Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
Les noms en -au, eu et -eau prennent un -x. Les noms en -al font leur pluriel en -aux. Les noms en -ail font leur pluriel en -ails mais il y a déjà beaucoup d'exceptions. Les noms en -ou font leur pluriel en -ous sauf bijoux, choux, genoux, cailloux, joujoux, hiboux et poux.
Pour écrire un nom ou un adjectif au pluriel, on ajoute souvent "s" à la fin du mot. Les mots en -eu se terminent par -eux au pluriel sauf : des bleus, ils sont bleus, des émeus, je les ai eus, des lieus (poissons), des pneus, ... . Les noms en -au se terminent plus souvent par -aux au pluriel.
Exceptions : pneu, landau et bleu prennent un –s au pluriel. Les mots en -al au singulier ont un pluriel en -aux. Exceptions les plus courantes : carnaval, festival, chacal, récital, fatal, banal, natal, naval prennent un –s au pluriel.
Dans tous les cas, quand on voit ss écrit dans un mot, on entend le son [s]. On double le s quand il est entre deux voyelles pour obtenir le son [s]. Quand la lettre s est entre deux voyelles : a, e, i, o ou u, on entend le son [z] .
La règle : - Entre une voyelle et une consonne, la lettre « s » se prononce [s]. Exemples : un escargot, une veste, …………………………………………………………………..……………… - Entre 2 voyelles, la lettre « s » se prononce [z]. - Entre 2 voyelles, il faut mettre 2 s (« ss ») pour obtenir le son [s].
On utilise la marque 's pour exprimer une relation de possession entre deux choses. Elle s'utilise majoritairement lorsque le possesseur est un être animé (personne, groupe de personnes, animaux) ou un pays.
On écrit d'ailleurs en deux mots avec une apostrophe, et avec un s à la fin. Cette expression est composée du mot de , sous la forme d' car il est suivi d'une voyelle, et du mot ailleurs , qui s'écrit toujours avec un s final.
pourquoi le mot (TEMPS) prend un S à la fin? pourtant c'est au singulier ! Du latin tempus.
Les mots finissant par « -s », « -z » ou « -x » au singulier ne changent pas de forme au pluriel : Un cas, des cas. Un gaz, des gaz. Un houx, des houx.
Dans « les lundi et jeudi de chaque semaine », on ne met toutefois pas de « s », car il y a un seul lundi et un seul jeudi par semaine. On écrit le plus souvent « tous les lundis matin » et « tous les lundis soir », car on sous-entend « au » : « tous les lundis (au) matin » et « tous les lundis (au) soir ».
Les jours de la semaine prennent un “s”
En effet, lundi, mardi etc. sont des noms communs, ils s'accordent donc en nombre comme n'importe quel autre nom commun. On doit écrire les lundis, tous les lundis ou encore plusieurs lundis. Cette règle est simple et facile à retenir.
Les jours de la semaine ne sont pas invariables : même si ça peut paraître bizarre, les jours de la semaine, tout comme tout autre nom commun, prennent la marque du pluriel.
Enfin, ne prennent point de s au pluriel, les mots employés accidentellement comme substantifs, tels que les on dit, les qu'en dira-t-on, les un, les quatre, les cinq, les car, les si, les pourquoi, etc. Le pluriel des noms.
Le Trésor de la langue française nous éclaire. De la même façon que l'on ne mettra jamais de «s» au mot «chacun», on évitera d'accorder le terme «chaque», qui rejette le pluriel. On notera donc: «Chaque femme riait», «à chaque génération», «chaque matin», etc.
CHAQUE étant un déterminant, il accompagne obligatoirement un nom : - Les billets d'entrée coûtent six euros chacun. (Ne pas dire > Les billets d'entrée coûtent six euros chaque > étant donné que "chaque" n'accompagne pas de nom).
On écrit toujours « Les quatre » sans « s », c'est la bonne orthographe. On ne met jamais de « s » à la fin de « quatre » quand il est suivi de « les ». Cette règle s'applique aussi avec les autres chiffres. Hormis « vingt » et « cent », aucun adjectif numéral cardinal ne prend de « s » (cinq, sept, huit…).
Effectivement, on se nourrit plusieurs fois par jour (2 R) mais on ne meurt qu'une fois (un R). Le verbe apercevoir ne prend qu'un P. Le verbe « commettre » prend 2 M, tandis que le mot « omettre » n'en prend qu'un. Le mot agressif est souvent écrit « aggressif », avec 2 G, alors qu'il n'y en a qu'un.
Quand dire néanmoins ? Le mot "néanmoins" est un adverbe qui a pour fonction de marquer l'opposition ou bien encore la concession. A l'image de son synonyme "cependant", un autre adverbe dont il se rapproche fortement par le sens, il sert à nuancer un propos ou une idée.
Étymologie. (Nom 1) ( XIV e siècle) Du latin sōrex, sōrīcem devenu * sōrīx, sōrīcem en latin populaire et sourice , souris en ancien français. (Informatique) Calque de l'anglais mouse (« souris ») pour sa ressemblance à l'animal.
La souris est utilisée par l'homme comme animal de laboratoire, animal de compagnie ou comme nourriture pour d'autres animaux de compagnie et dans les zoos. Il s'agit dans ce cas le plus souvent de la Souris domestique (Mus musculus) et de sa variété d'élevage, la « souris blanche ».
«Sans sucre(s)», «sans parole(s)»: ne faites plus la faute !
Le plus courant des deux, c'est pourquoi en un seul mot. Pourquoi sert à poser une question sur la cause, sur le motif de quelque chose. On répond à cette question en disant parce que ou car . On l'emploie aussi dans les formules c'est pourquoi , voilà pourquoi , pourquoi pas .
Pourquoi le /s/ est-il la marque du pluriel la plus répandue ? L'orthographe des mots au pluriel se base sur le cas régime (proche de l'accusatif latin) du Moyen français. Au singulier, le cas régime de l'actuel /mur/ était /murum/, et le pluriel /muros/.