Pour savoir si vous ou l'un de vos proches êtes neuro-atypique, il est nécessaire de faire un test psychologique auprès d'un professionnel. "La détection d'un fonctionnement neuro-atypique s'effectue chez un psychologue spécialisé, qui fait passer ce type de bilan psychologique", confirme le psychologue.
Un sentiment de différence. La grande caractéristique des personnes ayant un fonctionnement en arborescence (« haut potentiel »), c'est d'avoir le sentiment de ne pas être comme les autres, d'être trop différent, d'être trop en décalage, d'être « à part ».
Les personnes dites neurotypiques sont les personnes au fonctionnement “typique”, autrement dit “standard”, généralement considéré comme “normal”. Dans notre jargon, nous utilisons souvent l'adjectif “neurotypique” pour qualifier les personnes non autistes, ou plus largement n'ayant aucun trouble neurodéveloppemental.
Chez les personnes avec un Haut Potentiel Emotionnel, le vécu de décalage vient du niveau très élevé de leur intelligence émotionnelle. Ce qui va souvent avec, c'est une empathie particulièrement développée, c'est-à-dire une compréhension des intentions, des pensées et des émotions des autres qui est très fine.
Impulsif, hyperactif mais pas agressif ! L'enfant n'a pas l'intention de nuire, pas de préméditation de l'action, ni d'anticipation des conséquences mais souvent rejet et agressivité de la part des autres. Besoin en permanence d'un contrôle externe pour se réguler.
« L'enfant neuro-atypique est un enfant qui a un traitement de l'information différent. Son cerveau va traiter l'information, par exemple le langage, mais aussi les signaux dans la communication d'une autre manière.
Les enfants atypiques sont ceux qui ont un trouble, diagnostiqué ou non : trouble du langage écrit (dyslexie, dysorthographie), trouble du langage oral (bégaiement, dysphasie), hyperactivité, hypersensibilité, haut potentiel intellectuel/zèbre/précoce, handicaps mentaux ou moteurs, trouble de l'attention avec ou sans ...
Symptômes de dépersonnalisation
Sensation que vos pensées, vos sentiments et votre corps ne vous appartiennent pas ou que vous ne les contrôlez pas. Impression d'être à l'extérieur de son corps et de s'observer.
Causes du trouble de dépersonnalisation/déréalisation
Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation apparaît souvent chez des personnes qui ont connu un stress sévère, notamment : Maltraitance affective ou négligence au cours de l'enfance. Maltraitance physique. Vivre ou être témoin de violences domestiques.
Nous ne nous sentons pas digne d'être aimé comme on le mérite, et d'une certaine manière nous repoussons et rejetons inconsciemment l'autre. Ce comportement est une forme d'auto-sabotage inconscient comme pour confirmer que nous ne sommes pas dignes d'amour, même si consciemment nous le recherchons éperdument.
Le terme personne neurodivergente et ses synonymes ont d'abord été créés pour faire référence aux personnes autistes. Leur sens s'est ensuite étendu pour inclure les personnes ayant un trouble neurodéveloppemental. Selon certaines sources, le présent concept inclurait également les personnes ayant un trouble mental.
Déficits de la communication et des interactions sociales. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts.
« Est dérangé par les lumières fortes » ; « Se couvre ou plisse les yeux pour se protéger de la lumière » (Profil Sensoriel de Dunn (6)) ; « Dirige son regard vers le bas la plupart du temps », « Regarde intensément les objets ou les personnes » (Profil Sensoriel et Perceptif de Bogdashina(7))
Un profil est considéré comme atypique quand il possède un parcours professionnel et académique diversifié. Ce sont des personnes possédant un mode de pensée et des compétences inédites, souvent acquises au cours d'expériences sur le terrain et par le biais de formations classiques.
Vous êtes considéré comme HPI si vous avez un QI supérieur ou égal à 130, soit au-delà de deux écarts-types par rapport à la moyenne (qui est de 100 sur l'échelle de Wechsler). Néanmoins, certaines personnes cumulent la douance avec le syndrome d'hyperactivité TDAH, l'autisme ou encore les troubles dys.
Un homme ou une femme atypique, c'est avant tout une personnalité, une façon de vivre. Ce sont souvent des gens en décalage avec leur environnement, qui peuvent se différencier par leur look, leur sensibilité, leur façon de travailler, de réfléchir… Ils se sentent souvent comme le petit canard noir de la famille.
La tristesse sans raison apparente peut être déroutante, surtout lorsque tout semble aller bien dans votre vie. Parfois, cette tristesse peut être le signe d'un trouble anxieux ou d'un stress chronique. L'anxiété peut se dissimuler derrière d'autres symptômes, tant mentaux que physiques.
Le cerveau a un contrôle visuel sur tout ce qui se trouve devant nous. De temps en temps, il nous fait croire qu'on nous observe à notre insu pour nous mettre en alerte, au cas où nous devrions nous défendre ou fuir.
En effet, la personne timide ne sera gênée que dans certaines situations sociales. Elle aura tendance à se tenir en retrait, à éviter de se mettre en avant ou de prendre des initiatives. Ce comportement d'inhibition sociale s'exprime surtout avec des inconnus.
Une dépersonnalisation et/ou une déréalisation empirique peut survenir chez un patient à cause d'un état d'anxiété, d'un stress temporaire, tandis que la dépersonnalisation chronique concerne des individus ayant fait l'expérience d'un traumatisme ou d'une angoisse/ d'un stress prolongé.
Prenez le temps de bien respirer et lâchez prise jusqu'à ce que les symptômes s'estompent après leur survenue ; apprenez à accepter les sensations qu'ils vous imposent. Cette approche peut être difficile à mettre en place, mais elle propose une alternative qui parfois réussit à éliminer totalement les symptômes.
L'enseignant ne l'interroge pas ou très rarement parce qu'il préfère vérifier que les élèves plus faibles ont compris. L'élève précoce se désintéresse de l'école, perd l'habitude d'écouter, de faire des efforts. Il s'ennuie, bâcle son travail, refuse de le faire et s'agite.
L'adjectif “atypique” est utilisé pour qualifier quelque chose qui diffère du type normal ou habituel. Une personne ou une chose atypique est ainsi considérée comme anormale, hors norme, inclassable.
L'enfant précoce a ainsi besoin d'un cadre ferme et rassurant. Et donc de limites qu'il convient de lui expliquer, tout en lui donnant l'impression qu'il a participé à l'élaboration de la règle : « Nous sommes bien d'accord que si tu refuses de faire ça ce matin, tu ne pourras pas avoir ça cet après-midi ? »