présence de sang dans les urines ou le sperme ; difficulté à avoir une érection ; douleurs au moment de l'éjaculation.
La plupart du temps, ces troubles sont liés à un gonflement, une augmentation naturelle de la taille de la prostate lors du vieillissement. Cependant, les douleurs et les problèmes urinaires peuvent aussi être à l'origine d'une inflammation ou d'une pathologie bien plus grave comme le cancer.
Les troubles sont irritatifs : besoins pressants et fréquents d'aller aux toilettes, difficultés à se retenir. Et aussi obstructifs : faible jet urinaire, difficulté à démarrer la miction, gouttes retardataires, sensation de ne pas vider complètement sa vessie.
Symptômes de la prostatite
La douleur se développe dans le périnée, dans le bas du dos et souvent au niveau du pénis et des testicules. Par ailleurs, les hommes peuvent également ressentir le besoin d'uriner fréquemment et avec urgence et la miction peut provoquer une douleur ou une sensation de brûlure.
Ne plus trop boire d'alcool : l'alcool, et plus particulièrement le champagne et la bière, nous pousse à uriner régulièrement et a un impact négatif sur la prostate. À éviter donc.
Par exemple, le cyclisme est une excellente forme d'exercice, mais passer plusieurs heures assis sur un siège dur peut aggraver une prostate déjà douloureuse. Un siège de vélo adapté aux problèmes de prostate ou un vélo à position allongée peut aider à corriger ce problème.
Les effets d'une consommation de café caféiné ou décaféiné sur les risques de cancer de la prostate sont les mêmes, ce qui laisse penser que les bénéfices de la boisson sont liés à ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.
Avoir une activité sexuelle régulière permet donc de libérer la prostate. L'activité physique est également bienfaitrice, pour la santé en général et pour la prostate en particulier. Pratiquer un sport de manière régulière aide aussi à conserver un bon tonus musculaire et à mieux contrôler les envies d'uriner.
D'une manière générale, le dépistage du cancer de prostate peut être initié à : 50 ans pour la plus part des hommes. 45 ans pour les hommes ayant des origines africaines ou pour les hommes ayant plusieurs antécédents familiaux de cancer de prostate (père, frère, oncle).
La tumeur peut aussi comprimer le côlon, provoquant alors des troubles digestifs : faux besoins d'aller à la selle, constipation… Si la maladie s'étend davantage, au-delà de la prostate elle-même, des douleurs au bas-ventre, des douleurs osseuses et des troubles rénaux peuvent apparaître.
Les aliments riches en lycopènes
la pastèque ; le pamplemousse (attention aux interactions possibles si prise de médicaments, parlez-en avec votre médecin) ; le poivron rouge ; jus de grenade à raison d'1 verre par jour riche (si possible pressé soi-même).
L'huile essentielle de cyprès (ou cèdre de l'Atlas) est très efficace sur les troubles de la prostate. Appliquer 3 gouttes diluées dans un peu d'huile en massage sur le bas-ventre décongestionne la zone; 2 gouttes pures étalées sous la voûte plantaire activent le retour veineux.
Le toucher rectal (examen de la prostate en introduisant un doigt ganté dans le rectum) permet au médecin de vérifier le volume, la consistance et la texture de la surface de la prostate. Cet examen est inconfortable mais indolore.
Puisque le cancer de la prostate a tendance à se développer lentement, on parvient souvent à le traiter avec succès. De plus, il existe de nombreux traitements contre le cancer de la prostate, qui répond souvent bien au traitement.
Si votre risque d'avoir le cancer de la prostate est moyen, pensez à passer le test à partir de 50 ans. Si votre risque d'avoir le cancer de la prostate est élevé, pensez à passer le test à partir de 45 ans.
Facteurs de risques individuels
L'âge est le principal facteur de risque identifié pour le cancer de la prostate. Ce risque est de 1% à 7% entre 50 et 64 ans, il monte de 14% à 26% entre 65 ans et 74 ans et enfin, les risques augmentent de 40% entre 75 ans et 79 ans jusqu'à atteindre 50% à partir de 80 ans.
Pourtant, avec l'avancée en âge, la plupart des hommes sont touchés. Dès la cinquième décennie de la vie, près de 50% présentent une hypertrophie de la prostate, 40% souffrant déjà de symptômes nécessitant un traitement à cet âge. À partir de 75 ans, l'élargissement de la prostate est présent chez 90 % des hommes.
Prostate gonflée: les traitements naturels
Lutter contre la constipation, diminuer la consommation d'alcool et de caféïne peut permettre de diminuer le volume prostatique. L'activité physique est également recommandée.
Quelle eau boire pour la prostate ? Les problèmes de prostate ou urinaires chez les hommes nécessitent de boire une eau peu minéralisée qui favorise le rejet des toxines. C'est notamment le cas de l'eau Volvic.
les alpha-bloquants (alfuzosine, doxazosine, tamsulosine, térazosine...) qui luttent contre la contraction des voies urinaires et permettent d'uriner plus facilement.
Le xanthohumol, un antioxydant présent dans cet alcool, permet de diminuer le risque de contracter un cancer de la prostate. Enfin, la bière serait un meilleur antidouleur que le paracétamol. Rappelons que la modération demeure le meilleur moyen de tirer tous les avantages de la bière pour votre santé.
Antioxydant exceptionnel, il permettrait de faciliter à la prévention du cancer de la prostate. On trouve cette molécule dans plusieurs fruits et légumes : pastèque, pamplemousse rose, papaye… Principale source de lycopène, la tomate est un allié alimentaire de choix pour la prostate.
Faites de l'exercice.
Un bon tonus musculaire permet de mieux contrôler son envie d'uriner. Evitez les sports qui bousculent la vessie (VTT, équitation, tennis, volley-ball, etc.).
CERNITOL est indiqué dans le traitement des symptômes liés à l'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), par exemple les besoins fréquents d'uriner et la nycturie (cf. VIDAL Reco "Hypertrophie bénigne de la prostate"). Le médicament CERNITOL peut être délivré sans prescription médicale, en pharmacie.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.