigera donc que l'autre personne soit le point focal. Cela amène l'idée de « voir ce que vous pouvez en apprendre et non dire » à un tout autre niveau X Source de recherche .
La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus. Ce terme médical est souvent utilisé en psychiatrie. La logorrhée est souvent le signe d'un trouble psychiatrique et survient généralement lors d'accès maniaques.
Observez pensées et sentiments qui se succèdent en vous… et gardez-les pour vous. Eventuellement, écrivez-les dans un journal intime… que vous ne ferez jamais lire ! Habituez-vous à l'idée qu'un monde où l'on pourrait tout partager est impossible.
Comptez le nombre de fois vous inspirez et expirez et tâchez de respirer plus profondément. Cessez de vous agiter, écoutez ce qui se passe autour de vous et concentrez-vous sur votre état d'esprit et non pas sur ce que vous mourez d'envie de dire.
Les personnes sans filtres ne savent pas comment inhiber leurs sentiments, leurs pensées ou leurs émotions. Par conséquent, elles libèrent ce qui leur vient à l'esprit, sans réfléchir aux conséquences de ce qu'elles partagent. Elles se cachent souvent derrière leur sincérité incorruptible, mais attention !
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui.
Penser à voix haute permet de mettre de l'ordre dans ses pensées et serait utile au bon déroulement de la suite de la journée. Certains feront des listes écrites pour cloisonner leurs tâches à venir, d'autres les exprimeront à voix haute.
Le fait de parler, marmonner, rire ou crier en dormant s'appelle somniloquer. Un phénomène assez fréquent dans l'enfance et qui ne serait pas exceptionnel non plus à l'âge adulte.
Si on ne connaît pas les mécanismes personnels de ces attitudes, parler fort en est une des caractéristiques. La cause ? Ces individus se sentent plus valorisés parce qu'ils s'affirment d'une certaine manière, notamment en ayant des comportements loin des standards pro sociaux.
Parler est une bonne chose, car cela fait du bien. « Mais encore faut-il trouver le bon interlocuteur, explique la psychiatre. Car s'il est facile de parler et de faire parler, il est très compliqué d'écouter, et surtout d'entendre. »
Vider son sac permet souvent de se sentir mieux.
Un article du New York Times explique pourtant que se confier permet souvent de se sentir mieux, la communication possédant une vertu psychologique puissante à laquelle tout le monde est sensible.
Loquace signifie qui parle beaucoup. Quelqu'un de loquace a tendance au bavardage, il apprécie parler. Ce terme est aussi souvent utilisé à la négative pour désigner quelqu'un qui parle peu : "qui n'est pas loquace".
La personne qui monopolise la conversation sur elle-même a rarement conscience du problème. Pour l'aider à changer, il vaut mieux utiliser un peu de légèreté ou une pointe d'humour. Au sein de la famille, on peut aussi veiller à répartir le temps de parole entre les enfants et les parents.
Dabney, psychothérapeute exerçant à Virginia Beach (Virginie), fait savoir qu'il est “tout à fait normal de se parler à soi-même”. Il ne s'agit pas nécessairement d'une habitude vouée à disparaître en grandissant ou d'un signe de maladie mentale mais d'une pratique bien plus courante qu'on ne pourrait le penser.